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Index du Forum » » Groblogs » » Groblog Shenron : exploration du romset Megadrive
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Auteur Groblog Shenron : exploration du romset Megadrive
Shenron
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Joue à Lost Judgment

Inscrit : Jan 17, 2008
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De : Massy

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Posté le: 2017-05-18 21:17
Citation :
Pour rent a hero, ca existait déjà internet à l'epoque oO ? et sinon à part des quetes annexes, y'a pas de quete principale ?

Tu sais qu'on pouvait carrément télécharger des jeux et jouer en ligne sur Mega Drive ?
Je n'ai pas vu de quête principale dans ma partie, c'est vrai que c'est inhabituel ^^

Citation :
Revolution X j'ai jamais aimé, la bande son c'est pas que du aerosmith justement ?

Honnêtement je n'ai pas reconnu.
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RainMakeR
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Joue à Exoprimal, The Chants, Princess Peach : Showtime

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De : Toulouse

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Posté le: 2017-05-18 23:27
Citation :
Le 2017-05-18 21:17, Shenron a écrit :
Tu sais qu'on pouvait carrément télécharger des jeux et jouer en ligne sur Mega Drive ?



Blague à part c'est chaud de trouver des infos sur rent
https://en.wikipedia.org/wiki/Rent-A-Hero

Et ça parle nul part de scenar
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LVD
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Joue à Zelda TOTK

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De : Ooita, avec mer, montagnes et forets

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Posté le: 2017-05-19 01:05
Citation :
Le 2017-05-18 21:17, Shenron a écrit :
Tu sais qu'on pouvait carrément télécharger des jeux et jouer en ligne sur Mega Drive ?


Il y avait deja un modem sur Famicom (mais c'etait pour suivre la Bourse en ligne, pas pour des jeux)
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him


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Florent06
Gros pixel

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Joue à Demon's Souls, Doom PS3, Hotline Miami, Toy Story 3, Picross 2

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Posté le: 2017-05-23 21:00   [ Edité le: 2017-05-23 21:05 ]
Popful Mail <3

A noter que les versions Super Famicom, Mega CD et PC Engine CD, bien qu'ayant un background et des personnages semblables, sont tous des jeux différents.


Sinon, j'aime bien les Puzzle & Action. J'aime bien ce genre de jeux sans prise de tête. Certes, dans l'ensemble, les mini-jeux inclus demeurent faciles. Mais c'est assez fun à 2.
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Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.


Shenron
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Joue à Lost Judgment

Inscrit : Jan 17, 2008
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De : Massy

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Posté le: 2017-05-24 22:01
On reprend après une petite pause (et après, re petite pause pour cause de vacances) :

Rise of the Robots
Mirage Entertainment/Acclaim - 1994


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Rise of the Robots a sa petite réputation. Sorti en grande pompes à grands renforts de publicités pleine page dans les magazines, annoncé comme une révolution technique.

Dans ce jeu de combat, on incarne un robot (qui se nomme Cyborg, ou Coton, ou encore ECO35-2 , c’est un peu confus), qui se révolte contre son superviseur et doit arrêter la propagation d’un virus informatique à l’échelle mondiale, ou une guerre atomique, enfin, un truc grave. Et il doit donc vaincre ses ex-collègues robots qui se mettent sur son chemin.

Notre robot, à l’allure humanoïde et plutôt musculeux, peut donner des coups de pied et de poing, sauter, se baisser, et se mettre en garde. S’il y a des coups spéciaux, ils sont bien cachés. En mode Story, on affronte 5 robots avant le boss final. Chaque adversaire est introduit par une petite cinématique qui présente son point faible.

Le jeu a été mal accueilli à sa sortie, et c’est mérité : le gameplay est basique, la maniabilité est médiocre (même si j’ai vu pire), il n’y a que 6 persos en tout en VS (et à 2, un joueur incarne obligatoirement Cyborg), et seule sa technique, potable pour ce genre de parti pris, sauve le titre d’un échec total. Le plus fou reste que Mirage Entertainment s’est dit qu’en 1994, (année de sortie de kof94 et Samurai Shodown 2, et un an après SSF2), 6 persos dont un seul jouable en solo était suffisant. Peut-être que s’il était sorti en catimini, au lieu de se vanter de sa technique et sa musique de Brian May, il aurait été un peu moins mal reçu, mais ça reste quand même mauvais.

