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Rappel des 10 derniers messages du topic (les plus récents en haut) | |
RainMakeR Chef de Rubrique Nécrologique |
Ayez tout lu ^^
Bon déjà Fina Fantasy IV - The After Years <= il manque le L dans le titre pour les 2 pages L'article est sympa, mais vu ma haine actuelle des RPGs, j'y jouerai pas D'ailleurs j'ai testé la démo de ffxiii-2. Au début j'ai trouvé ça sympa, et puis ils se sont mis à cause à n'en plus finir, et puis le combat était long etc.... bref après le 1er combat j'ai arrété. C'est plus dem on age tout ca Sinon je me suis toujours demandé, y'a toujours pas d'emu pour jeu sur portable ? En général ça tourne en java, donc potentiellement avec une machine virtuelle standarde, y'a moyen nan ? Pour en revenir au dossier les épisodes sont indépendants, ca veut dire qu'on repart de 0 xp à chaque fois alors ? Idem pour les items etc.... ? J'ai compris que chaque épisode mettait un héros en lumière, donc si je pars de là, on pourrait considérer chaque épisode quasi comme un jeu à part entière ? (mais en plus court) Sinon j'ai pas compris FINAL FANTASY IV-2 c'est une autre suite différente de the after years ? |
Julenstein Pixel digne de ce nom |
Hello.
Déjà, je vous remercie d'avoir lu cet article ! En ce qui concerne le donjon final, c'est exactement ce que tu décris Rudolf-der-"Missile"-Erste : un truc énorme de plus dix heures. Pendant les premiers chapitres de l'aventure, j'ai souvent décroché. D'ailleurs, le chapitre de Yang m'a complètement endormi, sans compter que j'ai sauvegardé sur le même slot à chaque fois et il a donc fallu que je recommence les deux premières histoires. Cet After Years est passé tout près de la toute petite liste des jeux abandonnés mais, tenace, j'ai réussi à m'y intéresser davantage. Et justement, c'est à partir du dernier chapitre que tout s'est subitement amélioré. Il y a le passage où il faut retrouver ses compagnons qui m'a scotché, et je n'étais pas encore au bout de mes surprises. Mes premiers pas dans le donjon final m'ont un peu fatigué : "OK, c'est le même que sur SFC" me suis-je dit naïvement. Bien entendu, la difficulté des combats m'a poussé à faire de grandes sessions de grinding et tant mieux : j'adore ça. Le donjon final, donc. Très vite, je me suis rendu compte qu'il était un peu plus long que sur SFC. Puis ce n'était pas quelques étages supplémentaires qui l'enrichissaient mais il était carrément deux fois plus long, je pensais ! Et encore, je n'imaginais même pas encore ce qu'il en était en réalité : un truc tout simplement incroyable. Des dizaines et des dizaines d'étages, des boss en pagaille, des combats relevés, un dénouement épique et des tonnes de trucs à récupérer ! Je ne pensais pas qu'un tel donjon puisse exister dans un RPG japonais. C'est vraiment le genre de trucs que je pensais réservé à Daggerfall et compagnie. Et bien la preuve que non ! De plus, il est bien construit avec des points de sauvegarde réguliers, des "boutiques" et la possibilité de se téléporter par dizaine d'étages. Par exemple, le donjon de Final Fantasy III était très long et éprouvant, lui aussi, mais beaucoup plus frustrant puisque l'absence de sauvegarde se faisait vite ressentir. Quand tu mourrais devant le Cloud of Darkness et qu'il fallait tout se refaire, bonjour l'ambiance. Quant au phare de Final Fantasy XII, c'est bien à ce donjon que je pensais. Même si le combat final prend place ailleurs, c'est bel et bien lui qui fait office de donjon final. |
gazza8 Pixel imposant |
Citation :
Le 2012-01-27 18:24, Rudolf-der-Erste a écrit :
Perdu, c'est l'inverse! Ah ? L'inverse de quoi ? Je suis perdu |
Rudolf-der-Erste Pixel visible depuis la Lune |
Perdu, c'est l'inverse!
