ils ont rajouté le portrait dans le DX alors. Je me rapelle que si tu finissais sans perdre de vie dans le normal y'avait marine avec des ailes de fée qui passait sur le "merci".

Le petit chien il me semblait qu'il y etait deja.

Sinon pour le jeu en lui même y'a un donjon en plus nan ? Faudrait que je le choppe un jour ce jeu
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Yep, c'est ce que je raconte dans la Note 3.


Oui, un donjon en plus basé sur les couleurs, et un système de photos à collectionner. Le nouveau donjon n'est pas extraordinaire, mais sa musique est une bonne surprise, et le bonus qu'il donne est bien sympa.

Le pire c'est que j'ai lu la note 3 en fait j'ai cru que la note 3 parlait de cette image

Mais... oui, la note 3 parle bien de cette image, le portrait de Marine donc, qui est un petit sprite dans la version originale.

Super Mario Land - Game Boy - 1989 / 1990



(J'adore tellement cette jaquette. Les boîtes GB sont les plus belles.)

Contrairement à la série des SMB, SML ne se déroule pas dans le royaume Champignon, mais à Sarasaland. Ce royaume est divisé en 4 parties, qui correspondent à autant d'environnement dans le jeu : Birabuto, Muda, Easton, et Chai.
Un beau jour, un mystérieux extra-terrestre nommé Tatanga débarque, hypnotise les habitants de Sarasaland, et enlève sa princesse Daisy, pour l'épouser.

Mario affronte Tatanga en avion, dans le ciel de Chai.
Cette fois, c'est bien la vraie Daisy, et pas un ennemi déguisé.



Il est temps de rentrer, en jet privé tant qu'à faire, c'est le minimum pour impressionner une princesse.



Une fin très sympathique, qu'on retiendra surtout pour sa musique absolument géniale, comme toutes les musiques du jeu d'ailleurs, composées par Hirokazu "Hip" Tanaka.
Ce morceau reprend le thème de fin de niveau, et enchaîne sur une mélodie entraînante et victorieuse, qui donne la pêche :

tiens cadeau


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Mighty Final Fight - NES - 1993



Cette version SD de Final Fight reprend le scénario de l'original : l'enlèvement de Jessica, fille du maire Haggar, par le gang des Mad Gear.
Néanmoins, l'histoire est présentée de façon plus légère, conformément au style graphique et au ton parodique du jeu : cette fois, Belger enlève Jessica pour se marier avec elle.



Une fois Belger vaincu, Haggar vient chercher sa fille.



Mais où est passé Cody, le petit ami de Jessica ?



Le générique de fin utilise des pseudonymes, pratique courante à l'époque, par peur du débauchage.

Batman - Game Boy - 1990



Cette version de Batman, développée par Sunsoft, reprend de loin le scénario du premier film de Burton, en le simplifiant beaucoup. En gros, il s'agit d'arrêter le Joker.

Le combat final se déroule dans la cathédrale de Gotham.
Le Joker fait une tête de plus que Batman, qui passe pour un gamin à côté de lui.



Notez le nombre de vies ("A"), affiché directement en hexadécimal.

Sans transition aucune contrairement à la version NES, on assiste aux derniers instants du Joker, qui s'est écrasé par terre après avoir chuté.



Le générique défile à côté d'un chouette dessin de Batman, héroïque.

Rhaaa j'adore ce jeu. Par contre il est super dur quand même
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Bof, il est pas hard non plus et est assez court en plus, de mémoire, il y a juste une phase dans le dernier niveau en scrolling forcé qui est vraimant une torture. J'ai detésté la phase en shoot tellement je trouvais ça fade, c'est un jeu qui m'as pas captivé moi, je l'ai fait sur le tard aussi (j'ai dégoté une cartouche il y a 1 an et demi en vide-grenier, je l'avais jamais émulé avant.)

Il me semble que y'a un passage plateforme + scrolling assez hard.