MAUVAIS

Risk
Sculpture Software/Parker Brothers - 1994


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Risk est adapté du célèbre jeu de société (créé par un Français).

Jouable de 2 à 6, le but du jeu est de conquérir le monde, petit bout par petit bout. Au début du jeu, chaque joueur possède le même nombre d’armées, qu’il utilise pour occuper des pays. En fonction du nombre de pays ou de continents possédés, on gagne des bonus de renforcement, qu’on peut dispatcher sur nos possessions. Ensuite, on peut attaquer nos voisins pour les envahir. Dans le jeu de société, on lance des dés, mais dans cette version MD, les dés sont (j’imagine) gérés de façon transparente par l’IA. Ceci dit, en général avoir juste une plus grosse armée suffit pour gagner une bataille : le placement initial des troupes est donc déterminant.

On retrouve aussi les cartes du jeu original, qui permettent d’obtenir des bonus de renforts en cours de partie.

Nouveauté de cette version console, le mode arcade permet de ne plus laisser le sort des batailles au hasard : on prend les commandes de notre canon, et on vise directement les armées ennemies, en ajustant la portée des tirs. Plutôt sympa pas que moyennement bien exécutée (la visée n’est pas très précise), cette option permet de plus facilement gagner des duels contre une force de même puissance.

L’aspect stratégique de Risk en jeu de plateau est assez basique, et c’est le cas aussi pour cette version MD. Le plateau est lisible, et les combats sont représentés par des tirs de canon ou des charges de cavalerie, qui animent un peu les parties. Cependant Risk reste assez soporifique, surtout aujourd’hui alors que les jeux de stratégie de plateau ont bien évolué.

MOYEN

Risky Woods
Zeus Software/EA - 1992


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Risky Woods est un jeu d’action/plateforme (mais surtout action) sorti également sur micros. On y incarne un jeune homme qui doit délivrer les moines du royaume qui ont été transformés en statues de pierre.

Notre jeune héros, équipé de ses couteaux de lancer, doit donc traverser les différents stages du jeu en détruisant les statues (et libérer les moines. Ce serait ballot de les tuer). Si, une fois arrivé à la fin d’un niveau, on se rend compte qu’on a raté une statue, on est alors téléporté au tout début pour mieux faire. De temps à autre, la route est également bloquée par une espèce de gargouille, et on ne peut la passer qu’en insérant une espèce de roue dans la statue, et se plier à un petit jeu de mémoire.

Notre héros peut également ramasser d’autres armes, par exemple des boomerangs, trouvés dans des coffres, et les pièces que laissent les ennemis derrière eux (et qui permettent d’acheter des armes ou des items dans des boutiques). La fausse bonne idée consistant à devoir se baisser pour ramasser les items, ce qui prend du temps alors que les ennemis débarquent rapidement : l’action est en effet sinon frénétique, du moins intense, et on tue les ennemis par dizaines dans chaque niveau : ils courent, volent, crachent des boules de feu, et c’est bien difficile de ne pas se faire toucher car le héros a bien du mal à sauter haut et à se baisser à temps, car il est un peu pataud. Heureusement, il tire vite.

Le jeu respire le micro par tous les pores : les sprites, les décors conçus sur le modèle “un premier plan et un arrière plan avec plein de dégradés”, et ses musiques trahissent ses origines. Il ne manque cependant pas de charme, et est même assez accrocheur.

PS : il me semble important de signaler que dans la version Amiga, on voit le visage de notre héros dans la barre de statut en bas de l’écran, et que c’est une copie éhontée de Son Gohan, au moment du combat contre Vegeta et Nappa.

ASSEZ BIEN

Ristar
SEGA - 1995


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L’histoire de Ristar diffère selon les régions, mais les grandes lignes sont les mêmes : il faut sauver notre planète du lavage de cerveau opéré par le méchant pirate Kaiser Greedy.

Ristar est une étoile dotée d’un visage, de bras et de jambes. Ses bras sont élastiques, et lui permettent d’aller chercher les ennemis pour leur coller un coup de boule, de se hisser en haut des arbres, ou encore de s’accrocher à des échelons suspendus. Bien que l’esthétique du jeu puisse rappeler celles des Sonic, surtout à cause de l’écran d’intro des niveaux, le gameplay n’a absolument rien à voir : Ristar est, quelque part, bien plus classique, malgré l’usage d’appendices particulièrement longs.

