Saluons encore une fois le travail de JPB sur cet article qui, à l’époque de sa parution, m’aura fait me ruer sur une version micro de ce classique immortel… pour l’abandonner au bout de quelques heures de jeu. Non pas que ce Dungeon Master n’ait pas tenu ses promesses, bien au contraire, mais je n’avais plus la patience d’antan pour faire monter en niveaux mes personnages obligés de raser les murs sous peine de se faire tuer en deux temps trois mouvements.

Avec la série des Ultima, c’est vraiment le type de jeu que je regrette de ne pas avoir connu en temps et en heure. Ça devait être une expérience immersive épatante, y compris le fait de dresser sa propre carte sur papier quadrillé — réflexe ordinaire quand on a connu les Livres dont vous êtes le héros ou les JDR classiques..

Allez, en lisant l’expérience de jeu relatée par Tama, il faut au moins que je tente encore une fois le coup sur ce Dungeon Master ! Impossible de faire autrement !

Tu n'as pas le choix. La montée de niveau se fait tout au long des 13 sous-sols, et bien sûr quand tu deviens de plus en plus puissant, tu tombes sur des monstres de plus en plus costauds...
La descente complète est longue mais le jeu est bien ficelé et ne te rend pas trop dingue. S'il y a des passages longs à franchir (il faut du temps pour venir à bout des vers mauves du niveau 3, qu'il vaut mieux tuer que contourner), tu as ensuite une alternance avec des monstres plus rapides mais moins résistants qui te permettent d'avancer plus vite.
Tant que tu ne découvres pas les Dungeons Crawlers en jouant directement à Chaos Strikes Back (la suite qui, elle, rend fou), si tu t'accroches un minimum tu devrais passer un excellent moment et en garder de très bons souvenirs.
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JPB,
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