Doublement dommage... D'autant plus que la version PC n'est vraiment pas gourmande et est en promo pratiquement tous les deux mois.
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En même temps, mon PC datant de plus de 10 ans, je pense que j'aurais eu du mal à faire tourner Diablo 3 ^^

Sinon, première faille finie.
Je joue une Demon Hunter, niveau 70 (+2 points de paragon).
Par contre, le loot... autant au début il était très généreux (j'ai eu pas mal d'armes légendaires tôt), autant là il m'envoie que des armes merdiques depuis quelques temps.

En tous cas, j'ai lu pas mal de critiques sur ce jeu, mais étant assez noob de l'univers de Diablo (je n'ai connu que le 1 sur Playstation 1), il m'amuse beaucoup.

Je m'appelle Cassiopée… ou, pour être plus précise, c'est un nom que je me suis donné, afin qu'il reflète au mieux ma passion pour les étoiles et le pouvoir immense et latent qui m'habite.

Car oui, je dispose d'un grand pouvoir. Immense, même. Le genre de pouvoir si capable de tordre la réalité à mon goût, qu'il m'a parfois effrayée. Depuis toute petite, je le sens me traverser d'une manière à la fois paisible et violente, comme un outil constamment à portée de ma main, redoutable mais soumis à mon incommensurable volonté.

J'ai longtemps voulu en savoir davantage sur ce don. J'ai pour cela consulté les archives et les sages de Caldeum, la cité du désert. En vain. Rien ne m'a permis d'en comprendre l'origine, ni le but.
J'ai néanmoins poursuivi mes études, et même si mes "maîtres", désorientés par ma nature qui les inquiétait visiblement, n'ont jamais pu m'aider comme je l'aurais voulu, j'ai pu apprendre à canaliser plus précisément mon pouvoir, et faire quelques découvertes intéressantes.

L'une d'elles est une révélation sur la nature même du monde. J'ai tenté de faire comprendre ce concept à mes maîtres, mais ils n'ont jamais accepté les conclusions surprenantes de mon étude. C'est pourtant simple, quoique contraire au bon sens, comme toutes les découvertes importantes : le monde n'existe qu'au travers d'un flux mouvant, sans cesse renouvelé et changeant. À part quelques endroits pérennes, parmi lesquels les principaux lieux de rassemblements humains, tout le reste n'existe que provisoirement, et aléatoirement. Les forêts, prairies, grottes et autres donjons abandonnés, subissent ce changement permanent, et notre mémoire ne garde de leur structure éphémère qu'un vague souvenir, bien vite remplacé par la "nouvelle version" du lieu considéré.

Hélas, ce flux universel s'interrompt parfois, de manière incompréhensible, comme si les dieux avaient décidé momentanément d'abandonner leur création et de la laisser livrée au chaos. Dans ces instants, tout disparaît, et nous plongeons tous dans un sommeil sans rêve, ne laissant aucune notion du passage du temps. Je ne comprends pas comment les dieux ont pu créer un monde qu'ils choisissent parfois d'abandonner, le coupant du reste de l'univers pendant parfois de longs moments… Je dois en prendre mon parti. Mais je reviendrai sur ce flux au cours de mon récit.

Ma lassitude atteignait son apex, lorsque je reçus une information intéressante : le prix de l'embarcation pour la Nouvelle Tristram avait subitement été réduit de moitié, juste après que la rumeur de la chute d'une météorite sur l'ancienne cathédrale me fut parvenue. Je ne crois pas au hasard. Et laissant derrière moi mes peu utiles études, j'entrepris le voyage vers ce lointain village.

