En fait, on peut utiliser aussi bien la croix directionnelle que les boutons pour les actions. Bas = A, Gauche = X, etc.
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"Et quand ils devenaient mécontents […] cela ne menait à rien, car sans idées générales, ils ne se focalisaient que sur des contrariétés insignifiantes. Les plus grands maux échappaient invariablement à leur attention." G. Orwell

Voilà, j'ai terminé les cinq épisodes de The Walking Dead.

Que dire, sinon que je me suis pris une grosse claque dans la tronche et que j'ai continué à vibrer jusqu'à la fin, scotché à la manette de bout en bout?
Vraiment, et malgré quelques défauts techniques, c'est un jeu exceptionnel, que je classe sans problème dans mon top 3 des jeux LIVE Arcade à faire absolument.

Maintenant, tout comme comme chaque tome du comics, je vais laisser mijoter le truc un temps - sûrement jusqu'à la sortie du prochain tome chez Delcourt - et je vais y revenir en faisant d'autres choix, d'autres actions et voir si je ne peux pas rattraper certaines "erreurs".

J'en profite d'ailleurs pour donner trois précieux conseils à qui n'en veut:

- Désactivez les notifications avant d'y jouer. C'est une vraie saleté qui squatte sans vergogne l'affichage des sous-titres ou de certaines actions contextuelles cruciales. J'ai failli foirer un truc super important à 5% de la fin et ça m'aurait juste fait péter un câble de devoir tout refaire à cause de ça.

- Il n'y a pas de bonnes décisions/actions, mais il y en a qui sont plus mauvaises que d'autres. Ici, il faut oublier le schéma d'un jeu Bioware qui voit tout en blanc ou en noir, en gardant simplement à l'esprit qu'il y a visiblement une couleur encore plus foncée que le noir et qu'il vaut mieux essayer de l'éviter.

- Si vos proches ne sont pas en âge de lire le comics et/ou ne le supportent tout simplement pas, ne jouez pas devant eux. Tout est ultra explicite, extrêmement rude et profondément marquant. Par pitié, s'il y a des papas joueurs qui passent ici, faites-moi plaisir en leur bloquant toute forme d'accès au jeu.

Sur ce, je vais aller faire un tour dans le topic qui spoil comme un gros sale.

Hmmm j'ai moyen apprécié perso. Ca cause beaucoup, on se déplace très lentement, et on peut pas zapper les dialogues ou cinématiques

En plus c'est chiant d'apprendre le background du personnage uniquement au hasard d'une discussion .... ca serait bien de savoir avant et de pouvoir repondre en conséquence....

Dommage qu'on puisse pas sauver tout le monde. J'y ai cru moi. Mais sinon y'a des embranchement en fonction de qui on sauve ou c'est juste un choix et la fin reste la meme ?
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Rez avait Romendil, The Walking Dead a RainMaker.

Je te charrie à moitié, mais as-tu compris ce qu'est ce jeu? A te lire, j'ai l'impression que tu t'attendais à un jeu d'action. Or, c'est un point'n click. Ça cause dans les point'n click, à plus forte raison dans un point 'n click directement inspiré de l'univers du comics, œuvre qui repose principalement sur les relations entre les personnages et l'évolution leurs psychologie.

Si tu lis le comics, tu verras que le rythme est lent, non pas parce-qu'il s'étale bêtement, mais parce-qu'il se pose et prend le temps de développer. Ben là, c'est pareil.

Pour répondre à ta question, oui, il y a énormément d'embranchements, dont la finalité ne se résume pas à sauver untel mais vont souvent beaucoup plus loin que ça, certains choix ou certaines actions anodins impactant le jeu sur la durée et divers dénouements.

Ha oui, je plussois. Certains développeurs prennent la peine de localiser les notifications dans une partie de l'écran où ça ne gênera pas ou peu le joueur, mais chez TellTale, rien de tout ça. Du coup, dès qu'un ami se connecte, blam, on peut plus lire les sous-titres ou/et les choix de dialogue...