Cependant, ce n’est pas la taille qui compte, mais la façon de s’en servir, et les niveaux sont vraiment conçus de façon à ce que cet atout soit souvent exploité. Parcourir les 7 niveaux du jeu (chacun composé de deux stages) est un vrai plaisir, d’autant plus que tout dans le titre est charmant : les sprites des ennemis sont tout mignons, les décors profitent de magnifiques tons tantôt chamarés, tantôt pastels, et les musiques sont sympa. Bref, sans réinventer le fil à couper le beurre, Ristar fait très bien le job, et fait partie des tout meilleurs jeux de plateforme de la Mega Drive.

TRES BIEN
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petitevieille
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Joue à Crazy Taxi, Sega Rally

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De : The cable car, puis Pizza Hut™.

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Posté le: 2017-05-25 19:41
Madame, j'ignorais votre expertise en matière d'utilisation de longueur d'appendices.

Je profite de cette saillie confinant au génie pour redire tout notre intérêt pour ce groblog. Continuez, avec ou sans histoire d'appendices. Image

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Bigby
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Inscrit : Sep 08, 2017
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Posté le: 2017-09-09 01:33
Citation :
On reprend après une petite pause (et après, re petite pause pour cause de vacances) :


Quatre mois de vacances, vraiment ? Allez, quoi : il ne reste plus que huit lettres et demi, il ne faut pas s'arrêter en si bon chemin !

Sinon, Ristar est un chouette jeu, très attachant. C'est effectivement l'un des meilleurs jeux de la Megadrive.

Shenron
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Joue à Lost Judgment

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De : Massy

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Posté le: 2017-09-09 16:28
Ah ah, désolée, mais j'ai d'autres projets en cours qui me prennent pas mal de temps et d'énergie, donc le blog est en hiatus. Mais il n'est pas abandonné pour autant !
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).


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Bigby
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Inscrit : Sep 08, 2017
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Posté le: 2017-09-10 19:34   [ Edité le: 2017-09-10 19:35 ]
Me voilà rassuré alors.

Surtout qu'en plus, il y a encore du lourd qui nous attend dans les prochaines lettres, en particulier la lettre S qui s'annonce complètement folle.

Dhura
Pixel de bonne taille



Inscrit : May 18, 2013
Messages : 271

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Posté le: 2017-09-22 23:08
J'aime bien ce Ristar, et les musiques sont vraiment charmantes : je m'en sers comme sonnerie pour mon portable.

Shenron
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Joue à Lost Judgment

Inscrit : Jan 17, 2008
Messages : 9737
De : Massy

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Posté le: 2018-01-28 19:44   [ Edité le: 2018-01-28 22:03 ]
Ce post de blog est sponsorisé par la Sécurité Routière.
Sécurité Routière : tous responsables.

RoadBlasters
Sterling Silver Software/Tengen - 1991


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Le principe de Road Blaster est simple : il faut terminer chaque course avant d’arriver à cours de carburant. Le réservoir comporte deux jauges : la principale, et la réserve. La principale se remplit un peu à chaque checkpoint, et en ramassant des boules vertes et rouges sur la route. Les vertes apparaissent au pif, mais les rouges sont laissées par les véhicules abattus, car oui, notre voiture dispose d’un canon (en tir turbo et munitions illimitées) pour faire le ménage.
Une fois la jauge principale vide, la réserve prend le dessus, mais elle ne peut pas être remplie qu’entre deux courses, selon le nombre de véhicules ennemis détruits.

La conduite ne présente aucune subtilité, car notre voiture, comme dirait Julia Roberts, “vire comme sur des rails”. En revanche, elle est très rapide, et si viser les voitures jaunes adverses est simple, il faut aussi éviter les mines (dont la présence est signalée par un voyant sur le tableau de bord), les tirs des tourelles (destructibles) situées sur le bas-côté de la route, les flaques d’huile, et surtout les voitures mauves, qui sont invulnérables aux tirs de base. Chaque contact avec un véhicule provoque une explosion, et la perte de quelques pixels d’essence, il faut donc être attentif. De temps en temps, des alliés larguent une arme spéciale à haute cadence de tir, qui permet de détruire les véhicules mauves. Les courses s’enchaînent jusqu’au Game Over.

Le principe est basique, et les premières minutes de jeu laissent dubitatif, mais finalement le jeu est prenant, et rappelle les jeux mécaniques de notre enfance. Heureusement, car ce ne sont ni ses graphismes sommaires ni ses musiques et bruitages basiques qui font l’intérêt de Road Blasters.