Nan le truc chiant c'est le joker, il est super long à tuer. D'ailleurs ca fait longtemps que je l'ai pas dit, mais je hais les jeux où l'on voit pas la barre de vie des ennemis.
Les RPG par exemple c'est pour ca que j'ai du mal avec ^^
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Ah oouuais, les boss duraient trois mille ans dans ce jeu en plus, tient, n'empêche, ça m'a donné envie de le refaire, il etait sympa quand même, puis il est sortit au tout début de la GB, c'etait la référence PlateForme/action a l'époque sur le support

Wario Land: Super Mario Land 3 - Game Boy - 1994



Suite à Super Mario Land 2, Wario a été chassé de son château par le méchant Mario. Il est temps de se refaire une santé (financière, bien entendu), et de trouver un nouveau logement.
Un jour, Wario apprend qu'une immense statue de la princesse Toadstool en or massif a été volée par les pirates Brown Sugar et leur capitaine, Syrup. Une bonne occasion de passer à l'action.

En haut du château de Syrup, Wario est surpris de constater que le capitaine est en fait une femme.
Elle invoque alors Denpū, un génie balèze qui fait office de dernier boss.



Random trivia : le bruit que fait un boss lorsqu'il est touché est le même que Metroid II, autre jeu Game Boy produit par Gunpei Yokoi. C'est aussi le cas du bruit "pause".

Une fois battue, Syrup s'échappe en faisant exploser son château, qui révèle... la statue de la princesse !



Malheureusement, un certain plombier débarque en hélico, et s'empare de la statue !



Reste la lampe magique de Syrup.
Wario la frotte pour appeler Denpū qui, en bon génie, lui propose d'exaucer un souhait. Wario lui demande un nouveau château.
Mais ce n'est pas aussi simple : Denpū lui réclame de l'argent en échange de son château ! C'est la crise même pour les génies, visiblement.



Il est temps de faire un bilan sur les richesses que Wario a accumulées pendant son aventure.
Comme j'ai trouvé tous les trésors cachés, je peux présenter la somme d'argent maximale au génie. Ce dernier fait apparaître le château, et invite Wario à aller voir.



C'est là que des trucs rigolos peuvent se produire.
Les Wario Land ont pour tradition d'afficher un fin différente selon la quantité d'argent récoltée au cours du jeu. C'est déjà le cas dans ce premier épisode : selon la somme proposée, Wario peut se retrouver avec, dans l'ordre : une mangeoire à oiseaux, un tronc d'arbre creux, une cabane en bois, une pagode, un château, ou dans mon cas :



Carrément une planète !

La musique du générique est très sympa :



Parmi les personnes créditées au générique, notons :

- Satoru Shibata, aujourd'hui président de Nintendo of Europe, et qu'on peut voir souvent dans les Nintendo Direct européens.
- Kazumi Totaka, mais au testing, pas à la musique.
- Makoto Yamauchi. Je ne sais pas s'il y a une parenté avec Hiroshi, a priori ce n'est pas sa femme ni sa fille.
- Gunpei Yokoi en tant que producteur.

J'aime bien cette séquence de fin pour plusieurs raisons, et notamment le fait qu'elle raconte une petite histoire sans une seule ligne de dialogue. Les pictogrammes et les expressions des personnages suffisent à tout comprendre sans problème.

Jerry Boy - Super Famicom - 1991



Ce jeu me fait de l'œil depuis que j'ai vu le test import dans Consoles+ n°3 (1991, quand même).
Jerry Boy est sorti aux États-Unis sous le nom de Smart Ball, allégé de ses dialogues. Il s'agit ici de la version japonaise traduite par des fans.

Un beau jour, le prince Jerry est transformé en blob bleu par une sorcière. Cette sorcière agit en fait sous les ordres de son frère jaloux, amoureux de la petite amie de Jerry.

Après avoir battu son frère transformé en blob énorme, Jerry affronte finalement la sorcière, qui est le dernier boss du jeu. Il retrouve enfin forme humaine, et ses proches.



