Trump Collection 1 & 2 ont été développés par Bottom Up, responsable entre autres de nombreux jeux de cartes et de plateau.

Trump Collection vous place aux commandes d'un petit personnage (parmi 6 sélectionnables) devant affronter de nombreux adversaires (contrôlés par l'ordinateur) afin d'améliorer et de meubler son logement. Ce logement sera composé jusqu'à 6 étages et doté de 53 objets différents. Pour ce faire, vous disposerez d'un nombre de points d'expérience qui variera et vous débloquera ainsi étages et objets, mais également jusqu'à 17 nouveaux adversaires, portant le total à 22 (les 5 que vous n'avez pas choisi le devenant dès le départ).

Pour augmenter vos points d'expérience, c'est simple : il vous faudra gagner dans les 4 jeux de cartes disponibles. 2 d'entre eux se joueront uniquement à 4 et ne pourront que vous faire gagner des points : ce sont le président (ou trou du cul) et le 8 américain (ou attrape-couillon, le Uno en étant une version simplifiée). Les 2 autres, jouables uniquement à 2, seront également les plus risqués, car vous pourrez perdre gros : ce sont le poker fermé et le blackjack. Mais qui dit perdre gros, dit également gagner gros, et ce seront les seuls jeux à pouvoir vous faire gagner des montants astronomiques - jusqu'à 100 fois votre mise, soit un maximum de 3000 points - quand le président et le 8 américain ne pourront vous rapporter que maximum 150 points.

Trump Collection 2 ne se contente pas d'une légère amélioration graphique, mais modifiera complètement le contexte et les jeux de carte disponibles. Ainsi, vous devrez cette fois-ci voyager de par le monde afin d'affronter vos adversaires sur également 4 jeux de cartes. 2 d'entre eux se joueront uniquement à 4 : ce sont une variante de 8 américain nommée Page One, et le Fan Tan (ou sevens). Les 2 autres seront jouables uniquement à 2 : ce sont le Flip (ou Speed) et le Memory.

Avis du déchu : Deux excellentes compilations pour qui souhaite jouer à des jeux de carte variés dans un contexte de déblocage de nombreux bonus.
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Pour info, je n'ai plus que 5 fiches gameplay à poster pour ce premier rush "best of des jeux WonderSwan jouables par un non-japonisant". ^^
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Uchuu Senkan Yamato a été développé par Tom Create, responsable entre autres de nombreuses adaptations sur consoles.

En 2199, l'humanité vit ses dernières années : la puissante flotte de la planète Gamilas envoie des astéroïdes radioactifs sur la surface de la Terre, la rendant peu à peu inhabitable. Dernier espoir des terriens, un message provenant de Starsha, reine de la planète Iscandar et détentrice du Cosmo Cleaner D, seul appareil pouvant décontaminer la Terre. Ce message contient également les plans d'un moteur révolutionnaire, le Warp, permettant en quelques mois un voyage vers la planète Iscandar qui aurait été simplement impossible autrement. Le vaisseau spatial Yamato est construit, équipé de ce moteur, mis en service par le capitaine Okita et son équipage pour ensuite partir rejoindre la reine d'Iscandar. Mais de nombreux dangers guettent...

Et c'est ainsi que débute le jeu. Chacun des 17 niveaux de jeu reprendra un passage clé de l'anime, de la première débandade terrestre au sauvetage de la planète Terre. Le jeu dispose également de 8 nouveaux scénarios permettant un vent de fraicheur pour ceux qui connaitraient parfaitement l'anime, amenant de nouveaux ennemis et créatures spatiales. Selon vos performances et points gagnés durant les batailles, de nombreuses fins seront également possibles.

Côté gameplay, que du très classique pour un T-RPG : vous vous déplacez sur un damier, défendrez ou attaquerez (avec choix d'armes) vos ennemis, un tour après l'autre, sachant que la grande majorité des conditions de victoire sera de vider la carte de jeu des ennemis.

