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Rappel des 10 derniers messages du topic (les plus récents en haut) | |
RainMakeR Chef de Rubrique Nécrologique |
Citation :
Le 2025-02-07 14:27, yedo a écrit :
10. Cult of the Lamb (Switch) La partie rogue-lite action est classique mais efficace. L’originalité du jeu vient plutôt de la gestion du camp de fidèles. Dommage que cette gestion consiste finalement à remplir et vider des jauges. https://glitchwave.com/review/89177352 Mince moi qui hesitait à le prendre... bon bah je l'oublie |
yedo Pixel imposant ![]() |
J'ai un peu moins joué cette année (l'achat d'une maison m'a pompé beaucoup d'énergie) et j'ai aussi essayé de tenir à jour mes impressions sur les différents jeux auxquels j'ai joué. J'ai fait ça sur le site Glitchwave. Cela fait un moment que ça me frustre d'oublier ce que je peux penser d'un jeu passé un certain temps, du coup je tente d'avoir une discipline et d'écrire le plus vite possible après avoir fini une partie. Je n’ai pas totalement réussi mais cela facilite néanmoins le bilan à la fin de l'année.
1. Paper Mario (N64 - Switch) Mon titre préféré joué en 2024 - via l'abonnement au Nintendo Online. J'avais déjà commencé une partie en émulation il y a quelques années de cela. J'avais adoré. Cette nouvelle partie complète a confirmé tout le bien que je pense de ce premier Paper Mario. Le minimalisme dont il fait preuve est réjouissant : c'est à la fois le RPG accessible par excellence, tant les mécaniques sont simplifiées, mais il y a une grande subtilité dans le gameplay et un tas de micro-réglages et de choix gratifiants (entre autres l'utilisation des compagnons, l'équipement des badges et le choix d'augmentation des stats à chaque gain de niveau). L'univers est vraiment génial, très réconfortant, émaillé de bonnes idées de level design et/ou de mise en scène, porté par un humour bon enfant qui donne de bonnes vibrations. Je vais essayer d'enchaîner avec La Porte Millénaire que j'ai dans ma ludothèque depuis des années. J'espère y retrouver la même énergie, car les autres Paper Mario que j'ai faits (Sticker Star, Super Paper Mario et Origami King) ont complètement perdu la fraîcheur et le côté enchanteur du premier opus. 2. Inscryption (Xbox One) Tiens, je regrette justement de ne pas avoir noté mes impressions juste après avoir fini Inscryption. Car il y a beaucoup de choses à dire à son propos, et beaucoup ont déjà été écrites, même si le plus souvent personne n'ose trop en parler et dévoiler ce qui se passe après le fameux twist. En fait, difficile de dire où se situe le cœur d'Inscryption. C'est déjà un excellent jeu de carte qui se suffit à lui-même (bémol sur les meilleures cartes qui peinent à sortir lors du deck initial), mais c'est un jeu d'une richesse folle qui risque à la fois l'excès (la structure générale de l'aventure m'a paru bancale) et semble dans le même temps ne pas exploiter toutes ses idées géniales (des éléments du jeu de carte sont à peine effleurés). Je ne sais pas si l'explication finale était nécessaire mais personnellement j'adore ce genre d'idée. Je ne dis jamais non à un bon creepy pasta. En tout cas, Inscryption est une véritable expérience à faire. 3. Xenoblade Chronicles 2 (Switch) Xenoblade Chronicles 2 souffle le chaud et le froid, c’est un jeu clivant mais généreux. Le nombre de systèmes, d’options, de menus à apprivoiser est faramineux et peut décourager. J’ai eu beaucoup de mal à me faire aux affrontements, je ne maîtrisais pas leurs subtilités, par conséquent je me heurtais à des murs de difficulté incompréhensibles qui ont failli me faire lâcher le jeu. Il a fallu que j’aille sur internet pour comprendre le système de combat, notamment l’enchaînement des combos, des magies élémentaires, des attaques en équipe. Le problème c’est que le jeu présente très mal ses mécaniques, c’est par exemple une hérésie que les tutos introduits au fur et à mesure ne soient pas consultables dans les menus. C’est impossible de digérer toutes les informations du premier coup. C’est dommage car, une fois apprivoisé, le système de combat est le meilleur que j'ai rencontré depuis bien longtemps. J’ai également accroché à l’univers. On y retrouve la grandiloquence et les environnements immenses des Xenoblade Chronicles, et si l’histoire est classique (plus que dans le premier épisode dans mes souvenirs), vraiment inspiré des shonen, avec des passages à l’humour niais et un chara design parfois borderline (les héroïnes sont des stéréotypes des RPG japonais), j’ai apprécié l’atmosphère, les animations et l’expressivité des personnages, qui rendent l’ensemble très vivant et attachant. On ne peut nier les défauts du jeu - et sa tendance à délayer sa formule - mais sa générosité et son énergie ont fini par m’emporter. Après un début laborieux, je n’ai pas vu passer mes 70h de jeu. Et on peut facilement passer 100 heures supplémentaires à explorer les recoins des maps gigantesques. 