ASSEZ BIEN

Road Rash
EA - 1991


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Si les routiers sont sympa, les motards n’aiment pas qu’on leur chie dans les bottes. C’est ce qu’il faut retenir de Road Rash, qui nous plonge dans le milieu interlope des courses de moto clandestines au coeur de la Californie. On choisit sa moto selon notre budget, on sélectionne sa course, et en avant vers les grands espaces. Mais ici, les courses ne se déroulent pas à la loyale, et tous les coups sont permis : coups de poing, de pied, mais aussi de matraques et de chaînes de vélo.

Chaque participant a une barre de vie, et on peut les faire tomber en les frappant suffisamment. Mais cela vaut aussi pour nous, et on peut non seulement tomber de notre monture, qu’il faut ensuite retrouver sans se faire faucher, ou même se faire arrêter par la police. La moto possède aussi sa propre jauge, et si elle arrive à zéro, la course est perdue.

De plus, qui dit course clandestine dit route ouverte à la circulation, et il faut bien évidemment éviter les voitures des civils, voire les vaches qui s’y promènent. Le jeu compte initialement 5 courses, dans 5 environnements différents, et il faut se placer au moins 4è dans chaque course pour passer au niveau suivant, avec des courses plus longues et des adversaires plus rapides. Heureusement, à l’issue de chaque course, on remporte une certaine somme d’argent qui permet d’investir dans un nouveau bolide.

Malgré son côté bourrin Road Rash est davantage un jeu de course que de baston ; certes la conduite est ultra arcade et consiste essentiellement à rester sur la route, et le frein ne sert pas à grand chose, mais esquiver les voitures et éviter les virages trop serrés et les sorties de route est quand même assez coton. En revanche, nos adversaires sont aussi vulnérables aux chutes que nous, et on peut provoquer des carambolages.
Les graphismes sont plutôt sympa dans leur style “réaliste”, même si les courses se ressemblent un peu toutes. L’animation est saccadée mais la sensation de vitesse est bien rendue, et les musiques, sans être géniales, ont de la personnalité. Dommage que le jeu à deux ne soit disponible qu’en alterné.

BIEN


Road Rash II
EA - 1992


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Road Rash II ressemble énormément au premier épisode. Il est juste un peu plus beau, les environnements et les musiques sont un peu plus variés, et il est aussi un peu plus facile, notamment parce que les ennemis sont plus souvent armés, et qu’on peut facilement leur piquer une chaîne de vélo.Les menus sont un peu plus instinctifs, et on peut désormais choisir ses motos parmi trois types (Light, Super Bike, et Nitro).

Surtout, on peut désormais jouer à deux en écran splitté, et ça c’est cool.

TRES BIEN

Road Rash 3 : Tour de force
EA - 1995


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Road Rash nous emmenait en Californie, Road Rash II dans tous les USA, Road Rash 3 nous fait parcourir le Monde : Brésil, UK, Allemagne, Italie et Kenya sont les nouvelles destinations de cet épisode, même si on peine parfois à les reconnaître (l’Italie est vachement désertique).

Le principe reste strictement le même, tout comme le gameplay. On peut bien maintenant customiser sa moto, et garder son arme d’une course à l’autre, ça ne change pas la face du monde. La principale différence avec les précédents volets est d’ordre esthétique : Road Rash, comme beaucoup de jeux EA de cette période, a tenté de prendre le virage des digits, et le résultat est… mitigé. Ok, le rendu est un peu plus réaliste, mais les couleurs sont plus ternes, l’animation semble plus saccadée et la vitesse moins bien rendue, et on se coltine de vilaines trames en lieu et place de dégradés. C’est peut-être une question de goûts. Au moins l’écran des menus, avec ce dos de blouson de motard sur lequel est incrustée une mappemonde, est classieux. On retrouve aussi les petites saynètes d’après course issues de RR2, qui sont jolies et rigolotes.

En revanche pour les musiques, c’est tout vu : la plupart des morceaux sont à moitié sympa, avec l’inclusion de quelques thèmes du folklore local, et à moitié affreux, avec des séquences dignes du frottage de papier de verre sur du crépis. Est-ce la faute de l’émulation ? Pas sûr. On peut toujours choisir de couper les musiques pour profiter du bruit des moteurs mais hé, on n’est pas sur Amstrad.