A noter que Uchuu Senkan Yamato dispose d'un bonus très sympathique : en effet, dans le menu principal vous pourrez accéder à un Shoot'em Up ! Vous parcourrez ainsi 3 niveaux armé de vos lasers améliorables et de smart bombs, à commencer par un champ d'astéroides ...

Avis du déchu : Un T-RPG fort sympathique, doté en plus d'un shmup, que du bonheur !
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Wizardry a été développé par Sting, responsable entre autres de Riviera, Yggdra Union et Gungnir.

La contrée de Llygamyn est le siège de nombreuses légendes. Celle-ci vous mène au seigneur fou Trebor, autrefois possesseur d'une amulette mystique mais depuis volée par l'archimage Werdna. Le pouvoir de l'amulette permis à Werdna de se créer un souterrain de dix niveaux protégé par de nombreux monstres et pièges. Déclaré terrain d'essai par Trebor, voici maintenant 5 années qu'il envoie inlassablement des aventuriers se casser les dents dans le labyrinthe afin de retrouver son précieux. Maintenant, c'est votre tour.

Vous débutez votre périple dans la ville, et devez créer une équipe de 6 personnages maximum. Pour chaque personnage, vous devrez déterminer sa race (Humain, Elfe, Nain, Gnome ou Hobbit), son alignement (bon, neutre ou mauvais) ainsi qu'une des 4 classes de base (Guerrier, Prêtre, Mage ou Voleur) déterminées d'après les points de caractéristique distribués. Ces classes pourront être plus tard améliorées en l'une des 4 classes d'élite (Évêque, Samouraï, Seigneur ou Ninja). Une fois équipée avec armes et armures de base, votre équipe descend dans le labyrinthe pour affronter des monstres par grappes entières dans des combats au tour par tour. Vous pourrez également trouver de nombreux coffres, mais gare aux pièges !

Les commandes du jeu sont à connaitre : boutons X pour se déplacer, A pour valider, B pour annuler, Start pour afficher le statut de votre équipe, Y1 pour le menu de jeu, et Y3 pour la carte du niveau de labyrinthe en cours (fonctionnalité non présente dans le jeu d'origine, plus besoin de tracer le labyrinthe à la main !). Pour réaliser un soft reset, faites Y4+Start. Et enfin, pour réinitialiser les données de jeu, maintenez Y1+Y4+A+B tout en allumant votre console.

Possibilité primordiale, vous pouvez mettre le jeu intégralement en anglais ! Pour ce faire, modifiez les 4 premières entrées du menu des options.

Avis du déchu : Un RPG de la vieille école (l'opus originel date de 1981), amélioré en vue des standards du rpg des années 2000 mais tout en conservant sa difficulté féroce, méfiez-vous !
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Wonder Classic a été développé par Yoshidayama Workshop pour le compte de Namco, responsable entre autres de l'adaptation WonderSwan (pour le compte de Taito) de Puzzle Bobble.

Le jeu se découpe en de nombreux modes : Entrainement, Obtention de personnage (où vous devrez affronter et vaincre vos 10 adversaires l'un après l'autre et sur un parcours de 18 trous afin de les débloquer dans tous les modes de jeu), Match au score, Match au nombre de trous remportés, Match de frappes (où vous ne ferez que des frappes), Match de puts (où vous ne ferez que des puts), Mini Golf (9 trous en Par 3), Tournoi (32 participants), et Tournoi en ligne (inutilisable cause arrêt du service WonderGate).

Le Gameplay est à la fois simple et complet. Tous les éléments nécessaires au jeu seront disposés efficacement sur l'écran en temps voulu : Météo, sens et force du vent, le Par et la distance restante du parcours, le club sélectionné et sa portée maximale, tout comme la puissance et la précision du tir que vous réaliserez en plus du point d'atterrissage estimé.