À noter : le jeu a été co-développé par Game Freak.

Golden Axe - Mega Drive - 1989 / 1990



Dans le royaume de Yuria, le maléfique Death Adder capture le roi et sa fille.
Il s'empare aussi de la Golden Axe, l'emblème magique de Yuria, et exige du peuple qu'il le reconaisse comme seul et unique souverain.
Trois guerriers décident alors de combattre Death Adder, et par la même occasion, venger les membres de leur famille tués par ce dernier. Il s'agit du barbare Ax Battler (qui manie une épée à deux mains, contrairement à ce que son nom laisse entendre), du nain Gilius Thunderhead, et de l'amazone Tyris Flare.

Le combat contre Death Adder :



Le roi et la princesse, enfin libérés, remercient leur sauveur.
Il semble néanmoins que Death Adder n'était pas le grand chef, et obéissait aux ordres d'un supérieur. Le combat n'est donc pas tout à fait terminé !
Cette dernière partie n'était pas dans la version originale sur arcade ; elle a été rajoutée dans certains ports.



Le vrai big boss est en réalité Death Bringer ...visuellement, un simple palette swap de Death Adder.
Il meurt éventré par sa propre hache (la Golden Axe ?).



Notre héros retourne auprès du roi, qui remet une couche de remerciements.



Musique :



Le générique commence par les protagonistes du jeu.
La taille et le poids est indiqué pour tout le monde, y compris les villageois.
On est content d'apprendre que le "villageois A" fait 67 livres, soit 30 kg, ce qui paraît assez peu.
Ax Battler lui, fait 90 kg, un beau bestiau. Quant à Death Adder, c'est carrément 300kg.



On enchaîne sur l'équipe de développement.
La présentation est rigolote, avec Gilius qui lance une boule de lettres, frappée par un ennemi, et qui se transforme finalement en texte.



Sympa, mais ça ne vaut pas la scène finale de la version arcade, où les personnages sortent de la borne et vont mettre le boxon en ville.

Golden Axe II - Mega Drive - 1991



Cet épisode de Golden Axe II, exclusif à la MD, reprend la formule du premier jusqu'à son scénario, très basique.
Un nouveau méchant débarque, nommé Dark Guld, s'empare de la Golden Axe, et trouble l'ordre public. Les trois héros du premier épisode, Ax Battler, Tyris Flare, et Gilius Thunderhead, sont de retour pour l'arrêter.

Et voilà Dark Guld !
Cette fois, la Golden Axe est bien dorée.



Après la victoire des forces du bien, l'épilogue est présenté sous la forme d'un écran simple, avec un scénario qui ne l'est pas moins :



Le générique défile ensuite sur nos trois héros, entourés par quelques bouseux reconnaissants.



La musique est pas mal : elle rappelle un peu le style de Koshiro, dans Streets of Rage II par exemple.



Une fin moyenne, qui confirme l'impression d'un jeu quelque peu rushé : pas mauvais, mais trop proche du premier pour être mémorable.

J'aime beaucoup la musique de fin de Golden Axe II, mais je suis d'accord avec toi sur le fait que la fin en elle-même est bâclée. Mais le combat final est très classe, je trouve.

Golden Axe II lui-même est effectivement une version 1.5 du premier épisode : pas trop de nouveaux éléments en dehors de la gestion des magies, mais globalement un peu meilleur.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

C'est vrai que le décor a de l'allure.

Le décor du combat final de GA2 est joli bien que l'absence de reflet des persos sur le sol est perturbante. Il y a des jeux 16 bits qui le gèent comme dans Rocket Knight Adventure quand on passe sur les flaques d'eau

Par contre j'adorerais voir la fin de golden axe arcade vu que j'ai pu lire que les persos sortent de la borne pour aller foutre le bordel dans le monde réel !

Au pire, elle est sur youtube.