Bon sinon, de mon côté j'ai fait les deux premiers épisodes, et pour l'instant ça me plait bien, même si j'aurais bien aimé que le côté point'n click soit un poil plus poussé. Là on est avant tout dans une logique de film interactif (particulièrement le 1er épisode) déguisé en PnC, en ce sens qu'on intervient ponctuellement pour faire des choix censés représenter des embranchement scénaristiques plus ou moins conséquent (ça va d'un petit mensonge par omission à sauver un personnage au mépris d'un autre...). Si on se laisse prendre à l'ambiance, ce qui est très facile vu la qualité d'écriture des personnages et de l'histoire en général, on passe un vrai bon moment et ça devient vite difficile de poser la manette (j'ai fait l'épisode 2 d'une traite)... Reste à voir si le jeu peut survivre a un second Run effectué avec des choix différents. On verra lorsque j'aurais terminé tous les épisodes...

Je sais exactement ce qui te passe par la tête en ce moment
C'est à se demander si certains réfléchissent avant de poster...

"Quoi ?! J'ai acheté Mortal Kombat 7, je n'aime pas le sang et on ne peut pas le désactiver ! Et où sont donc les Bisounours ?!"

J'ai aussi été déçu par l'épisode 1, mais je pense que c'est parce que les forums et podcasts l'ont complètement sur-vendu, et que j'en attendais trop du coup. Quand il est impossible d'éprouver le moindre sentiment par rapport à ces personnages moches et vides, les événements ont tout de suite moins d'impact. Qu'ils crèvent tous.
Je m'arrête à l'épisode 1. TWD, c'est un comic, et rien d'autre.

Allons allons, Odysseus. On ne peut pas plaire à tout le monde.

Lyle m'avait chaudement recommandé Walking Dead il y a un petit moment, mais je suis pas trop fans de zombies et je ne connais rien ni du comics ni de la série TV, donc je ne me suis pas précipité dessus, attendant une bonne affaire sur la version boite du jeu. Mais vu que cette version retail semble non seulement buggée mais en plus réservée au marché US, j'ai profité de la promo XBLA et j'ai lancé le jeu, plus par curiosité et envie de voir "ce jeu dont tout le monde parle".

Et j'adore (j'ai fait les 3 premiers épisodes).

Par contre, je suis surpris que le jeu soit aussi unanimement acclamé par la presse et les joueurs (sauf Mia et Rainmaker, hé, vous êtes que 2, vous êtes cernés, capitulez les mecs). Parce que son seul avantage sur Heavy Rain, c'est sa qualité d'écriture (histoire, persos), tout le reste est en dessous (réalisation, interface, finition) ou au même niveau, un niveau pas très élevé à la base (énigmes, interactivité).

C'est donc cette histoire rondement menée, cohérente, et ces personnages profonds et développés qui passionnent les foules. J'en suis surpris, mais TRES satisfait, moi qui voit toujours l'écriture être reléguée au second troisième avant-dernier plan dans la plupart des JV, même ceux portés sur la narration (l'exemple étalon sera donc désormais Heavy Rain qui, une fois passé le "choc" de sa réalisation, pourra prendre sa place méritée de nanard vidéoludique au sein de la grande histoire des JV).

Du coup, impossible de parler en bien de Walking Dead sans spoiler à fonds ! Je dirais juste que, comme Odysseus, j'ai été soufflé par les événements décrits / vécus dans ce jeu, tour à tour choqué, horrifié, mais parfois également réconforté devant certains passages démontrant l'humanité de ces personnages, voir leur humour, dont l'usage est forcément rare, mais jamais exagéré ni hors de propos. (et niveau humour, humour MORBIDE plus précisément, le nom des succès est particulièrement savoureux)
Par contre, comme JC, je regrette un peu que le coté point and click "traditionnel" ne soit pas plus poussé, mais, paradoxalement, j'approuve ce choix dans le sens ou ça aurait contraint certaines personnes moins habituées au genre à passer trop de temps sur les enigmes (ou pire, à aller consulter Gamefaqs), ce qui les aurait sortis de l'ambiance formidable du jeu.

Ca va créer un gros manque quand je l'aurai terminé, mais je suis pressé d'en voir le bout pour en discuter avec vous (et poser mille questions du genre "qu'est-ce qui se passe si on sauve X au lieu de Y ?".

Finalement, c'est pas là l'essentiel ?

On est en train de se rendre compte que dans le jeu vidéo il faut aussi savoir raconter une histoire et ce de belle manière...