Côté modes de jeu, pas de bouleversement : on peut toujours jouer seul, à deux en alternance ou en split-screen, ou en un contre un. La difficulté a été revue : les véhicules (et les vaches, hippopotames voire les gens !) présents sur la route sont moins difficiles à éviter, en revanche les adversaires sont plus rapides, et même en conduisant bien arriver premier est difficile dès le premier niveau.

Bref, le jeu reste agréable mais je préfère nettement l’esthétique et le punch de Road Rash 2.

BIEN

Road Rash (MCD)
EA - 1995


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La version MCD de Road Rash n’est pas un portage du premier épisode de la MD, mais de la version 3DO, sortie un an auparavant. Evidemment la MD n’est pas capable de sortir les mêmes graphismes que la console de Trip Hawkins, cette version reprend donc le moteur de Road Rash 3, avec ses motards qui ressemblent à un crapaud sur une boîte d’allumette.

En revanche, les cinématiques rigolotes ont fait le déplacement, tout comme le bar, les dialogues, et les motards et leurs portraits dignes de caricaturistes des promenades de la Côte d’Azur. Mega-CD oblige, on a également droit en jeu au bruit des moteurs EN PLUS de la musique, une sorte de rock FM bourrin mais pas trop qui colle parfaitement à l’atmosphère du jeu.

On peut enchaîner les courses en arcade ou bien jouer au mode “Story”, en choisissant son motard, en achetant de nouvelles bécanes à l’aide des gains de chaque course, etc. Comme dans Road Rash 3, on conserve ses armes entre deux courses, mais à la différence de RR3, les routes sont très encombrées, notamment par des piétons qu’on peut écraser sans vergogne.

S’il n’est toujours pas très beau, Road Rash MCD est quand même bien sympathique, et rajoute son lot de nouveaux parcours pour les accros des grands espaces et des coups de chaînes de vélo dans les gencives.

BIEN

Rock N' Roll Racing
Blizzard Entertainment - 1994


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Sorti également sur SNIN, Rock’n Roll Racing est un des premiers jeux de Blizzard (avec l’horrible Justice League, hin hin). Il s’agit d’un jeu de course en 3D iso, qui oppose 4 concurrents. Le but est d’arriver suffisamment bien placé dans les 8 courses que comporte un championnat pour glâner assez de points pour passer à la division supérieure.

Au début du jeu on choisit son pilote parmi 6 ,chacun possédant des points forts (vitesse, force, etc), puis son véhicule parmi deux (le troisième étant trop cher au début). Chaque voiture possède trois armes : une offensive (laser, missile), une défensive (mine, pics) et un boost (saut ou accélération). Puis c’est parti : un accélérateur, pas de frein, et pas mal de baston : les contacts avec les bords de la piste ne font rien, mais ceux avec les adversaires occasionnent des dégâts. Une fois la jauge de la voiture vidé, elle explose et réapparaît quelques instants plus tard. Les pistes sont vides au départ, puis se dotent de mines, ralentisseurs, accélérateurs, et j’en passe, au fil de la progression. En plus des points, une bonne place dans la course permet d’acheter des améliorations pour sa voiture : meilleurs pneus, stock de munitions plus important, etc.

Il faut un petit temps d’adaptation pour bien contrôler son véhicule, mais l’inertie n’est pas trop marquée et on arrive vite à bien le maîtriser. La difficulté est quasi nulle dans la première division, mais grimpe dès la deuxième : les adversaires deviennent plus belliqueux, et les pistes plus dangereuses.

Les graphismes en course sont plutôt sympa et détaillés, et ont un petit côté film fantastique des années 60 pas désagréable. La bande son est supposée être le point fort du jeu, avec des classiques comme “Born to be Wild” ou “Highway Star”, mais la MD ne leur rend pas honneur : ok, elle n’est pas aussi douée que la SNES pour les musiques, mais on peut tirer mieux de son processeur. On a un peu de peine à reconnaître certains morceaux.

Ça n’empêche pas Rock”n Roll Racing d’être un bon jeu, surtout qu’on peut jouer à deux à la fois en championnat et en versus.

BIEN

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Django
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Joue à Beaucoup de jeux rétro ^^

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Posté le: 2018-01-28 20:35
Aaaaaahhhh!!! Cool de relire ce blog! Road Rash II, un bon concentré de fun, surtout quand on peut pousser les flics et les adversaires contre une voiture lambda...