Je ne pourrai pas m'étendre sur les péripéties que je rencontrai là-bas. Toujours est-il qu'au fil de nombreux combats face aux créatures ayant repris vie lors de la chute de l'étoile, j'ai découvert en moi un potentiel infini. Outre de nouveaux sorts, dont certains interdits (mais pourquoi me soucier des interdictions, lorsque le destin du monde dépend de ma victoire ?), j'ai remarqué que je pouvais améliorer mon âme indéfiniment, quoique lentement. Cette découverte a été concomitante à celle de ma nature de Nephalem. Si ce n'est que je pense être encore plus qu'un Néphalem : mes pouvoirs dépassent encore ceux des légendes…

Et parmi ces pouvoirs, j'en ai découvert un qui représente à la fois mon arme la plus implacable, et ma malédiction la plus personnelle : je ne peux pas réellement mourir. Je suis tombée maintes fois face aux monstres qui se sont dressés devant moi, mais à chaque fois, mon âme a curieusement été préservée par mon équipement, qui se dégradait à chacune de mes "morts". Et chaque fois, je revenais, prête au combat, évoluant constamment, apprenant, gagnant en puissance.

J'ai enfin vaincu un Diablo réincarné et particulièrement redoutable, ainsi que Malthaël, l'ange déchu, ce dernier m'ayant causé pas mal de problèmes à l'époque. J'en ris aujourd'hui, tant cet adversaire est désormais aussi dangereux pour moi qu'une fourmi pour un dragon. À travers ce voyage, j'ai également appris à maîtriser le flux, au moins partiellement. Au point que je suis parvenue à l'amplifier, à augmenter sa puissance, jusqu'à ce que cette démarche se traduise par un renforcement des monstres que j'affrontais. Mais ce renforcement se traduisait aussi par de plus amples richesses, objets et expériences, qui m'ont permis d'évoluer encore plus vite sur la voie de la puissance.

La puissance… belle chose désastreuse, toujours inaccessible, comme l'est le ciel lui-même. Oui, je suis devenue puissante, au point que mes Némésis d'une époque sont devenus de simples jouets avec lesquels j'ai passé du temps à m'amuser.

Mais malgré ma victoire finale sur les forces du mal, rien n'était terminé. Je n'avais en fait encore rien commencé, et encore moins achevé. Car sitôt la victoire obtenue, Tyraël m'a confié de nouvelles missions. Ou plutôt, d'anciennes missions à accomplir à nouveau, pour obtenir des "primes". Comme si ce que j'avais accompli jusque là n'avait jamais été.

J'ai une théorie à ce sujet : à force de tenter de manipuler le flux, je pense que je me suis retrouvée dans une sorte d'état intermédiaire entre la réalité actuelle et l'histoire ancienne. De sorte que je suis désormais coincée dans un monde où tous nos ennemis sont vaincus, et pourtant reviennent sans cesse. Un monde où je sauve constamment les mêmes personnes, où je combats les mêmes démons primordiaux, où je réalise à nouveau les exploits du passé.

J'y gagne des "primes" et des sortes de clés me donnant accès à un royaume parallèle consacré à la gloire des Nephalem. Là, j'affronte des ennemis issus de mes souvenirs, dans des lieux que j'ai déjà parcourus. J'y obtiens de nouvelles pièces d'équipement, parfois légendaires, parfois aux pouvoirs démentiels… qui me permettent d'aller plus loin dans ce royaume étrange et sans cesse en mouvement, plus encore que le monde "réel". Encore que parler de réalité pour ce monde que j'arpente comme un lion dans sa cage, paraît étrangement inadapté.

Pour me divertir, j'ai créé de toutes pièces d'autres héros, très différents de moi, et je leur ai fait vivre mes propres aventures. Orion, Kornephoros, Phorbaceus, Altaïs, Ioannina… je les ai, eux aussi, nommés d'après mes chères étoiles, inaccessibles et magnifiques, comme ce but que j'essaie d'atteindre en sachant qu'il ne peut être approché.

