Tu vas te régaler.
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Captain Toad ne m'a jamais tenté, parce que dans Super Mario 3D World, j'ai quand même trouvé les niveaux Captain Toad beaucoup trop simplistes (ils se finissent tous en deux minutes, allez, cinq minutes max pour le dernier). Pas de quoi en faire un jeu à part entière, c'est ce que je me suis dit.

Edit : Après, peut-être que j'ai tort, que c'est beaucoup plus poussé et intéressant dans le jeu complet Captain Toad.

Ils ont viré toutes les équipes de dev ou bien ? je suis quand même pas la déçu. Ils sortent plus rien nintendo


Y'a un con qui a décidé chez eux que personne ne voulait de nouveau f-zero, du coup ils en sortent plus... Alors que des recyclage de mario kart, ca on s'en tape à la pelle
Remarquez y'a le même abruti chez namco qui a décidé de torpiller les ridge racer
Ou chez konami qui s'est dit que les jeux c'etait plus à la mode ....



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Ha c'est ici la console des remasters et portages low-tech vendus plein pot.

Trêve de troll, j'ai vu une édition de Little Nightmare sur Switch en réservation pour 60€ sur fnac.com, jeu qui se finit en 3-4h vendu 20€ à sa sortie en dématérialisé sur les autres supports. Attention à l'arnaque, c'est sympathique mais ça vaut clairement pas plus de 25€ GRAND max en boîte (et encore en collector avec des bonus)

Rain, Konami vient de sortir MGS survive (qui semble être une daube sans nom) parce que les jeux de survie sont à la mode. (mais c'est HS ici, enfin j'ai pas regardé si ça sortait sur Switch, j'en doute).
Bon finalement ils auraient peut être dû arrêter le JV.

Comment pourraient-ils faire un nouveau F-Zero ?

Comment peut-on envisager de faire mieux que ça ?



F-Zero GX a mis la barre trop haut. Ils ont peur.

Le pire c'est que tu as raison
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Ben je n'ai jamais touché à un autre F-Zero que le 1er sur SNES, mais je pense que personne ne leur en voudrait d'essayer...
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... mais j'ai rebranché la Master System sous la télé!

On vient à peine de sortir d'une période orgiaque (Zelda Breath of the Wild, Arms, Splatoon 2, Super Mario Odyssey, Xenoblade 2), donc bon, un peu de patience, quoi : on dirait un enfant pourri gâté.
Tu as déjà eu le temps de faire tous leurs jeux qui sont sortis dernièrement ?

C'est normal qu'on soit maintenant dans une période plus "calme" (tu crois que sur PS4 ils sortent du God of War, du Horizon ou du The Last of Us tous les six mois ? ), mais ils sortent encore des trucs : Kirby, Yoshi, Mario Tennis, un nouveau Smash Bros en fin d'année. Les prochains projets de Retro Studios ou Next Level Games ne devraient pas non plus tarder à pointer leur nez, avant la sortie de Metroid Prime 4 et des prochains jeux des équipes Mario/Zelda/Mario Kart/Monolith.



Des portages de jeux Wii U avec l'ajout de contenu inédit, ce n'est pas ce que j'appelle du foutage de gueule non plus.

Mais bon, il n'y a pas un seul remaster de jeux PS2 et PS3 sur PS4 ?

Ah, et sinon, il y a Octopath Traveler qui sort en juillet : vivement !

On demande pas de faire mieux, la preuve les mario kart declinent en qualité petit à petit.
On demande de faire pareil avec d'autre circuits. Au passage s'ils pouvaient rendre le jeu plus facile: le gx c'est le 1er que j'arrive pas à finir en master.

Après... moins d'adversaires, et surtout pas de meute. Des adversaires reparti de facon logique, de la ziq qui dechire, des cameos de persos nintendo (pourquoi pas), et un petit scenar et zou on envoie
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A part ça, Mario Kart 8 est simplement le meilleur Mario Kart de la série.

Ho je ne dis pas le contraire pour les remasters, c'est même devenu une habitude des éditeurs sur tous les supports.
C'est plutôt une bonne idée sur le plan éditorial, Le JV devient comme les albums musicaux ou les films ressortant en nouveau format. Si seulement il y avait aussi plus de nouveautés occidentales (hors indés à gros pixels ), heureusement le Japon reprend du poil de la bête depuis l'année dernière. Rien que cette année on a DBZ ou Monster Hunter World qui cartonnent partout, un autre Yakuza avec un nouveau moteur etc...
Mais sur switch ça se voit plus car les sorties inédites sont pour le moment moins régulières (aucun des précités déjà...), je constate juste en voyant les bacs en magasin et les annonces depuis quelques mois.