Si seulement Heavy Rain n'avait que le quart de la qualité scénaristique et de dialogue de ce Walking Dead il aurait pu se rapprocher de la qualité cinématographique tant recherchée par David Cage.
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Mr et Mme Groidanmabaignoiretjesaipakoienfaire ont un fils: Gédéon... Arf arf arf

Je me suis aventuré à mes risques et périls sur le topic plein de spoilers sur TWD et j'en ai ramené un lien vers cet article d'MTF que j'ai bien aimé, alors je le partage ici.

Et j'y ai survolé l'avis de Camite, qui m'intéressait bien, mais ça a suffi à me spoiler deux-trois trucs, donc j'ai fui dommage, j'aurais bien aimé avoir une version spoiler-free (je ne me suis pas encore décidé à prendre les épisodes 3-4-5, pour lesquels j'ai loupé la promo de fin d'année).

Par contre, décidément, il n'y a que moi qui ai compris que le pad directionnel fait double-emploi avec les boutons d'action et que du coup, l'usage du stick droit ne pose aucun problème ?
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"Et quand ils devenaient mécontents […] cela ne menait à rien, car sans idées générales, ils ne se focalisaient que sur des contrariétés insignifiantes. Les plus grands maux échappaient invariablement à leur attention." G. Orwell

Non non j'ai compris, mais rien à faire, ça ne me paraît pas naturel d'avoir les actions sous la main gauche et le curseur sous la droite ^^ Donc au final dès que je sentais une scène d'action arriver, je mettais la main gauche sur le stick droit.

Désolé pour les spoilers, mais à vrai dire je ne vois pas bien comment parler de ce jeu sans. Enfin si, c'est possible, mais plein de gens l'ont déjà très bien fait, donc...
En tout cas j'ai raté la promo de Noël (j'étais pas là, ben ouais) mais je ne regrette pas d'avoir claqué le double, l'expérience le méritait.

Ce que je trouve balaise en fait, c'est que le scénario du jeu fonctionne quel que soit le comportement du joueur. On peut jouer le bon samaritain, le parfait connard, le taciturne ou le mec qui se mouille jamais, on sera pris dans le truc de toute façon. Je trouve ça assez fort en terme d'écriture. Après, je suis moins convaincu par la partie game design mais bon, c'est un jeu qui prend clairement le parti d'être davantage une BD interactive, et dans cette optique ça marche très bien.
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Si loin une roue

J'ai moi aussi terminé The Walking Dead. Je n'ai pas vraiment grand-chose à ajouter à tout ce qui a été dit jusqu'à maintenant : il s'agit assurément d'un jeu majeur, pas tant pour son gameplay (quasi-inexistant), mais pour sa puissance scénaristique. Jamais ne me suis-je autant senti happé par l'intrigue d'un jeu vidéo. Si vous aimez les séries télé, et que vous avez toujours rêver d'influencer un tant soi peu leur déroulement, The Walking Dead est immanquable. Pour moi, c'est la naissance d'un nouveau genre, que je suis prêt à suivre jusqu'au bout si la qualité de l'écriture reste au niveau de celle de TWD. Et tant pis si l'action du joueur se résume à appuyer sur les boutons de la manette de façon sporadique.

Avec le recul, TWD me semble être l'aboutissement d'un genre ancien, particulièrement populaire au Japon : le digital comic. Seulement, il aura fallu attendre cette génération de console pour atteindre un niveau qui, malgré la pauvreté du gameplay inhérente au genre, met tout le monde d'accord.

Notez que, tout pauvre qu'il est, ce gameplay est toujours bien vu car totalement intuitif. Rares sont les passages où je me suis demandé quoi faire avec le manette. Une belle prouesse.

Deux petits regrets, si tant est qu'ils en soient : 1. l'aspect "point'n click" de l'aventure est extrêmement limité. Les énigmes n'en sont pas vraiment tant elles sont simples à résoudre. C'est d'autant plus vrai que les lieux à visiter sont minuscules, les besoins de l'intrigue emprisonnant systématiquement les protagonistes dans de toutes petites zones de jeu ; 2. la fin du jeu, que j'attendais beaucoup, ne m'a pas renversé. Sympa, mais en fait très prévisible. En outre, les accusations du méchant ne sonnent pas justes. Le "monstre" décrit par l'homme, alors même qu'il n'a que 2 ou 3 reproches mineurs à me faire (j'ai joué un avatar vraiment très, très humain), ne correspond pas du tout à mon ressenti. Je n'avais, en outre, pas été du tout d'accord pour piller sa voiture. Les concepteurs auraient été sans doute plus inspirés d'adapter davantage les réparties de cet homme en fonction des actes du joueur.