Tu vas bientôt arriver à un de mes jeux coups de coeur, Rolo to the Rescue.

petitevieille
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Joue à Crazy Taxi, Sega Rally

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Posté le: 2018-01-28 20:58
Madame, sache que si tu avais dit du mal de Road Rash II, je crois que je t'aurais tiré la langue.
Ce jeu est délicieusement con, régressif comme il faut, stupidement génial.
Et je suis toujours épaté par l'astuce de l'animation qui permet de simuler des dénivelés et de gérer les déplacements dans 4 directions, sans troidé. C'est malin et adapté au jeu.
J'ai toujours dans un coin de ma tête cet article pouchien consacré au jeu, jamais rédigé…

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Shenron
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Joue à Lost Judgment

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Posté le: 2018-02-04 16:29
Ouais, je me remotive !

Ranger X
GAU Entertainment/SEGA - 1993


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Pourquoi je ne parle de Ranger X que maintenant ? Parce que la première fois que j’y ai joué, je n’ai pas accroché du tout. Voyant les avis très positifs sur ce jeu, j’ai décidé de laisser décanter et d’y revenir après. Bien m’en a pris !

Ranger X (Ex-Ranza en JP) est un shoot horizontal à mi chemin entre le run’n gun à la Contra et le shoot classique à la Thunderforce.On dirige un robot qui peut marcher mais aussi utiliser ses réacteurs dorsaux pour volet. Cependant, leur énergie est limitée et matérialisée par une jauge, on doit donc de temps en temps redescendre pour la recharger. On possède également deux armes : un tir de base illimitée, et un tir spécial, qui lui consomme une jauge d’énergie qui se régénère lorsqu’on est en plein soleil.
Enfin, selon le stage, on est accompagné soit par un engin roulant dans lequel on peut monter pour utiliser sa jauge d’armure, soit d’un vaisseau volant, les deux apportant leur puissance de feu. On peut également tirer soit vers la droite, soit vers la gauche.

Le but de chaque niveau est de détruire une série de cibles bien précises, avant d’affronter le boss.

Cela fait beaucoup de paramètres à gérer, et jouer à Ranger X comme à n’importe quel shoot bourrin est une erreur. Il faut être sans cesse mobile, chercher les sources de lumière dans les niveaux souterrains, bien diriger ses modules, etc. On n’est en général pas assailli d’ennemis, mais le rythme est quand même soutenu car les décors sont également piégeux.

Les graphismes sont très fins, et notre robot est joliment animé. Le jeu est joli malgré des couleurs un peu ternes, qui donnent cependant un aspect presque réaliste au jeu. Je n’ai pas eu l’occasion de profiter des musiques, qui sont couvertes par les explosions.

Ranger X est un très bon shoot qui demande juste un temps d’adaptation pour être pleinement apprécié.

TRES BIEN

RoboCop 3
Eden Entertainment Software/Flying Edge - 1993


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Je n’ai vu Robocop 3. Je sais juste que Robocop vole, et qu’il y a des ninjas, donc je pense que je ne rate pas grand chose. Pourtant, Flying Edge s’est dit que ça valait le coup d’adapter le plus mal-aimé des films de la franchise en jeu vidéo.

Nous sommes donc face à un shooter vu de côté à la Rolling Thunder (je n’en ai pas encore parlé mais nous sommes entre personnes cultivées). Des méchants punks apparaissent et nous tirent dessus, et il faut éviter les balles et les tuer avant. On peut tirer dans toutes les directions, y compris en se baissant et en sautant. Les ennemis peuvent en faire autant.

On débute avec notre simple pistolet, mais un récupère vite un 3-Way. Le premier problème est que toutes les munitions, y compris celles du flingue de base, sont limitées. Une fois écoulées, on met des petits coups de poing inefficaces. Le deuxième problème, est que les caisses qui jonchent le chemin nous empêchent certes d’avancer sans sauter par-dessus, mais n’arrêtent pas les balles. Mais le souci principal, c’est qu’on ne peut pas éviter la plupart des tirs. Ils sont trop nombreux, et Robocop est trop gros et pas assez mobile, pour espérer les esquiver. Le premier “boss”, qui consiste simplement en une nuée d’ennemis armés de bazookas, est symptomatique : je n’ai aucune idée de la façon de tous les tuer sans se faire démonter avant. De plus, on perd bien plus d’énergie au contact d’un ennemi que quand on est touché par une balle, et comme souvent, si on est trop près nos tirs ne portent pas.

