Très intéressant. Il parle sans langue de bois, librement, et je le trouve assez lucide sur ces deux jeux. Ca fait plaisir de lire ça.

J'ai quelques suggestions sur la mise en forme :
- Il faudrait inverser la seconde et la troisième question pour respecter l'ordre chronologique.
- Dans la question sur les ventes de Headhunter, il faudrait supprimer la phrase "comment expliquez-vous le succès du jeu", maladroitement placée (la phrase suivante demande combien d'exemplaires se sont vendus).
- L'effectif de Sega avait été fortement dégrossi : il faudrait dire "réduit".
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Interview très intéressante en effet, c'est presque rassurant qu'il confirme les inspirations de Verhoeven tellement c'était flagrant !

Je crois que HeadHunter est ma plus grosse baffe sur Dreamcast, il aurait duré 3 fois plus longtemps je n'aurais pas craché dessus ...
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Snap back to reality, Oh there goes gravity

Interview très intéressante, en effet. Il est frappant de constater la désillusion liée à la fin de l'ère de Sega constructeur, à cause du changement de mentalité au sein de la firme... Ce n'est certainement pas propre à Sega, et c'est commun à toutes les boîtes qui se cassent plus ou moins la gueule (je suis passée par là), mais dans un milieu créatif et de passionné comme celui-ci, ça doit être d'autant plus difficile.

J'ai découvert Head Hunter sur le tard (en 2008 ou 2009), et j'avais adoré à la fois l'ambiance (évidemment qu'on pense à Robocop !), mais aussi le gameplay, ses idées et leur exécution. Je doit être une des quelques personnes à ne pas avoir pesté sur les phases en moto, et j'avoue ne pas trop en avoir bavé pour terminer le jeu, si ce n'est au moment de désamorcer les bombes. Mais je ne me souviens plus du tout du twist qui s'ensuit. Encore une franchise oubliée qui mériterait une suite ou un remake.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Excellente interview en effet, qui constitue (au-delà de ces jeux auxquels je n'ai pas eu la chance de jouer) un témoignage précieux sur la période Fin de la Dreamcast / Passage à la génération Xbox-PS2. On sent bien la passion du bonhomme pour "l'ancien Sega" et en même temps son amertume sur l'évolution de la firme (et de l'industrie en général).

Merci Grospixels pour ce genre de contenu, à la fois inédit et de qualité
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Si loin une roue

Super interview Jika!
J'ai beaucoup aimé (bizarre que tu n'ais pas parlé des boîtes -Sony- quand le jeu a été présenté) même si forcément, je ne partage absolument pas son avis envers le nouveau SEGA.
J'ai beaucoup aimé son jeu (les phases à moto, j'ai bien évidemment, adoré) dommage de l'avoir supprimé dans le second.
Le second il est clairement plus dark (rien que le début avec la mort de ....... ).

Je me souviens d'avoir parlé à Franck (ancien RP de SEGA France) sur le studio Amuze... il m'avait fait savoir qu'ils étaient "ingérables" (ou un truc du genre).

C'est marrant, j'ai longtemps cru que SEGA avait des parts chez Amuze... finalement, non.

Merci pour cette interview!

Bien que je ne l'ai qu'à peine effleuré à sa sortie (de mémoire, c'était via une démo de l'officiel Dreamcast), j'en garde un certain souvenir, un truc assez flou avec une ambiance étrange, difficile à décrire. Il faut dire que, pour moi, le gameplay était assez perturbant. Le caractère du bonhomme qui semble transpirer tout au long de l'interview doit sans doute y être pour beaucoup.

C'est typiquement le genre d'entretien que j'aime, ceux de développeurs qui ne sont pas des grands noms du jeu vidéo mais dont le travail, qui plus est lors d'une époque charnière, mérite que l'on s'attarde sur eux.
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"Il n'est pas de lutte plus violente et déterminée que celle d'un homme face à son envie d'aller aux toilettes" - Karate Boy

Interview passionnante, très directe et bien fichue, parfois un peu difficile à suivre si l'on n'a pas joué aux jeux et surtout parce qu'il n'y a pas d'article sur les deux Headhunter sur GP !

En tous cas, cela donne envie d'aller chercher ces interviews pour le site.
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Dans la vie, il y a 3 catégorie des personnes : ceux qui savent compter et ceux qui ne savent pas compter. (Anonyme)

Merci pour tous ces retours, ca fait extrêmement plaisir.

Spin : je n'ai pas compris cette histoire de boite. Tu penses à quoi ?