Mais pour tout le reste, c'est parfait. Le jeu d'acteur de tous les protagonistes - impeccable de bout en bout - n'est pas étranger à cette réussite.

Enfin bref, ne manquez pas The Walking Dead.


Lorsqu'une scène d'action se déroule, il est possible de substituer la gâchette droite au bouton A - très pratique pour ne pas systématiquement avoir à passer de la manette droite au bouton avec le même pouce.

J'ai également fini The Walking Dead Season 1. Quelle expérience extraordinaire ! Je ne risque pas de manquer la suite.

Je rejoins ce que dit JC : on est plus dans le comic interactif que dans le point'n'click. Mais lui réfuter le statut de jeu vidéo serait priver le médium d'un de ses sommets en termes d'écriture et de représentation de l'humain. C'est inouï, ce qu'on réussi les scénaristes de Telltale, on tient là une vraie référence. Pratiquement tous les pièges inhérents au genre ont été évités. Je n'ai jamais trouvé l'attitude d'un personnage stupide, hors-sujet ou inutilement moraliste, je n'ai jamais ressenti le besoin que l'histoire avance plus vite, et je n'ai jamais eu envie que les zombies interviennent pour qu'on s'amuse un peu, alors qu'en visionnant la série TV j'avais très fréquemment ce genre de pensées (note : je n'ai toujours pas lu le comics). Au contraire, je me suis senti pleinement concerné, et les multiples choix m'ont permis de faire progresser mon personnage selon mon propre système de valeurs et ma version du bon sens commun.

Question larmes aux yeux et boule dans la gorge, je suis d'accord avec David : même si la fin est inoubliable, le top n'est pas la. Personnellement, ce qui m'a le plus ému est la mort de Duck dans l'épisode 3. J'ai rarement vu quelque chose d'aussi terrible dans un jeu. L'apparition du propriétaire du break, à la fin, me pose un problème. Je ne me sens pas concerné par ce qu'il dit, tout au long du jeu je me suis impliqué au maximum dans la relation avec Clementine, je suis persuadé d'avoir fait tout ce qu'il fallait, j'ai été consensuel et diplomate à donf, et j'ai voté pour qu'on ne pille pas le break. Lors de cette conversation, je présume que j'étais censé me remettre en question, ressentir un malaise imprévu, mais non, j'ai juste eu l'impression d'avoir un psychopathe en face de moi. D'où un sentiment mitigé sur ce twist, d'autant que tout n'est pas clairement expliqué.

J'ai aussi noté quelques facilités dans les épisodes 4 et 5, comme ces passerelles au dessus du vide qui cèdent systématiquement, ou ces cassettes vidéos qui en disent tellement qu'on dirait un fait exprès. Mais ce sont des détails. Tout le long j'y ai cru, j'ai ressenti des choses, j'avais envie de connaître la suite, j'ai aimé les personnages et chaque fois qu'un d'entre eux mourrait j'étais dégoûté. Malgré le peu d'exploration possible j'ai beaucoup aimé les endroits visités, et j'ai trouvé les interactions très bien pensées, parfois même plus mémorables que certains choix qui en définitive n'en sont pas vraiment (j'ai noté qu'une bonne moitié des stats en fin de niveau se partagent en 80%-20%). Je ne suis pas certain qu'il faille refaire le jeu avec des choix différents. A mon avis, ça ne fait que mettre en évidences certaines ficelles sans enrichir l'expérience. Ce jeu, il faut le jouer selon son ressenti, et prendre les conséquences comme elles viennent. L'expérience doit perdre de sa force a être allongée.

Donc bon voilà, The Walking Dead le jeu vidéo, même si ce n'est pas précisément le genre de jeu auquel j'ai envie de consacrer tout mon temps libre, c'est quelque chose de vraiment super que je conseille fortement.

Quelques observations sur les épisodes, sans spoiler (à part des trucs qu'on sait dès le début).