Mais l'année 2017 a été exceptionnelle aussi, Nintendo pouvait difficilement faire un meilleur lancement de console.

Nope.



...



Cette saloperie tue complètement l'intérêt du jeu.
Mais bon, oui... le jeu est très beau, les tracés excellents et on peut toujours désactiver les items offensifs
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"D'accord Force Créatrice, vous vous chargez de la qualité, je prendrai soin de la quantité."

Ouais enfin cette saloperie est présente depuis depuis Mario 64 donc bon, c'est pas vraiment de Mario Kart 8
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C'est pas la même... dans le 8 elle est impitoyable
Ces andouilles de dev' font du troll avec le premier de la course :
- "T'es premier, t'as donc besoin de pièces, c'est bien les pièces ça brille !"
- "Oh, tu conserves talentueusement ton klaxon/champi'/étoile que tu as acquis dans les tréfonds du peloton ? Mange donc cet éclair du pif avant de te prendre une carapace bleue !"

C'est d'autant plus con que les tracés du jeu sont clairement les meilleurs de la série et le 200cc est un excellent mode qui permet des nouveaux raccourcis et demande d'utiliser le frein (qui ne servirait jamais sinon).
Dommage aussi qu'ils aient viré le fire-hopping, ça rendaient certaines sorties de virages moins monotones

...

Sinon, j'ai vu que Splatoon 2 aura un DLC solo payant... intéressant.
Sauf que j'ai systématiquement zappés tous les contenus des parchemins qui racontaient l'histoire de base, moi je veux juste des tickets/fragments pour booster mes équipements en ligne
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"D'accord Force Créatrice, vous vous chargez de la qualité, je prendrai soin de la quantité."

Si on a le klaxon (ce qui n'est pas si rare quand on est premier, surtout sur Switch où on peut avoir deux objets), on peut se débarrasser de la carapace bleue.

Pas pour moi, mais chacun son avis


La carapace bleue elle est pas depuis le 1 oO ?
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Sinon, je viens de finir The End is Nigh à 100% : j'en ai bien chié !

Pour ceux qui ne le savent pas, c'est le nouveau jeu d'Edmund Mc Millen. J'ai l'impression que le jeu a salement bidé : sûrement cette première impression de "redite" de Super Meat Boy en moins qu'on a au départ, je ne sais pas, ou bien un manque de communication (le jeu n'a même pas été traduit en français, alors que Super Meat Boy était en français, et on se tape des doublages anglais sans sous-titres, c'est dur à accepter quand même).

C'est vrai que moi-même, j'ai mis un peu de temps à adhérer. Au début, on n'arrête pas de penser à Super Meat Boy, mais en moins : pas de sprint, pas de saut sur les murs, pas de musiques inédites (que des musiques classiques remixées) à part celle des crédits (jolie chanson d'ailleurs), pas de scrolling non plus (que des écrans fixes du début à la fin). Donc pendant plusieurs heures, le jeu me faisait beaucoup penser à Super Meat Boy, en moins bien.

Mais petit à petit, au fil des heures, le jeu fait de moins en moins penser à Super Meat Boy. Le nouveau gameplay consistant à s'accrocher aux rebords est vachement bien, il est exploité à fond. Mais sinon, au fur et à mesure, on apprend plein de nouveaux "mouvements" qu'on pouvait faire dès le début du jeu ! Et ce n'est pas anodin car ces mouvements nous servent à débloquer tous les passages secrets qu'on avait totalement zappés dans les premiers niveaux.

En fait, dans chaque écran, il y a une "tumeur" à ramasser, et ça constitue un mélange entre "puzzle" et plate-forme pure. C'est là que la difficulté arrive dans des écrans qui semblaient très simples à passer, mais beaucoup plus durs pour avoir la tumeur. Et puis le jeu a un côté "Metroidvania" beaucoup plus poussé que je ne l'aurais imaginé, à un point qu'on s'éloigne totalement de Super Meat Boy où on enchaînait les niveaux sans aucun rapport entre eux. Là, ce n'est pas le cas, même si le cheminement reste relativement linéaire, il y a plein de passages secrets et de chemins de traverse à trouver pour accéder à plein de portions inédites de niveau, la plupart assez hardcore pour y choper une "méga tumeur".

Il y a aussi les niveaux bonus "The Future" qui donnaient vraiment des sueurs froides, pour y trouver des cartouches de jeux vidéo.

Et alors là où le jeu décolle pour de bon, c'est sa dernière partie qui est gé-ni-ale ! Il y a un très bon petit "rebondissement", et une idée excellente qui met bien la pression :

toutes les "tumeurs" qu'on a ramassées, constituent en fait des "vies" pour l'espèce de "Dark World"
qu'on découvre dans la seconde partie du jeu, consistant à revisiter certains anciens niveaux du jeu en version hardcore.