Le jeu étant assez vilain par-dessus le marché, Robocop 3 est donc à peu près aussi mauvais que le film dont il s’inspire.

MAUVAIS

RoboCop vs. The Terminator
Virgin Interactive - 1993


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Dans les comics éponymes, Robocop décide de voyager dans le futur pour détruire Skynet, en le piratant à l’aide de son esprit, pour finir par construire un Terminator à son image. Ça semble un peu bizarre.

Dans le jeu, on se contente de dessouder des Terminators, sans se faire de noeuds au cerveau : comme dans Robocop 3, l’action est vue de côté, mais les ressemblances s’arrêtent à peu près là : on peut avoir jusqu’à deux armes disponibles, parmi lesquelles on alterne à volonté, et dont les munitions sont infinies. Robocop peut sauter, grimper à l’échelle, et même se suspendre par les bras pour passer des obstacles. Les contrôles sont un peu bizarres, et Robocop peut aussi bien tirer en diagonale vers le bas que se baisser, ce qui fait qu’il est un peu long de s’accroupir. L’écran scrolle également légèrement vers le bas quand on s’accroupit, ce qui donne un peu mal au coeur.

Heureusement, très rapidement, on n’a plus à se préoccuper de viser ou pas : entre les fusils à pompe à tête chercheuse, les lance-flammes en 3-Way, ou les grenades, on finit par juste avancer en martelant le bouton de tir et en évitant les quelques boulettes tirées par les ennemis. Il faut bien de temps en temps sauter par dessus des bidons de futs toxiques (au pixel près) ou éviter des flammes, mais la plupart du temps on n’a pas trop à réfléchir. Et ce n’est pas désagréable. Les commandes répondent bien, les explosions un peu gorasses des ennemis sont assez satisfaisantes, le jeu est relativement joli une fois qu’on s’est fait à l’animation chelou de Murphy… C’est pas mal.

ASSEZ BIEN
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gregoire01
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Posté le: 2018-02-04 22:11   [ Edité le: 2018-02-04 22:20 ]
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Le 2018-02-04 16:29, Shenron a écrit :

RoboCop vs. The Terminator
Virgin Interactive - 1993


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Dans les comics éponymes, Robocop décide de voyager dans le futur pour détruire Skynet, en le piratant à l’aide de son esprit, pour finir par construire un Terminator à son image. Ça semble un peu bizarre.

Dans le jeu, on se contente de dessouder des Terminators, sans se faire de noeuds au cerveau : comme dans Robocop 3, l’action est vue de côté, mais les ressemblances s’arrêtent à peu près là : on peut avoir jusqu’à deux armes disponibles, parmi lesquelles on alterne à volonté, et dont les munitions sont infinies. Robocop peut sauter, grimper à l’échelle, et même se suspendre par les bras pour passer des obstacles. Les contrôles sont un peu bizarres, et Robocop peut aussi bien tirer en diagonale vers le bas que se baisser, ce qui fait qu’il est un peu long de s’accroupir. L’écran scrolle également légèrement vers le bas quand on s’accroupit, ce qui donne un peu mal au coeur.

Heureusement, très rapidement, on n’a plus à se préoccuper de viser ou pas : entre les fusils à pompe à tête chercheuse, les lance-flammes en 3-Way, ou les grenades, on finit par juste avancer en martelant le bouton de tir et en évitant les quelques boulettes tirées par les ennemis. Il faut bien de temps en temps sauter par dessus des bidons de futs toxiques (au pixel près) ou éviter des flammes, mais la plupart du temps on n’a pas trop à réfléchir. Et ce n’est pas désagréable. Les commandes répondent bien, les explosions un peu gorasses des ennemis sont assez satisfaisantes, le jeu est relativement joli une fois qu’on s’est fait à l’animation chelou de Murphy… C’est pas mal.

ASSEZ BIEN



A noter que la version Megadrive de ce jeu avait marqué la presse de l'époque par sa violence, tout le monde y mourrait dans une gerbe de sang. Sang évidement absent sur super nintendo (par contre sur SNES ont tire sur + de femmes, je sais pas si c'est mieux). Les deux version on pas mal de différence, notament des niveau agencé différemment et des séquences d'histoire en BD sur SNES.
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nicko
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Posté le: 2018-02-05 09:46
Citation :
Le 2018-02-04 16:29, Shenron a écrit :

Ouais, je me remotive !