Leurs réactions et leurs compétences sont amusantes, et souvent originales. Même si aucun ne m'arrive à la cheville, ils tiennent leur place dans la légende de la lutte contre les démons primordiaux, au point que je me demande s'il n'a pas existé de tels héros dans un univers parallèle, qui serait alimenté par le flux.
Le flux, toujours ce flux… qui maintient ce monde en ordre et dans le chaos, comme sur le fil du rasoir entre rationalité et folie. J'ai accru la puissance de ces héros, et parfait leur équipement et leurs compétences. J'ai fermé les échos du flux, qui me suggéraient avec insistance des compétences à utiliser plutôt que d'autres, à employer avec un équipement précis. Je préfère m'amuser à trouver un objet nouveau, au pouvoir original, et tenter d'en tirer la quintessence au travers des compétences de l'un ou l'autre de mes héros. Après tout, je suis largement assez intelligente pour cela.

Mais bien que je m'amuse, je perçois le désespoir qui point, inévitable, comme la course du soleil. Pourquoi est-ce que je me bats encore ? Je deviens plus puissante au fil du temps, ce qui me permet d'affronter des ennemis plus puissants, qui m'octroient des pouvoirs de plus en plus grands, et ainsi de suite. Un cercle vertueux, certes, mais qui mène tout droit à l'ennui, et à la perception, d'une acuité toujours plus grande, que tout ce que je fais est vain.

Vanité de ma puissance, infinie et pourtant toujours insuffisante. Vanité de mon équipement, toujours plus parfait, mais toujours améliorable. Vanité de mes victoires, disparaissant comme par enchantement dès que le cours du flux se tarit (et cela arrive au moins une fois par jour). Je cherche un sens à mon existence, et au lieu de m'avoir éclairée, ce voyage vers la Nouvelle Tristram n'a fait que m'enfoncer dans une interrogation toujours plus profonde. Pourquoi suis-je là ? Quelle est l'utilité de mon pouvoir, s'il ne sert qu'à repousser les limites d'un but inaccessible ?

J'ai souvent voulu mourir pour en finir, pour m'endormir enfin hors du flux… mais c'est impossible. Quoique je fasse, je reviens, dotée de toutes mes compétences et de mon pouvoir, prête à en découdre. Prisonnière de ce pouvoir maudit, je ne vois pas d'échappatoire.

Je continue pourtant, car ma soif de pouvoir ne peut être assouvie. Mais j'oscille, selon les moments, entre une frénésie de violence pour défaire ces monstres innombrables, et un profond désespoir qui me coupe du flux pendant de longues semaines. Et je ne vois aucune issue.

Sauf… sauf récemment, en lisant un obscur ouvrage d'un auteur originaire d'un monde lointain, et qui a filtré via le flux.

La dernière phrase de son livre m'a donné un léger espoir, une piste à suivre, comme si la solution consistait à embrasser l'absurdité de ma vie et du monde qui m'entoure :

"Il faut imaginer Sisyphe heureux."

Je me suis mis à D3 avec l’extension Reaper of Souls sur PS3 (une fois n'est pas coutume). J'en suis à l'acte 3 en difficile avec un sorcier, et pour le moment je prends du plaisir. Au début j'avais l'impression d'être dans un Hack&Slash comme il en existe des tas, et puis progressivement la touche Blizzard se fait ressentir, et concrètement ça se manifeste par l’absence totale de prise de tête, alors que chez les concurrents on continue à trouver des défauts du tout premier Diablo. Pas de va-et-vient incessants, pas de réorganisation systématique de l'inventaire, pas de choix cornélien à faire à chaque loot intéressant. Ca glisse tout seul, y a pas à réfléchir 107 ans, juste à jouer.

En contrepartie c'est pas super palpitant. Je me fous plus ou moins de l'histoire, et mon plaisir vient du gameplay à la manette et de la progression de mon perso. Dommage, D3 manque de profondeur. Et puis les musiques sont vraiment fades, surtout si on les compare à celles de Diablo. Et le mixage des voix est foiré, et ça c'est vraiment gavant.

Questions :
- J'avais envie de faire un bout de chemin avec madame mais je n'ai qu'une manette et les manettes PS3 Sony sont devenues introuvables. Est-ce que les manettes PS4 sont supportées, et si oui est-ce que ça marche en sans-fil et avec la vibration ?