- Episode 1 : le plus faible. J'ai trouvé le démarrage laborieux, et pas super crédible. Le flic qui accompagne Lee devrait être au courant, pour les zombies, non ? Et quand on arrive au drugstore, pendant quelques minutes ça prend le genre de tournure qui me gonfle dans la série TWD, avec ce personnage qui se comporte comme un c... infect envers d'autres survivants alors que dehors il y a des zombies, et ensuite on est censé se faire retourner et l'aimer en apprenant qu'il ne cherche en fait qu'à protéger sa fille. A d'autres ! Heureusement ça ne dure pas longtemps, ce personnage se fait oublier un bon moment, avant d'être bien mieux exploité dans le second épisode.

- Episode 2 : excellent passage dans la ferme, un vrai film dans le film. La mise en scène, la montée en tension, les découvertes ultra-glauques, le final spectaculaire... On touche à la perfection. Par contre je regrette que Carley et Lilly disparaissent quoi qu'on fasse. Il y avait un début de romance sympa, c'était intéressant d'avoir à choisir, voire de se laisser tenter par les deux. L'intérêt principal du meurtre commis par Lilly est qu'il éclipse complètement le passé de Lee aux yeux du groupe, et il n'en sera plus jamais question. Très bien, ça nous évite d'interminables plaidoiries, que je commençais à redouter quand on m'a demandé de faire des aveux aux survivants.

- Episode 3 : je me trompe ou cet épisode est deux fois plus long que les autres ? Paradoxalement, c'est celui qui comporte le plus de longueurs, mais la scène de mort dont je parlais plus haut est un pic d'émotion sans égal dans le reste du jeu.

- Episode 4 : certains ont critiqué les péripéties de cet épisode, personnellement j'ai adoré. C'est palpitant, tout le passage dans l'école est fantastique, et ça se termine par une des scènes les plus stressantes du jeu, dans ce clocher. Je ne suis pas très fan de Molly, par contre, son côté ninja surpuissant est agaçant, et elle quitte le navire avant d'avoir vraiment su se rendre sympathique. Je me demandais aussi : est-ce que Christa est enceinte ? Plusieurs indices le font penser (vomissements, expressions de visage quand il est question d'avortement...), et quand Lee lui dit "you're walking for two", je ne sais pas s'il fait référence à ça ou à la jambe malade d'Omid.

- Episode 5 : et Jésus pleura... Non, sérieux, c'est un très grand moment de jeu, il y aurait beaucoup à dire sur les idées de gameplay utilisées, le rhytme, l'interprétation des comédiens de doublage qui atteint des sommets, l'attachement qu'on ressent pour Clementine, la portée de ce que fait Lee, qui n'a sans doute pas beaucoup de précédents dans un jeu vidéo. On n'est pas prêt d'oublier cette dernière demi-heure. Mon seul reproche est qu'ils aient trouvé le moyen, à la toute dernière seconde de la séquence post-générique, de nous mettre un foutu cliffhanger. Autant j'aime bien ça d'un épisode à l'autre, autant je trouve le procédé très naze en fin de saison et j'espérais qu'on nous l'épargnerait. C'est la seule authentique faute de goût que j'ai relevée dans ce jeu remarquable.
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Avis aux possesseurs de la version 360 : un patch arrive en ce moment pour rajouter les sous titres français ! Incroyable ! La version Steam devrait suivre bientôt.
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

J'ai vu l'info sur Gameblog. Je suis allé illico télécharger la mise à joue (15 Mo). Je m'étais arrêté à la fin du 1er chapitre de mon 2ème run. Je sens que je vais laisser de côté Dishonored et Portal 2 et m'y replonger dès ce soir.

Bonne nouvelle ! J'espère que ça sera inclus d'office dans la saison 2, et que ce patch permettra à d'autres joueurs de faire la première saison.

Excellente nouvelle en effet ! Pour ce jeu, il ne suffisait pas de bien savoir lire l'anglais, il fallait aussi savoir le lire aussi vite que sa langue maternelle, à cause des choix à faire en une poignée de secondes. J'avoue que parfois je n'avais le temps de lire que 3 phrases sur les 4 proposées.

Maintenant il faut croiser les doigts très fort pour que la trad soit vraiment bonne.
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"Et quand ils devenaient mécontents […] cela ne menait à rien, car sans idées générales, ils ne se focalisaient que sur des contrariétés insignifiantes. Les plus grands maux échappaient invariablement à leur attention." G. Orwell