4. The Stanley Parable: Ultra Deluxe (Xbox One) Cela fait un moment que je n’avais pas fait de jeux meta narratifs - j’ai l’impression que cette mode est un peu passée (mais peut-être que je me trompe). A vrai dire, The Stanley Parable n’est pas un jeu, car il n’y a pour ainsi dire quasiment pas de gameplay et aucun but. On peut atteindre la fin en une dizaine de minutes, et si on se doute que le titre réserve des surprises et d’autres fins à débloquer, aucune n’apporte de conclusion satisfaisante à l’univers étrange de The Stanley Parable. Le titre s’apparente plutôt à une expérience sur les choix dans les jeux vidéo et l’illusion du libre arbitre chez le joueur. Le choix ici repose sur le fait de suivre ou non les indications données par le narrateur omniprésent (le personnage central du jeu, celui par qui passe l’humour et l’esprit meta), de prendre la porte de gauche plutôt que celle de droite, et repérer tous les chemins et les possibilités offertes par l’environnement, jusqu’à s’immiscer dans des zones interdites, passages qui font évidemment penser à Portal. Le monologue du narrateur s’adapte à chacun de nos choix de manière bluffante et souvent drôle. Le concept du jeu implique une certaine répétition - il faut enchaîner les parties et refaire plusieurs fois les mêmes sections pour tester toutes les possibilités. C’est la principale limite de The Stanley Parable et ce qui peut le rendre frustrant à jouer, notamment quand on se rend compte qu’aucune solution ne répond au mystère posé par la situation de départ : un homme qui erre dans un open space déserté par ses occupants. On a parfois l’impression d’être devant une machine et d’appuyer sur tous les boutons, en répétant souvent les mêmes séquences à quelques touches près, pour voir ce qu’il se passe. Malgré tout, les situations, l’humour, et les innombrables micro-discours sur l’absurdité des mécaniques dans les jeux vidéo, ont fini par infuser dans mon esprit, même et surtout après avoir posé la manette, presque à mon insu. 5. Golf Story (Switch) J’imagine que tout le monde connaît Golf Story depuis son succès d’estime en 2017. C’est un jeu de golf déguisé en jeu d’aventure (ou l’inverse). Je m’attendais à plus de challenge mais l’ensemble est plutôt accessible, c’est d’ailleurs sans doute une des raisons de son succès. L’approche arcade, très facile à prendre en main, offre un grand plaisir de jeu, même si le fait de surmonter aisément les défis et autres matchs peut causer quelques longueurs quand on doit terminer un parcours alors que la victoire est déjà acquise. D’un autre côté, cette grande accessibilité pousse à prendre des risques et à tenter des coups improbables, ce qui demande une bonne observation des environnements. L’aventure introduit de nouveaux éléments de manière très progressive (notamment le vent et les déclinaisons du terrain). Au début je craignais que le gameplay soit trop simpliste et manque de fantaisie, mais au final il est plutôt complet et demande un peu d’adaptation. Le scénario propose aussi quelques situations étonnantes (le passage dans le club de golf où l’on se retrouve au cœur d’une enquête), tout en essayant de garder le golf comme fil rouge : on a l’impression d’être dans un Pokémon où l’obsession des PNJ pour les monstres aurait été remplacée par celle de la petite balle blanche. Cela étant dit, j'ai trouvé la scénarisation parfois forcée, avec certaines situations qui tirent en longueur, ce qui génère des problèmes de rythme. C’était bien dans l’ensemble, mais je m’attendais à être plus surpris. 