Et que dire des commandes si ce n'est qu'elles sont simples à prendre en main? Y1 et Y3 (axe horizontal) pour viser, Y2 et Y4 (axe vertical) pour changer de club, X1 (laisser appuyé) pour avoir une vue du parcours, X2 pour les options, X4 pour activer/désactiver le Power Shot (limité à 6 utilisations par match) et X3 pour valider et passer à l'étape suivante : le tir. Durant cette étape, les 4 touches Y vous permettent de spécifier le point d'impact sur la balle, tandis que X3 active la jauge de tir : Appuyez une fois sur X3 pour déterminer la puissance de tir (tout à gauche donne le tir le plus puissant), une seconde fois pour la précision (il vous faudra atteindre pile la barre située à droite de la jauge, surmontée d'une petite flèche rouge, pour une précision maximale).

A noter que chacun des personnages de jeu possède une habilité spécifique : Par exemple, utiliser Reiko annulera purement et simplement les effets du vent, tandis que Chuck aura la frappe la plus puissante de tout le jeu. De plus, ils disposent de 6 caractéristiques vous aidant à choisir lequel prendre : Trajectoire de la balle (courbe gauche, rectiligne, courbe droite), puissance, hauteur, précision, zone max et backspin (capacité à immobiliser la balle dès son premier impact au sol).

Avis du déchu : Ne connaissant pas du tout les règles de golf, j'avoue que ce jeu m'a surpris par son accessibilité et le fun qu'il procure. Une valeur sûre.
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Wonder Stadium '99 a été développé par Namco, responsable entre autres de Pac-man, Splatterhouse et Ridge Racer.

Le jeu dispose de 3 modes : Exhibition, All-Star ou Homerun. Dans Exhibition, vous choisirez l'une des 14 équipes (12 réelles et 2 fictives) ainsi que le nombre de manches (de 1 à 9), et vous jouerez contre l'adversaire de votre choix sur l'un des 3 stades existant (classic, bord de mer ou espace). Dans All-Star, vous pourrez créer votre propre équipe et la mener à la victoire au bout du championnat. Homerun vous donne accès à un mini-jeu consistant à faire le plus de Homerun possible.

Le gameplay est instinctif : en phase d'attaque, vous pourrez tout d'abord choisir la position de votre batteur par rapport au marbre, la frappe de la balle dépendant du timing et tout en sachant que vous pourrez également faire un amorti au besoin. Après frappe, vous ne dirigez l'avancée ou le recul que du joueur actif, votre autres joueurs s'adaptant à son comportement.

En phase de défense, Vous pourrez tout d'abord choisir la position de votre lanceur sur le monticule (ce qui vous donnera accès à autant de types de lancers que de positions possibles) et influer sur la trajectoire de la balle après lancer. Après lancer, le jeu sélectionnera automatiquement le joueur le plus proche de la balle, et, une fois attrapée, vous relancerez simplement la balle en mettant la direction d'une des bases.

Les seuls différences entre Wonder Stadium et Wonder Stadium '99 sont quelques mises à jour au niveau des équipes, et de rares différences graphiques.

Avis du déchu : Un jeu de baseball bien sympathique et sans prise de tête.
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XI [sai] Little, nommé Devil Dice en Europe, a été développé par MBI, dont c'est le seul et unique jeu. Le jeu a été originellement créé par Shift via la Net Yaroze, kit de développement amateur de la Playstation.

Vous incarnez un petit diable capable de faire rouler sous ses pieds le dé sur lequel il se trouve, faisant ainsi changer à chaque mouvement la valeur plantaire de celui-ci. Vous vous retrouvez dans une arène dans laquelle des dés sont déjà présents, mais apparaissent également à intervalle régulier, précédés par un éclair. Le but du jeu est de faire disparaitre ces dés en les organisant en chaines numériques proportionnelles : par exemple, pour faire disparaitre des dés de 5, vous devrez en faire une ligne de 5 dés de 5. De plus, une fois que cette chaine est activée, vous pourrez faire une réaction en chaine en collant d'autres dés de même nombre contre la chaine qui est en train de disparaitre dans le sol.

