Sympa ce nouvel article sur ce classique "mineur mais pas trop" de la mégadrive, avec de bons souvenirs à la clefs, pour ma part : http://www.grospixels.com/site/alisia.php

Bien vu la remarque sur la musique : je trouve aussi que c'est un des jeux qui à exploités le mieux les sonorités "métalliques" de cette machine, pourtant pas forcément adaptées sur tout les plans.
(Et l'utilisation du clavecin s'y retrouve bien.)

( Et oui, aussi le jeu n'était pas facile-facile - mais il existait bien un code à entrer "en rythme" avec le thème d'intro. )

Ca fait partie des titres qu je me dis depuis des annees que je devrais essayer, mais jamais encore vraiment eu l'occasion de m'y mettre.
Le parallele avec Valis me semble pertinent, pas niveau gameplay mais ambiance generale. Certains screenshots m'ont fait furieusement penser a ce premier.
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

Je n'aimais pas du tout le principe que l’héroïne vise tout seul, je me suis vite désintéressé du jeu à cause de ça.

Je trouve beaucoup de charme à Alisia Dragoon, c'est un des injustes oubliés de la Megadrive qu'on ne cite pas assez souvent.
Après, il faut s'habituer à son rythme, et notamment à sa progression pour le moins hachée et dominée par sa barre de puissance. On peut être tenté de s'arrêter toutes les 10 secondes, ou de foncer et tirer sans réfléchir...mais en fait, on peut foncer pour attirer plein d'ennemis à la fois, puis tirer un éclair chargé pour tout dégommer plus tard dans le stage. Ça demande un peu de connaissance des niveaux mais ça se fait, et il y a un côté jouissif à attirer tous les ennemis pour les détruire d'un seul coup, ça fait un peu "fausse proie" qui attire ses poursuivants dans une embuscade
Par contre, le jeu est parfois très cruel avec ses ennemis qui apparaissent juste sous les pieds. On dirait qu'ils sont faits pour prendre le contre-pied du réflexe type du joueur, celui de s'arrêter très brièvement pour prendre conscience du risque. Il faut soit s'arrêter tout net, soit foncer tout droit en les ignorant, c'est très contre-nature !
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"Si Kage t'y arrives pas, essaie les pruneaux d'Agen !"

Shenron, pendant une soirée Virtua Fighter 5 Ultimate Showdown.

C'est etrange je connais el nom de ce jeu, il me semble avoir lu un article sur consoles+ à l'epoque par contre je me rapellai pas du tout que c'etait ce genre de jeu. Je pensai plus à une sorte de BTA ou shmup.

Dis donc au fait, les dragons alliés on les a tous dès le départ ? c'est bizarre qu'on te file tout direct comme ca, je pensai que comme les options, ils se ramassaient au cours des niveaux.

Du coup si un dragon meure, tu meurs aussi ? tiens d'ailleurs j'ai vu une video de gameplay (https://www.youtube.com/watch?v=ZIIRtWPYBtg), on peut aussi ne pas en choisir oO ?

En tout cas j'aime bien ce genre de jeu action/plateforme. Ca me manque qu'on en ait plu

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Idem. Et pourtant, ce jeu me faisait bien envie dans les magazines à l'époque.
Dommage.
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Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.

Oui, ils sont là dès le début, mais si l'un viens à mourir il faudra s'en passer pendant le reste de la partie. Enfin, à moins de trouver un oeuf en bonus, et ils sont bien cachés, les bougres.
( Et à moins d'utiliser le code à l'intro "façon clavecin" évoqué plus haut, aussi. ^^" )

Pour le type de jeu, c'était platement classé "action" (le terme passe-partout de l'époque. ), alors qu'il y avait quand même un côté assez proche du shoot-em-up, voir du run & gun - enfin, sans le côté "speed" de ces deux autres genres.
Là, l'idéal serait effectivement de "ruser" tout en faisant gaffe où l'on met les pieds, comme dit Tama.

Perso, il me semble que j'avais tendance à utiliser d'avantage le dragon-lézard avec ses boomerangs.
( Et quasiment jamais le feu-follet, par contre. )

Je rattrape mon retard de lecture sur GP. Et merci pour cet article!
J'ai pratiqué un peu Alisia Dragoon, mais curieusement j'ai jamais accroché, en partie également à cause de la visée automatique.
Pourtant le concept était sexy!

Superbe jeu (matez moi cette intro, bon sang, quelle claque !) que cet Alisia Dragoon auquel je reprocherai toutefois une difficulté limite hardcore dans ses niveau avancés. Comme le dit Tama, les programmeurs se sont fait un plaisir de piéger le joueur et de remettre sans cesse en cause les réflexes acquis au fil des parties, au risque d’engendrer de la frustration. La visée automatique ne m’a en revanche jamais dérangé plus que ça, l’arme d’Alisia m’évoquant quelque peu les proton packs de Ghostbusters

Un jeu pas évident mais que je conseille vivement à tous les curieux. Merci à Pierre-Marie pour son article (mais au fait, PMA, y poste sur le forum sous un pseudo ?)