6. Foretales (Switch) Développé par Alkemi, un studio Nantais, Foretales est un jeu d’aventure à base de cartes : la progression dans les environnements, les combats au tour par tour, la gestion des personnages, des compétences et des objets, toutes ces actions se réalisent via des cartes. L’idée est de trouver les bonnes interactions entre les différentes cartes afin de faire progresser le scénario de chaque mission. On peut ainsi interagir sur chaque carte environnement en utilisant une compétence ou un élément de notre inventaire (objet, argent, nourriture, points d’honneur ou de corruption), chaque combinaison de cartes produisant des effets différents. Il n’est pas toujours évident d’arriver à ses fins car les interactions se complexifient au fur et à mesure de l’aventure - et il faut parfois gérer les compétences de nos personnages pour pouvoir les utiliser au bon moment sur la bonne carte, le deck des environnements se déroulant de manière cyclique. On retrouve une logique de point and click à la fois stimulante dans la recherche de la solution, et parfois frustrante quand on ne comprend pas les enchaînements à réaliser et que les cartes essentielles mettent du temps à ressortir. Le jeu emprunte aussi au rogue-lite puisqu’il faut recommencer l’histoire à plusieurs reprises pour pouvoir débloquer de nouvelles possibilités et tester les divers embranchements du scénario, menant vers d’autres missions et débloquant de nouveaux personnages. Sachant que la bonne fin nécessite de remplir certaines missions dans un ordre précis et en effectuant des actions que l’on assimile au fil des parties. La clarté de l’interface (les interactions entre les cartes sont très lisibles) et la possibilité d'écourter, voire d’éviter les combats via une mécanique intéressante (on peut soudoyer, menacer ou faire fuir les ennemis) permet d'atténuer légèrement la structure répétitive de l’aventure, mais il aurait peut-être été préférable de pouvoir choisir librement les missions dès la deuxième ou troisième partie. Le fait de devoir refaire le parcours de zéro à chaque boucle finit par être pesant. Viser le run parfait implique de compléter plusieurs fois les mêmes missions. Mais Foretales mérite quand même le coup d’oeil pour sa proposition originale. 7. Dysmantle (Xbox One) Dysmantle est un jeu d’action / exploration en vue de trois-quart, mâtiné de survie et de craft. Le joueur est seul dans un monde post-apo, il doit éliminer des hordes de mutants afin de gagner en xp, tout en accumulant des ressources pour améliorer son équipement et débloquer des éléments de construction. Ce n’est pas le jeu du siècle, tout est très classique, ça a l’esthétique et le gameplay d’un jeu mobile, mais le système est suffisamment bien dosé pour être accrocheur, notamment grâce à la dimension rogue-lite et à la progression addictive de notre avatar. L’exploration des environnements est agréable, il y a toujours une carotte qui nous pousse à aller de l’avant (les fameuses tours qui permettent ici d’empêcher le respawn des ennemis à chaque mort), mais en même temps le danger de perdre les ressources accumulées en cas de décès - ce qui peut arriver vite - selon un principe gains-risques qui fonctionne toujours. Une recette classique mais efficace, donc. Le petit plus de Dysmantle, et ce pourquoi je l’ai acheté, est le fait de pouvoir faire l’aventure à deux en coopération locale. Les jeux qui proposent cette option sont trop rares pour être ignorés, surtout quand c’est aussi bien mis en pratique que dans Dysmantle. 8. The Legend of Zelda : Echoes of Wisdom (Switch) C’était sympathique mais pas mémorable, donc plutôt décevant pour un Zelda. J’ai bien aimé l’exploration de la map, mais moins le gameplay à base d’échos. https://glitchwave.com/review/89182241 9. Monster Boy and the Cursed Kingdom (Xbox One) C’était bien mais j’en attendais peut-être plus. https://glitchwave.com/review/89179534 10. Cult of the Lamb (Switch) La partie rogue-lite action est classique mais efficace. L’originalité du jeu vient plutôt de la gestion du camp de fidèles. Dommage que cette gestion consiste finalement à remplir et vider des jauges. https://glitchwave.com/review/89177352 11. System Shock (remake) (Xbox One) Je ne l’attendais plus (j’avais participé au financement participatif en 2016). Au final, ce remake s’en sort plutôt bien, l’esprit de l’original est là, mais certains éléments auraient mérité plus de