Une très bonne idée, qui renoue avec une certaine conception des vieux jeux vidéo (un peu perdue dans les jeux indés où on n'a pas vraiment de pression à mourir et recommencer dans le même écran où on est mort), récompensant à la fois les joueurs qui ont bien exploré et donnant un sentiment de stress sur du "long terme".

Et le niveau final du jeu, ainsi que tout le final, c'était fantastique ! Toute la fin est vraiment géniale, j'ai adoré, avec un bon coup de pression et une musique remixée qui est extra ! Ce remix, quoi, qui met bien dans l'ambiance de ce passage de fou :

https://www.youtube.com/watch?v=vryGsE3CGZU

D'ailleurs, les musiques, j'ai finalement beaucoup accroché à ces remixes de musiques classiques : ça donne un vrai cachet au jeu, c'est bien fichu, j'adore.

Enfin, le défi ultime, ce sont les cartouches. Déjà, il y a les "cartouches glitchées" de la seconde partie du jeu, qui sont bien vicieuses pour la plupart. Mais surtout, il y a deux épreuves terribles : la "Tower of Ascension" et la "Mega Cartridge". La "Tower of Ascension", ça consiste à enchaîner sans mourir les quatre cartouches "étapes du deuil" qu'on obtient dans les niveaux bonus "The Future", puis un cinquième niveau totalement inédit sur lequel il est impossible de s'entraîner à part ! J'ai passé des heures à réussir cette Tower of Ascension : ça faisait longtemps que je n'avais plus été si stressé dans un jeu, la peur de perdre absolument toute ma progression à la moindre mort !

En fait, cette cartouche ultime où il faut faire ces cinq niveaux à la suite s'appelle aussi "Acceptance", avec l'idée qu'on progresse dans les "étapes du deuil", mais qu'il est très difficile d'arriver à l'"acceptation" et très facile de retomber dans les précédentes étapes du deuil : ils sont cons, ces développeurs, à se foutre de ma gueule !

Je peux vous dire que mon "acceptation", je l'ai vraiment savourée, j'ai jubilé !

Dans le même genre, la Mega Cartridge, c'est aussi un défi assez maousse : là aussi, ça consiste à enchaîner tous les niveaux des autres cartouches de jeux vidéo, d'une traite, plus un niveau ultime qui se débloque et sur lequel on ne peut pas s'entraîner à part non plus. Bon, on a droit à neuf vies et deux continues, donc c'est un peu plus "serein"... sauf si on veut choper tous les mille anneaux, et si on veut finir cette Mega Cartridge sans utiliser de continue ! J'en ai chié !

Ce qui est sympa, c'est que ces deux cartouches apportent de nouveaux éclaircissements sur le scénario du jeu, elles ont chacune leur petite "fin" avec le texte explicatif.

Ah, et on a aussi un niveau ultime qu'on peut débloquer, afin d'accéder à la fin alternative du jeu. Vachement dur, ce niveau, c'était galère, mais je suis fier d'avoir réussi.

Par contre, je n'ai vraiment pas tout compris sur le scénario, parce que ça parle en anglais sans sous-titre, et tous les PNJ du jeu, pareil, je ne suis pas à l'aise avec l'anglais (même si j'arrive à peu près à comprendre, mais c'est chiant pour moi). Je ne sais pas si quelqu'un a fait le jeu ici, pour m'expliquer un peu mieux le scénario ?

En tout cas, le jeu est excellent. Level-design au top avec plein de bonnes idées, jouabilité très précise qu'on peut vraiment bien doser, on découvre de nouveaux "mouvements" et de nouvelles idées de gameplay dans les niveaux, même les décors sont sympas dans leur DA, et les musiques mettent bien dans l'ambiance. Une petite perle, ce jeu. Il ne faut pas se fier à la mauvaise impression de départ d'avoir affaire à un Super Meat Boy en moins bien : plus on avance, et plus le jeu se différencie de son aîné, pour trouver sa propre identité.

Du coup, j'ai bien envie de me faire Celeste, maintenant. Je n'ai pas encore assez souffert.

Je confirme tout le bien que les gens disent de The End is Nigh, que ce soit chez Simbabbad ou Bigby.

J'apprécie bien plus ce jeu que Super Meat Boy, dans le sens où la collecte d'objets est moins punitive que dans SMB puisqu'il "suffit" d'emprunter une sortie, n'importe laquelle, pour valider l'objet et non devoir terminer le niveau ou même l'écran sur lequel on se trouve.