Et bien, je ne m'attendais pas à voir un article sur cette suite sur Grospixels. Je suis agréablement surpris, étant donné que cette suite me tente bien franchement, malgré les points négatifs que j'ai trouvés à Final Fantasy IV: - un système de combat régressif par rapport aux autres épisodes de la série, où on ne peut personnaliser ni son équipe, ni ses compétences; - un scénario qui, sans aller jusqu'à dire qu'il part en couille (ce serait très exagéré et injuste de dire ça), part dans tous les sens après le Mont Ordeals et en fait beaucoup trop dans les rebondissements, au point de tuer leur portée ("allez, je me sacrifie, mais je ne suis pas mort en fait, je vais revenir à la fin du jeu. Ah, mais moi aussi je vais faire ça. Eh, moi aussi, oh!" ou bien "oh, je t'ai trahi mais je me suis repenti et je suis revenu dans ton équipe? Et bien attention, je te trahis une seconde fois pour revenir à nouveau dans ton équipe, tu ne l'attendais pas celle-là, hein?). En fait, jusqu'au Mont Ordeals, le jeu est génial, et le Mont Ordeals marque le point culminant du jeu et de la quête de rédemption du héros qui est vraiment bien traitée. C'est après que j'ai beaucoup moins accroché au scénario (bon allez, on va dire que j'avais également beaucoup aimé la partie chez les éons avec le retour surprenant de Rydia, c'était intéressant). Par contre, les personnages étaient globalement chouettes, variés et attachants. Final Fantasy IV, un peu tout le contraire de Phantasy Star II (qui lui est contemporain et même sorti deux ans avant) qui avait un scénario plus poussé et maîtrisé mais des personnages un peu vides qui arrivaient comme un cheveu sur la soupe pour rejoindre notre équipe. Ca en fait quand même un bon RPG (mais je lui préfère très nettement Final Fantasy V et Final Fantasy VI dans les épisodes SNES). N'empêche, j'ai quand même très envie de jouer aux Années Suivantes, surtout si le scénario est un peu plus maîtrisé, et pour retrouver tous ces personnages. Puis j'aime beaucoup les structures narratives chapitrées en plusieurs narrateurs (Dragon Quest IV, Mother 3, Live A Live), je trouve ça excellent (et tant pis si effectivement ça donne lieu à un jeu plus dirigiste). D'ailleurs, Julien le dit plus ou moins, mais le scénariste des Années Suivantes avait justement travaillé sur Live A Live (il était carrément responsable du développement du jeu) et une bonne partie du scénario et de sa structure narrative en chapitres, donc rien que pour ça, ça m'intéresse (Live A Live étant l'un des meilleurs RPG de la SNES comme chacun le sait, je finirai peut-être par en faire un article cette année ). Je ne savais pas en revanche que Tokita avait aussi travaillé sur le jeu de base de Final Fantasy IV. Par contre, c'est un peu débile cette histoire de sauvegardes écrasées et de chapitres "supprimés", je ne le savais pas (alors que dans Live A Live on sauvegardait tous les chapitres sur un même fichier de sauvegarde, avec la possibilité de les refaire tant qu'on n'a pas débloqué le chapitre final). Je ferai gaffe donc si je joue à la version PSP. Ce qui est dit dans l'article sur le chapitre final au sujet de cette ambiance de fin du monde, le fait de rechercher tous les anciens personnages qu'on avait incarnés pour les recruter et l'importance de bien explorer les donjons et trouver les équipements ultimes pour avoir une chance de finir le jeu, ça rappelle effectivement Final Fantasy VI, mais également Live A Live (sorti avant, donc ça a pu inspirer FF VI) pour son chapitre final (et qui lui aussi était structuré en chapitres avec plusieurs narrateurs comme dit plus haut, donc ça ne m'étonne que Tokita soit de la partie). Sinon, j'avais entendu dire que le donjon final de cette suite durait entre dix et vingt heures (pour un final épique et harassant avec du défi), un truc de fou apparemment! Rien que ça, ça me donne vachement envie de jouer au jeu. L'auteur de l'article a bon goût de citer d'autres donjons marquants de la série comme le phare de Final Fantasy XII (s'il parle bien de celui-ci, que je considère comme le vrai donjon final vu que le suivant était une sorte de couloir menant au boss final) ou le donjon final de Final Fantasy VI. J'avais également été marqué par le donjon final de Final Fantasy V, assez long et éprouvant, un peu vicieux (genre, les boss placés juste après les points de sauvegarde!) avec une ambiance bizarroïde (on avait bien cette impression d'être dans le "néant" effectivement). De toutes façons, ça fait un moment que j'ai très envie d'une PSP (il y a plein de remakes de RPG qui m'intéressent et de quelques jeux d'action, et quelques jeux inédits), donc je vais finir par passer à la caisse et me prendre également cette version complète de Final Fantasy IV (ce serait aussi l'occasion pour moi de rejouer au jeu d'origine dans une plus belle version d'un point de vue graphismes, ça fait quatre ou cinq ans que j'ai découvert le jeu). |