polish pour moderniser l’expérience et la rendre plus agréable. https://glitchwave.com/review/89180623 12. A Hat in Time (Xbox One) Enfin essayé ce jeu de plate-forme qui a tant fait parler de lui. C’était très étrange et déroutant, je ne m’attendais pas à ce mélange d’idées improbables et surtout à ce style graphique repoussant au premier abord. C’était original mais j’ai du mal à dire si c’était si bien que cela - c’est très irrégulier en termes d’inspiration et d’exécution. https://glitchwave.com/review/89176993 13. Owlboy (Xbox One) Encore un jeu qui me faisait de l'œil. Le résultat est mitigé : graphiquement c’est joli, mais le gameplay et le level design se révèlent parfois laborieux. Le jeu semble réciter son cahier des charges et enfiler des passages obligés sans avoir de véritables inspirations. https://glitchwave.com/review/89182714 14. Kingdom Hearts II (Playsation 2) Nouvel épisode de ma relation d’amour/haine avec Kingdom Hearts. C’est un plaisir à parcourir malgré un gameplay répétitif et un scénario imbuvable. https://glitchwave.com/review/89178407 15. Alice Madness Returns (Xbox 360) On sent le projet contrarié entre un game design archaïque (action/plate-forme linéaire) et une forme et quelques idées qui tendent vers une modernité plus aguicheuse et accessible. https://glitchwave.com/review/89179037 16. Alundra (Playstation) J’aurais voulu aimer Alundra, mais c’est lui qui n’a pas voulu de moi, à force de tester ma patience et de me faire carrément souffrir. Les énigmes sont horribles et, pire que tout, sont injustes : les perspectives trompeuses et les logiques ubuesques (sans compter le respawn incessant des ennemis ultra résistants) m’ont fait lâcher le jeu après une petite dizaine d’heures. Alundra manque d’élégance et de finesse dans la présentation et l’agencement de ses énigmes. Contrairement à un Zelda, il ne cherche pas la satisfaction du joueur, il se joue de lui avec un plaisir sadique. C’est dommage car j’ai beaucoup aimé la structure de l’aventure, et la progression qui alterne entre l’aspect narratif des passages dans le village maudit et l’exploration de la map et des donjons. 17. Chrono Cross: The Radical Dreamers Edition (Xbox One) Chrono Cross est un des RPG les plus étranges qu’il m’ait été donné de faire. Il se situe dans une zone grise, sorti à une période où le genre cherchait à se rendre plus accessible, formellement, grâce à la 3D, tout en gardant un pied dans le jeu de niche - tendance quêtes annexes ampoulées et mystères à gogo impossibles à dénicher sans soluce. J’ai du mal avec cette philosophie, comme si la richesse d’un jeu tenait à son nombre de secrets dissimulés et, en l'occurrence ici, de personnages à recruter, nécessitant de remplir des conditions ubuesques. Le problème, c’est que ce principe contamine également certains passages de la quête principale, le jeu étant parfois avare en explications. La progression peut ainsi s’avérer laborieuse et confuse, notamment car l’on doit jongler entre deux dimensions parallèles. Ce qui me reste est la sensation de tourner en rond, de parcourir les mêmes environnements dans un univers onirique et étriqué, comme si tout se jouait dans une poignée de lieux dans lesquels notre personnage n’est jamais à sa place. Par ailleurs, le jeu étant très lent de base (déplacement du perso, animations lors des combats), l’édition Radical Dreamers propose dès le début une option pour accélérer l’action à l’écran. C’est indispensable pour ne pas mourir d’ennui, mais cela renforce le sentiment de passer dans le jeu en coup de vent, sans jamais se sentir impliqué dans l’univers. Enfin, à l’image du reste, le système de combat se veut original, en réinventant l’utilisation de l’endurance qui permet d’attaquer plusieurs fois en un tour, en combinant attaques physiques (avec des pourcentages de réussite) et pouvoirs (qui se débloquent selon le nombre de coups portés aux ennemis), mais c’est parfois confus - peu de lisibilité sur la régénération d’endurance à chaque tour - et inutilement complexe - j’ai passé trop de temps dans la grille des pouvoirs à équiper / rééquiper les capacités selon leur niveau. 