Un jeu du même genre et bien difficile qui m'a profondément marqué sur Switch, c'est Celeste. Je manque de temps et de mots pour décrire ce jeu mais c'est un grand, grand jeu. Et son mode "Assisté", paramétrable de A à Z, ne prend pas les joueurs pour des cruches en se moquant d'eux salement. C'est probablement le meilleur exemple d'assistance aux joueurs, quels qu'ils soient, de ne pas se sentir incapables de découvrir le jeu.

Et les personnages, les dialogues, le thème du jeu, l'ambiance, les décors, les musiques, les Faces B (et C), Madeline, Madeline, les Fraises, Madeline...

Verdict :
Les Fraises /10.
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

The End is Nigh, plus le temps passe, et plus je l'apprécie. En dehors du gameplay, il a une ambiance très présente et un univers marquant. J'aime aussi beaucoup la logique "écran par écran" façon Jet Set Willy.

Par contre, après avoir rejoué à Super Meat Boy, je le trouve bien plus stressant et plus dur que Super Meat Boy pour le 100%. Entre finir un écran et finir un écran avec la tumeur, c'est le jour et la nuit. Et la section avec vies limitées, ouch.

Pour Céleste, je suis heureux de voir Matt Thorson cartonner, il le mérite.
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Je ne trouve pas The End is Nigh spécialement plus dur que Super Meat Boy, sauf deux niveaux particuliers et optionnels : Tower of Ascension et Super Mega Cart, vu qu'il faut finir tous les niveaux soit sans mourir (Tower of Ascension), soit avec un nombre de vies limitées (Super Mega Cart), et en plus on finit par un niveau bonus qui est exclusif à ces deux cartouches (pas moyen de s'entraîner dessus à part).

Mais sinon, dans Super Meat Boy, je me souviens de certains niveaux bien horribles comme le niveau du Kid, certains niveaux en Dark World de Rapture et Cotton Alley, et certains sparadraps assez immondes (surtout celui de la première warp zone de Rapture, c'est immonde ! ).

Après, clairement, la difficulté de beaucoup d'écrans de The End is Nigh n'a absolument rien à avoir si on les fait en ligne droite ou si on cherche à avoir la tumeur. C'est vachement bien fichu, avec une vraie double vision du level-design de chaque écran. Je n'en reviens pas que ce jeu a été développé en moins d'un an !

Ah, et vous pouvez vous en douter, mais il est réellement possible de finir le tout premier niveau "cartouche The End is Nigh" au cours du prologue du jeu. Vous savez, la cartouche qui crashe si on meurt une seule fois, ce qui oblige le héros à sortir de son trou et à démarrer son aventure pour se faire un ami. Et bien les développeurs ont prévu le coup, il se passe un petit truc marrant si on arrive à finir ce niveau du prologue !



En gros : le héros a l'air de dire "Ah bah finalement, c'était facile", et le jeu s'arrête, retour à l'écran-titre, sans sauvegarde, vu que l'aventure n'est pas censée avoir lieu si le héros n'a aucune raison de sortir de chez lui vu que le jeu n'a plus crashé.

Sympa, comme bonus hardcore et finalement ironique ! ^^

Bon, je ne crois pas que je vais y arriver. Certes, on pourrait s'entraîner à mort sur le niveau en question une fois qu'on l'a débloqué très, très, très tard dans l'aventure, mais je ne suis qu'un modeste joueur, pas un mutant.

Quant à Celeste, je suis en train de le finir et je confirme tout le bien que j'en ai lu. Du moins, toute la quête principale est franchement fabuleuse, avec un gameplay jouissif, très intelligemment construit dans son level-design, sa manière d'introduire de nouvelles mécaniques de gameplay (qu'on aurait pu utiliser dès le début, The End is Nigh nous fait ça aussi mais de manière un petit peu moins poussée) et sa narration.

Par contre, je suis plus réservé sur certaines faces B immondes, et ses faces C que je suis en train de finir : je suis en train de péter un plomb sur les faces C des niveaux du temple miroir et du sommet. En fait, on ne voit pas les pièges à l'avance, on n'a pas le temps de réfléchir, on est obligé de crever en boucle, de faire des sauts millimétrés et d'apprendre absolument par coeur comment passer un écran bien problématique, avant de buter à nouveau sur l'écran suivant pour les mêmes raisons. Là du coup, je préfère ce que nous propose The End is Nigh avec ses tableaux "à la Jet Set Wily" comme le dit Simbabbad : pas de scrolling, donc on a une meilleure lisibilité de l'écran qu'on doit franchir.

Mais bon, en dehors de ces défis super hardcore et facultatifs, sa partie principale est géniale. Du grand jeu indé, tout comme The End is Nigh.