- Si madame se monte un perso en solo de son coté, est-ce qu'on pourra lancer une partie à 2 avec nos persos respectifs ?

Je me suis moi aussi remis à D3 (sur PC, je ne répondrai donc pas aux questions), et je trouve que la majeur partie des défauts ont été corrigés. À haut niveau, D3 peut être casse-tête, puisqu'il s'agit de choisir entre des combinaisons possibles très nombreuses, dépendant en grande partie des pouvoirs associés aux objets légendaires et surtout, aux sets. Si tu veux que ce soit un peu plus palpitant, je te conseille d'augmenter la difficulté à calvaire (au moins). C'est un grand progrès que d'avoir rendu la difficulté modulable selon les parties (enfin j'espère que c'est également possible dans la version console).
Sinon je suis d'accord avec toi sur la mauvaise qualité de l'ambiance sonore. On est bien loin de D2 malheureusement.

Je ne peux pas monter la difficulté au delà de difficile, le reste est verrouillé. Et pour le moment je n'ai obtenu aucune pièce de set, est-ce que c'est lié ?

Aussi pour le moment je n'utilise pas les gemmes. Je me contente de les combiner pour en faire des grosses que je compte utiliser à la fin, vu que ça coute cher de les démonter et qu'on ne garde jamais aucun item très longtemps.

Le forgeron, je n'ai pas compris son intérêt. Les objets qu'il propose n'ont pas d’intérêt en comparaison du loot. Pareil pour les marchand : je leur ai acheté un collier (rare en loot) au début et puis c'est tout.

Concernant l'option "recycler", ça aurait été bien qu'on puisse savoir quel objet donne quoi, parce que là on peut juste faire au pif. Est-ce que les objets légendaires se recyclent en matériaux plus précieux ?

Dans la version PC, on ne peut pas augmenter la difficulté au delà de difficile en cours de partie. Mais on peut le faire au lancement (paramètres de partie), c'est peut-être pareil sur console.
Le forgeron n'a effectivement pas grand intérêt, sauf peut etre à faible niveau. L'option recycler ne donne pas des objets, mais des matériaux (4 types de matériaux selon que l'objet et normal, magique, rare ou légendaire). Ces matériaux, peuvent être utiles, pour créer des objets chez les forgerons, mais surtout, plus tard, pour le cube Kanaï. C'est aussi un moyen de récupérer les gemmes gratis : je te conseille de faire démonter l'objet sur lequel elles sont serties. Cela le détruit, mais au moins, tu récupères la gemme sans rien débourser.

Houla 15 pages!

Bon D3 est en """promo""" en ce moment sur Switch à 39€. Ca fait mal pour un jeu de 2013 mais bon passons.

Je ne connaissais pas grand chose du jeu si ce n'est la curiosité qu'il a depuis tous temps suscité en moi. Étant dans la liste des réellement indispensables de GK, contrairement à Skyrim qui semble techniquement trop contraint et que je voudrais faire aussi, j'ai fini par me laisser séduire en grande partie par la promesse du multi local avec mes enfants. En tant que party game c'est autre chose que Mario Party, hein.

Voila pour le contexte.

Donc un noob qui se lance dans un Diablo, c'est quoi?
Déjà l'incrédulité devant le choix du niveau de difficulté. Je joue en normal, soit le premier niveau de difficulté proposé parmi les trois pages de difficultés différentes proposées. ???
Bon en fait c'est plus un jeu c'est du beurre. Du beurre mou oublié sur la plage arrière pendant une journée à la plage. Mais en fait ça ne me dérange pas pour l'instant, ça me permet de prendre mes marques car si ça se révèle très simple à jouer, la prise en mains hors baston est autrement plus complexe.
J'ai compris assez vite que pour faire progresser ma barbare il faut rester appuyé sur A pour faire tournoyer la hache. Au fil de la montée de niveau des capacités supplémentaires viennent se greffer et au bout de quelques petites heures toutes les touches sont utilisées pour des attaques demandant une recharge plus ou moins longue.