18. Ar Tonelico : Melody of Elemia (Playsation 2) J’ai eu ma période RPG (qui se poursuit à l’heure actuelle). Je voulais en profiter pour diminuer mon backlog PS2 mais pour l’instant cela s’est arrêté à Ar Tonelico. J’étais curieux de découvrir cette série mais ce n’était pas le meilleur choix. Ce premier Ar Tonelico n’a pas grand chose pour lui : univers pauvre, graphismes datés, level design répétitif, combats sommaires… L’idée des Reyvateils aurait pu être sympa, s’il ne reposait pas sur des relents misogynes embarrassants. https://glitchwave.com/review/89182455 19. Ocean’s Heart (Switch) Zelda-like en 2D sympathique mais limité. L’aventure est courte et la progression trop linéaire. https://glitchwave.com/review/89176541 20. F.I.S.T.: Forged in Shadow Torch (Switch) FIST est un metroidvania qui prend place dans un univers urbain dystopique peuplé d’animaux anthropomorphes. Ce n’est pas mauvais dans le genre, le challenge est plutôt relevé et demande de maîtriser le système de combat qui implique esquives et utilisations d’armes aux effets divers - avec arbre de compétences à débloquer pour gagner en puissance et accéder à de nouveaux combos. La formule des metroidvania moderne est bien appliquée. Mais je trouve que le gameplay manque de précision et de feedback, ce qui rend certains combats frustrants (notamment contre les boss), et l’esthétique urbaine monotone manque d’éclat. J’ai l’impression que le portage Switch souffre des limites techniques de la console : le frame-rate est à la peine, ce qui explique à mon avis les problèmes de fluidité et de précision lors des combats. 21. Prototype (Xbox 360) J’espérais un jeu d’action fun dans la lignée des Infamous, malheureusement Prototype déçoit par son gameplay brouillon, son univers déprimant et son level design pauvre (rarement vu un terrain de jeu aussi peu intéressant). https://glitchwave.com/review/89181220 |
Kollembole Pixel monstrueux ![]() |
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Le 2025-01-02 19:10, Florent06 a écrit :
La démo de Heroes Of Hammerwatch 2. Gros gros fan des Hammerwatch et des Heroes Of Hamerwatch, c'est aussi l'un des jeux que j'attends le plus, avec le Suikoden 1 et 2. J'ai fait et refait cette (longue) démo. Ça reste dans l'esprit d'un Heroes Of Hammerwatch 1 (à savoir un Diablo-like rogue-like, au contraire d'un Hammerwatch dans lequel si tu meurs, game over). A voir le jeu principal quand il sortira en 2025. Je ne sais pas trop comment faire un lien via smartphone, mais la démo est disponible gratuitement via Steam. Heu, je crois qu'il y a bien toujours la version appli' du Steam Link, sur Android, même si si ça demande de laisser tourner l'ordi en parallèle. |
Nicouse Pixel microscopique |
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Le 2025-01-01 18:48, JPB a écrit :
Et voilà. Malgré tous ces jeux auxquels j'ai joué, je me sens toujours mal à l'aise suite au piratage de mes comptes Epic / Microsoft / EA / Ubi début août. J'ai eu pas mal de déboires pour arriver à remettre les choses à peu près en place, il a fallu plus d'un mois... et encore OVH m'a carrément obligé à payer les manips commandées par les pirates. Ça ne passe toujours pas, j'ai tout résilié après ça, du coup mon site web est démonté et ça me mine aussi. J'ai toujours une boule au ventre quand je démarre mon PC, j'ai toujours la trouille que ça recommence, même si j'ai bien entendu pris toutes les précautions nécessaires pour que ça n'arrive (en principe) plus... mais rien à faire. Bref, mon moral en a pris un sacré coup... Je n'ai plus de motivation pour écrire des trucs. Je me contente de jouer pour penser à autre chose, ce qui est déjà pas mal vu que pendant un moment, je ne pouvais plus jouer, et que pendant un autre moment je n'en avais plus trop envie. Bref, on verra ce que réserve 2025. Je commence déjà par Divinity Original Sin et Robocop. Sacrée liste quand même ! Et épreuve très difficile si j'en juge par ton chamboulement. Sans indiscrétion, il s'est passé quoi pratiquement pour que tu subisses tout ça ? Ça pourrait servir pour que d'autres prennent des précautions. |
JiPé Pixel visible depuis la Lune ![]() |
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Le 2025-01-06 09:42, Esteban a écrit :
Ahahah, relis bien l'intro de mon post ![]() Ah zut, j'suis passé à côté ![]() C'pas grave, c'est l'occasion de revoir l'intro ![]() |
Kaede Pixel visible depuis la Lune ![]() |
Je ne teste plus beaucoup de nouveaux jeux ...