gazza8 Pixel imposant |
Citation :
Le 2012-01-27 14:24, Sebinjapan a écrit :
Tu parles de FF4 Gazza ? Je suis d'accord pour dire que le personnage auquel tu penses est le plus intéressant du jeu (si on pense bien au même), mais Cecil reste clairement le héros et le personnage central du jeu, ne serait-ce que parce qu'il est le seul qu'on dirige du début à la fin et qu'il ne quitte jamais l'équipe (si j'ai bonne mémoire). Oups, j'ai confondu, je voulais dire Kain, et non pas Cecil Pourtant j'ai relu la fiche Wikipedia juste avant... Il me semble que le jeu se déroule de la manière suivante : 1) Le joueur commence l'histoire en incarnant un perso déjà très puissant (Kain ?) 2) Très rapidement, Cecil se joint à Kain... et au bout d'un moment (très court dans l'histoire du jeu, pas de spoil, ne vous inquiétez pas ) on se rend compte que Cecil restera le héros principal. J'ai juste ? |
Amindada Pixel monstrueux |
Merci pour cet article qui colle bien avec notre époque "uchronique-gaming"
Citation :
Le 2012-01-27 14:24, Sebinjapan a écrit :
Il y a quelque chose que j'ai adoré dans FF4 et qui n'a été repris que dans FF6 à ma connaissance, et encore, à un degré moindre. C'est que chaque perso est caractérisé par son histoire et sa personnalité, mais aussi par son utilisation en combat. Je suis bien d'accord et ça permet des combats simple dans leur approche mais complexe dans leurs possibilités (le contraire de FF8 par exemple). |
Sebinjapan Camarade grospixelien |
Tu parles de FF4 Gazza ?
Je suis d'accord pour dire que le personnage auquel tu penses est le plus intéressant du jeu (si on pense bien au même), mais Cecil reste clairement le héros et le personnage central du jeu, ne serait-ce que parce qu'il est le seul qu'on dirige du début à la fin et qu'il ne quitte jamais l'équipe (si j'ai bonne mémoire). Au contraire de FF6 ou on peut clairement débattre sur qui est le personnage central (je pense que c'est Tina / Terra quand même). Il y a quelque chose que j'ai adoré dans FF4 et qui n'a été repris que dans FF6 à ma connaissance, et encore, à un degré moindre. C'est que chaque perso est caractérisé par son histoire et sa personnalité, mais aussi par son utilisation en combat. Dans FF1, FF3, FF5, puis FF7 et tous les suivants (j'ai pas joué à FF2), chaque perso peut à peu près tout faire et est équivalent à un autre. J'ai entendu beaucoup de bien à propos du système de matéria de FF7 (MTF ?), mais moi ça m'a déçu de voir que les persos n'avaient plus leurs aptitudes uniques comme dans FF4 donc (en dehors des limites mais on ne peut pas les utiliser à chaque combat). Ici, ce serait idiot que Kain ou Yang puissent invoquer des "eons" comme Rydia. Et ça parait évident. Pourtant ça ne choque personne que Barret puisse le faire dans FF7 ? Moi si. Et à mes yeux les persos perdent de leur singularité et de leur intérêt. D'après ce que j'ai compris en lisant l'article, les persos conservent ces aptitudes uniques dans After Year, et j'en suis bien content |
gazza8 Pixel imposant |
À l'automne 2006, j'ai terminé l'excellente version GBA (avec un "nouveau" donjon par rapport à la version originale/PSX). C'était mon 2ème FF (après FF7) et j'ai adoré. Un des meilleurs scénarios tout RPG confondu, et surtout un scénario qui est bien du début jusqu'à la fin (pas de "creux"), cas assez rare finalement.
Concernant les persos, j'ai apprécié le fait que le héros principal n'est finalement pas Cecil : on s'en rend compte rapidement, mais pas lors des premières minutes du jeu - rassurez-vous, ce n'est pas un spoiler |
LVD Pixel visible depuis la Lune |
Citation :
Le 2012-01-25 16:41, Sebinjapan a écrit :
nous faisant même profiter de ce que nous ne pourrons jamais voir par nous même, à savoir la version originale sur téléphones portables japonais C'est la seule a laquelle j'ai jouee justement Le 1er chapitre etant gratuit... Ca m'a bien plu mais le concept du jeu en kit a payer en plusieurs fois, non merci. Je me prendrai sans doute la version psp un jour... |
MTF Modérateur groovy |
Bizarrement, quant à moi, je considère que le charme des FF réside justement dans le fait de ne pas réexploiter les personnages et les univers décrits. Malgré leur dénomination commune et leurs thèmes parfois proches, ils ont chacun un charme bien à eux que je trouve dommage de réutiliser.
J'ai pris bien du plaisir à lire cet article en tous cas, et ça me donne envie de déroger à ma "règle" ici, tant j'ai apprécié FFIV. Il faudra que j'y jette un coup d'œil, à l'occasion |
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