Là il me semble que j'ai compris l'essentiel du jeu. Sincèrement je ne m'attendais pas à un titre aussi bourrin!
On a une indication dans l'onglet quête, on cherche à aller vers le lieu en question et au passage on génocide à peu près tout ce qui ne vit pas dans un village. C'est un exercice absolument hypnotique ou le compteur de victimes balance je ne sais quelle hormone dans mon cerveau qui me pousse à intensifier ma fureur destructrice.
À la violence déraisonnable du jeu s'ajoute une exploration de tous les instants pour virer toute la brume de la carte. Et en plus aucune trace de collectionnite ici, que je déteste tant elle donne en permanence un sentiment d'inachevé, mais de la récompense pour tant d'audace à fouiller tous les recoins. D'autant plus que les espaces proposés se révèlent vraiment vastes.

Je suis curieux de savoir si le jeu se joue différemment avec les autres classes. Le jeu en multi avec mes enfants m'a surtout laissé penser qu'avec une nécromancienne et un moine ce sont les effets visuels qui changent. On verra bien.

Techniquement c'est très séduisant, on est vraiment dans l'environnement typique de l'heroic-fantasy avec plein de détails dans les décors alors que je pensais que la vue de 3/4 limiterait cet aspect là. Il n'en est rien. Par contre le jeu en mode portable est illisible en journée, il faut y jouer dans une pièce sombre pour pouvoir distinguer quoi que ce soit. C'est étrange car sur la télé je n'ai pas ce problème, et c'est le seul jeu Switch qui me fait ça pour l'instant.

Enfin le multi, avec mes nains on s'est fait une grosse session à 3 hier et on s'est marrés comme des gorets, si ce n'est cet aller retour permanent dans les menus dès qu'ils chopent une nouvelle chaussette. Là je paye cash des années d'Animal Crossing / Maison du style 2 / Fantasy Life (pas de jeu sur mon téléphone, non mais!) ou une grand partie de l'enjeu est la couleur de la casquette du perso à l'écran.
Mais ils ont aussi beaucoup tenté les différentes capacités acquises au fil de la progression, et cette curiosité, cette recherche de l'optimum en maniant des menus assez complexes et très écrits me rend tout fier d'eux.

Bref je suis assez satisfait de ce jeu.
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... mais j'ai rebranché la Master System sous la télé!

Hier j'ai fini Diablo 3, enfin, le scénario principal est bien plus long que ce que je n'aurais cru puisqu'il m'a fallu 35h de jeu por voir le générique, avec ma barbare niveau 65 et sa masse à 2000 pts de dégâts.
Mais le jeu me propose de continuer, et je me retrouve dans les faubourgs de Ouestmarche dans une portion de jeu déjà faite plus tôt.
Le jeu génère lui même du scénario supplémentaire ou j'ai rien compris?
C'ets toujours aussi addictif, j'adore mon volcan portatif qui envoie des bombes de lave alentours pendant que je bondis et fais des attaques trombes. Mais j'ai moins envie de recommencer avec un archer qui fait 6 pts de dégâts. Quelqu'un peut m'expliquer en quoi consistent les scénarios saisonniers? Le jeu n'explique rien et est dénué de tout manuel.
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... mais j'ai rebranché la Master System sous la télé!

Normalement, le fait d'avoir terminé la campagne t'a permis de débloquer le mode aventure, dépourvu de tout scénario et qui te permet de faire des primes (pour des caches contenant objets légendaires et ressources spécifiques) et des failles Les saisons sont un mode de jeu particulier qui permettent d'obtenir davantage de récompenses, mais qui ne concernent que les personnages créés pour lui. Lorsqu'une saison se termine, tous les persos saisonniers sont convertis en persos "classiques".
Enfin, rien ne t'empêche de recommencer tout ou partie de la campagne (du moins si ça fonctionne comme sur PC) ; tu peux réinitialiser les chapitres pour les accomplir de nouveau si tu le souhaites, ce qui rapporte un supplément d'or et d'xp.
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Petit par la taille
Grand par la magie