En 2024, j'ai joué à (légende : *=titre pas fini). J'ai mis des liens vers mes reviews sur Steam en anglais - Beyond the Edge of Owlsgard : un bon point'n click. https://steamcommunity.com/id/Kaede_FR/recommended/1709730/ - Vividlope : qui a dit années 2000 et Dreamcast ? https://steamcommunity.com/id/Kaede_FR/recommended/2078510/ - Baba is You*. J'ai assez vite tableflip et ragequit - Panic Porcupine*. J'ai fait la plus grosse partie du jeu mais pas eu le courage de le finir. C'est pas lui c'est moi, c'est un bon jeu - Birdgut (un jeu gratuit). Pas mal ! https://steamcommunity.com/id/Kaede_FR/recommended/1072390/ - Smushi Come Home* : j'ai abandonné ça m'a lassé car je n'aime pas (du tout du tout) tourner en rond à cause de mon manque d'orientation - Paradigm : un point'n click très spécial. Rigolo. Mais bizarre. Mais rigolo. J'ai adoré l'humour de ce jeu. Ma review en anglais : https://steamcommunity.com/id/Kaede_FR/recommended/600370/ - Doom + Doom II* : j'y ai rejoué un peu, j'ai fait quelques épisodes que je n'avais pas fait. - Dagon (je l'ai refait. expérience VR très très courte) Le reste c'est du temps passé sur StepMania, ou, dans une moindre mesure, mais surtout récemment, Beat Saber. ps. courage pour le taff' et le logement, Florent ! EDIT : ajouté qq infos et liens vers mes reviews sur Steam |
Esteban Pixel monstrueux ![]() |
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Le 2025-01-04 21:56, JiPé a écrit :
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Le 2025-01-02 14:11, Esteban a écrit :
Crazy Taxi Qu'est-ce que c'est nul en fait. Et ça a mal vieilli. Surcôté de ouf. Mais... Cétrobien ![]() T'as dû faire la version PS2 ![]() ... Ahahah, relis bien l'intro de mon post ![]() Pour le fait de devenir PCiste, j'ai l'impression que c'est une tendance lourde. Si mes finances me le permettaient je pense que j'aurais basculé depuis assez longtemps sur une config PC honnête raccordée à la télé du salon. Les rares jeux gourmands que je fais (à savoir les jeux de course) ont tellement de mods sur PC qui gomment les imperfections consoles en terme d'interface, de personnalisation, de gestion sonore, de commandes, sans même parler de contenus ou de perf, que les consoles se justifient de moins en moins. Sans parler des politiques commerciales et tarifaires qui commencent à me les briser menu sur console. Et pour traîner pas mal sur Twitter, je vois pas mal de gens qui passés la trentaine sont dans le même calcul. |
JiPé Pixel visible depuis la Lune ![]() |
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Le 2025-01-02 14:11, Esteban a écrit :
Crazy Taxi Qu'est-ce que c'est nul en fait. Et ça a mal vieilli. Surcôté de ouf. Mais... Cétrobien ![]() T'as dû faire la version PS2 ![]() ... Mon bilan cette année est simple : 300 heures de Balatro et 465 heures de Starship Troopers. Le premier est un plus un jeu de stratégie que de hasard pur... il faut jouer avec les statistiques de tirage et lorsque tout les jokers sont débloqués, on peut vraiment répéter les tactiques qui marchent pour faire péter du score (évidemment en tenant compte de l'aléatoire présent dans le jeu). Le deuxième est un pur défouloir, répétitif et plus mal branlé qu'Aliens Colonial Marines mais je n'arrête pas d'y revenir tant c'est un plaisir simple que de buter en meute une mer de monstres dangereux ![]() Le solo est à chier, c'est son plus gros point noir mais le multi est majoritairement rempli de bonnes âmes qui font leur devoir de citoyens. J'ai essayé et acheté Helldivers 2 (bon Lost Planet like) et bien que meilleur sur tous les points (sauf un) que Starship, je n'y aurai joué que... 3,1 heures ![]() Balatro et Starship m'auront fait l'année. J'ai à peine touché à ma switch et oublié ma vieille PS4, je deviens PCiste ![]() |
JPB Camarade grospixelien ![]() |
Mince, comme Damasio est co-fondateur de DontNod (qui a fait Jusant), et suite à des infos que j'ai entendues ici et là, j'étais certain que c'était lui derrière les différents textes qu'on trouve dans le jeu, et de là je pensais qu'il était lié au scénario complet. Merci pour l'info ! ![]() |
Pierre Pixel monstrueux ![]() |
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Jusant terminé, joué seul et avec ma fille. Belle histoire, gameplay original pour l'escalade, vu que le scénario est notamment d'Alain Damasio j'en ai profité pour découvrir la Horde du Contrevent. Le jeu est bien, le bouquin aussi mais je pense que tout le monde ne l'aimera pas. Juste pour info, le style des textes est effectivement très damasiesque, mais Alain Damasio n'a strictement rien fait sur le jeu : le narrative designer et scénariste, c'est Félix Elvis Le Pottier. Son site : https://felixelvis.com |
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