Et bien dans les premiers screens diffusés (du moins sur Dreamzone), tu pouvais apparemment exploser des boîtes avec le logo Sony... qui est devenu dans sa version finale, Nosy. 5en fait j'ai des doutes là, peut-être bien que c'était Nosy et puis ils ont supprimé dans le version finale ?)

http://www.gamespot.com/headhunter/images/85912/

Dans le même style, les premiers screens de M-SR, sur les plaques d'immatriculation y avait "GT who ?"

C'est vraiment cool d'avoir ce genre d'interview sur GP. Je regrette de ne pas connaître la franchise Headhunter pour mieux apprécier l'itw, mais ça fait plusieurs fois que j'en entends parler sur le forum, il faudra que j'essaie le premier épisode un de ces jours.
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"Et quand ils devenaient mécontents […] cela ne menait à rien, car sans idées générales, ils ne se focalisaient que sur des contrariétés insignifiantes. Les plus grands maux échappaient invariablement à leur attention." G. Orwell

Merci pour l'interview, et surtout pour le petit coup d'oeil dans le retro sur un jeu que j'ai adoré. Je garde une image d'un jeu au ton plutôt cynique, avec des phases d'action/infiltration bien rodées.
La moto ne m'a pas non plus posé de problème particulier, même si j'ai fait planter ma console plusieurs fois en essayant d'explorer la map...

Et puis c'était surtout un des seuls représentants du genre sur Dreamcast !

Merci pour ces deux anecdotes, Spin. Je ne m'en rappelais plus.

Je sens que l'image de PGR va finir dans des groscreens...

Et merci à tous ceux qui ont lu l'interview !

De rien j'aimerai avoir tes contacts un jour ^^ Y'a plein de questions que j'aimerai poser à des dev moi aussi ^^

Sinon je rejoins lolo. Inverser la 3e et la 2e question ca serait plus mieux. Ca fait bizarre que le mec te parle de son enfance et cash quand il fonde sa boite. Il manque tout le cheminement au milieu

D'ailleurs j'aurai bien aimé savoir ce qui l'a motivé à fonder sa boite


Bon par contre j'aime pas le terme ringard pour les films des années 80 Par contre j'ai pas trop pensé à robocop. Vu que j'y ai joué à peu près à la même période que deus ex 3 j'ai plus pensé à deus vu que y'a pleins d'elements scenaristique qui se retrouvent dans les 2.
Comme Shen je vois pas ce qui gene dans les phases à moto, faut prendre le pli c'est tout.


ca disait quoi en gros ?


à qui à lui ?


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@Rain :

Tu auras plus d'infos sur l'histoire avec le OXM juste ici : http://en.wikipedia.org/wiki/Headhunter_Redemption

Notably, one review prompted a response from the developers: that from the UK edition of the Official Xbox Magazine. Amuze pointed certain factual errors in that review, implying that the reviewer did not play enough of the game to write a proper evaluation of it.

Open letter to Official Xbox Magazine

Posted on Official Xbox UK Magazine forum
Sep 10, 2004

Dear Official Xbox Magazine (UK),

As a fiercely independent games developer, we totally respect the right of reviewers to make harsh but heartfelt criticism of games released to the public. But like all rights, this comes with responsibilities.

Foremost of these must surely be factual accuracy. In your review of Headhunter Redemption (Issue 34, October 2004), you claim that cut scenes "can't be skipped... Grrr!" This is incorrect: all cut scenes in the game are skippable. Grrr, indeed.

More mysteriously, you conclude your review by stating that "the odd bike chase succeeds in breaking up the on-foot action." There are no biking sequences in Headhunter Redemption: a fact that would be apparent to anyone who had actually played the game.

Naturally we would prefer everyone to appreciate our game as much as many other reviewers have done, but we will always try to learn from well-informed criticism. It is far harder to accept ill-informed, unprofessional journalism.

Perhaps in future you could show us, other developers and your readers this simple courtesy: if you can't be bothered to play a game, don't bother to review it.

John Kroknes
Philip Lawrence

Amuze.


Quant aux histoires de royalties, il parle de lui, bien évidemment.

ah cest bien ce que je pensai mais ca me paraissait pas logique. Vu que SEGA a les droits je pensai que John ne touchais plus rien du tout.
C'est compliqué tout ça.

Faudrait que je teste redemption un de ces 4
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AH oui quand même, les mecs n'ont même pas touché au jeu, et ont écrit une critique qui extrapole ce qu'il aurait pu être en fonction du premier. Pas mal.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).