A noter que le dé de 1 sera le seul à ne pouvoir disparaitre (ne pouvant être combiné), et qu'au besoin, vous pourrez descendre des dés pour tout simplement les pousser.

XI [sai] Little dispose de 4 modes de jeu : Trial, Battle, Dance et Puzzle. Trial est le mode standard du jeu, où votre objectif sera d'enlever autant de dés que possible avant que la grille ne se remplisse complètement. Battle vous permettra d'affronter une IA ou un joueur humain (via câble link), en effectuant le plus de chaines possible. Dance vous amènera à affronter une IA ou un joueur humain à la manière de Dance Dance Revolution : le but sera de tourner votre dé sur le nombre prévisualisé au moment où il apparait dans la case de tempo. Enfin, Puzzle, est le mode dans lequel vous devrez résoudre des énigmes (comme faire disparaitre tous les dés) en un nombre limité de mouvements.

Enfin, fait assez rare sur un jeu rétro pour être souligné, en plus du traditionnel menu d'options, vous aurez également accès à la notice complète du jeu !

Avis du déchu : Un jeu d'action/réflexion très original, mais demandant une certaine maitrise avant de pouvoir être apprécié à sa juste valeur.
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Voilà, c'est la dernière fiche. Le menu en premier post est à jour également. ^^

Les prochaines, ça sera pas avant l'année prochaine.
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j'ai cru au debut que t'avais deja fini de faire le tour des jeux
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Y'a à peu près 200 jeux en tout sur Wonderswan, y'a encore de la marge.
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À propos de Judgement Silversword (abordé en page 3 de ce Groblog bien intéressant), un portage PC vient de sortir sur Steam : http://store.steampowered.com/app/278510/ 5 euros ou 20 euros en lot avec Eschatos. Les deux jeux étaient déjà réunis dans le DVD d'Eschatos sur Xbox 360.



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www.press-start.be

C'est toujours sympa à savoir. ^^

En parlant de compilations, j'ai toujours trouvé dommage qu'on a eu aucune compilation d'exclus wonderswan sur d'autres plateformes. ça aurait claqué une série de compils sur DS par exemple, même en démat'.
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Je viens à l'instant de terminer la lecture de ce Groblog, et que dire sinon te féliciter pour la qualité de tes présentations. Je ne connaissais pas du tout la ludothèque de la Wonderswan, cette lacune est maintenant en partie réparée. J'attends la suite avec impatience. Bon courage à toi

Pareil super grosblog, j'espère ton retour, quand je lis tes critiques bizarrement la wonderswan me fait plus envie que la gameboy je ne me l'explique pas.
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Ce genre de feu, il est très difficile de l’éteindre. Les tendres rameaux de l’innocence brûlent les premiers. Puis le vent se lève, et toute bonté est alors en péril

Ratatata: Nikeleos vous êtes vraiment étrange dans vos réactions

Mazette, ça faisait longtemps, 2015. ^^

Concernant la Wonderswan, j'ai plutôt laissé de côté l'achat de jeux entre 2016 et 2020 (j'ai dû en prendre 5-6 en tout) pour bieeeeeeeen me rattraper depuis 2021 (une bonne quarantaine).

Mais on est malheureusement arrivés dans un monstrueux paradoxe : plus la console est devenue "jouable" (notamment grace à d'autres dossiers et pas mal de vidéos YT qui ont pop depuis sur la toile, les nombreuses fantrads de jeux à textes lourds, mais surtout grâce au magnifique kit rétroéclairage à faire sur la Wonderswan Color apparu sur Aliexpress il y a de ça 3 ans), plus elle devient inaccessible. C'est simple, le prix des jeux et consoles a juste explosé

Restent les services de proxy (oubliez ebay) ou l'émulation. J'aurai bien dit les flashcarts, mais elles sont pas encore au point.


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