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D'après ta description ça ressemble à Assault Suits Valken. Je vais essayer de tester ça ce soir.

Nikeleos
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Posté le: 2018-02-05 12:07
Citation :
Le 2018-02-04 22:11, gregoire01 a écrit :
Sang évidement absent sur super nintendo (par contre sur SNES ont tire sur + de femmes, je sais pas si c'est mieux).

[mode 25è degré On] Elles l'avaient surement cherché... [mode 25è degré Off].

En ce qui concerne Robocop 3, je crois qu'il faut plutôt se pencher sur la version Amiga, sorti avant le film et qui est réellement réputé pour sa qualité.
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Youpla : Dommage, t’étais bien parti.


gregoire01
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Posté le: 2018-02-08 21:16
Citation :
Le 2018-02-05 12:07, Nikeleos a écrit :

Citation :
Le 2018-02-04 22:11, gregoire01 a écrit :
Sang évidement absent sur super nintendo (par contre sur SNES ont tire sur + de femmes, je sais pas si c'est mieux).

[mode 25è degré On] Elles l'avaient surement cherché... [mode 25è degré Off].

En ce qui concerne Robocop 3, je crois qu'il faut plutôt se pencher sur la version Amiga, sorti avant le film et qui est réellement réputé pour sa qualité.


Je ne sais pas s'il a bien vieillit, mais en tout cas c'est un jeu qui a marqué son époque avec sa 3D et sa sensation de liberté.
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RainMakeR
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Posté le: 2018-02-19 16:05   [ Edité le: 2018-02-19 16:06 ]
Bonp déjà ma petite shenron
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Je vais doubler MTF pour le coup mais ta phrase (RoadBlasters)
Citation :
la réserve prend le dessus, mais elle ne peut pas être remplie qu’entre deux courses

m'a laissée dubitatif. ON ne remplit qu'entre 2 courses c'est ça ?

Par contre j'ai checké 91 ... c'est récent pour un concept aussi vieillot quand même. Du coup si je résume c'est un shmup en voiture où faut ramasser des billes de couleur ?


Road Rash fait partie des jeux que j'enviais quand j'étais gamin (cremerie d'à coté) mais que j'ai jamais acheté après. Trop peur d'être déçu. Pourtant le concept de course bourrine me parle, mais j'ai peur que ça soit trop répétitif, et surtout qu'y jouer avec mes yeux d'aujourd'hui (sans nostalgie de quand j'y jouais à l'époque) le jeu ne me parle pas.
En plus c'est chiant parce qu'il est plus jamais réapparu dans des compils


Idem pour rock&roll, sauf que pour lui je suis quasi sûr d'être décu

Rollin thunder j'attend ton avis sur la chose, ca fait des années que je me dis qu'il faut que je choppe la rom, sauf que pour celui là je suis quasi sûr d'aimer ^^

Pour robocop j'ai jamais joué au 3 mais le 1 fait partie de mes jeux préférés sur CPC ^^
Le versus robocop faudrait que je le teste, ça manque ce genre de délire totalement WTF dans les jeux récent. Celui là et le AVP avait lancé une mode qui s'est trop vite finie. Dommage.


Citation :
Le 2018-02-05 09:46, nicko a écrit :
D'après ta description ça ressemble à Assault Suits Valken. Je vais essayer de tester ça ce soir.

Merci nicko tu as reussi à traduire ma pensée (je trouvais plus le nom). Par contre valken etait assez mou au final
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FRANZ57
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Posté le: 2018-02-21 14:27   [ Edité le: 2018-02-21 14:28 ]
Bonjour,

Rock n Roll Racing sur megadrive a un avantage sur la version sur snes , sur snes les courses des divisions A et B sont les mêmes , alors que sur megadrive c'est des nouvelles !!!!!!!!

Sinon on peut mettre les musiques qualité audio cd!!! avec le megacd (en vrai ou sur emulateur) :
https://www.youtube.com/watch?v=4xkPqA2Tg6I


Les Road Rash MD , je préfère le 3 mais il arrache la rétine les 1eres minutes (après on ne fait plus attention), parcontre quand je fait jouer quelqu'un je lui mets le 2 qui est quasiment aussi bien


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