On continue avec un jeu que j'aurais du poster le soir du 24 Décembre si j'avais été un peu plus avancé dans mes présentations :


Daze Before Christmas
(Funcom / Sunsoft - 1994)



Un jeu de plate forme, parmis tant d'autres, qui nous fait diriger le père Noel devant récupérer les cadeaux volés par un bonhomme de neige maléfique et libérer ses sous-traitants les elfes. Il peut sauter et lancer des projectiles sur les ennemis qu'il croise (souris, pinguins, jouets maléfiques ...). En ramassant un bonus spécial, le père Noel se transforme en "anti-père Noel", un double maléfique qui lui permet d'être invincible pendant quelques secondes (on peut régler le temps dans les options). Oui, quelle drole d'idée ... Après quelques niveaux on affronte un boss puis on a droit à une scène bonus ou le père Noel, sur son traineau volant, doit larguer les cadeaux récupérés dans les stages précédents dans des cheminées, à la façon de Paperboy (et hop, comme ça je colle à l'actualité de GP : allez lire le dossier Paperboy de Sodom si ce n'est pas déjà fait). Le jeu est assez joli, bien animé et parfaitement jouable. Mais il est trop facile et le game-design des niveaux est plat et sans intérêt. Clairement destiné aux petits enfants, je ne pense pas qu'il passionne ces derniers très longtemps.
1.5/5

Bah bah, plus de dragon machin .?
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Tu auras sans doute remarque qu'au sein de chaque lettre, les jeux ne sont pas traites par ordre alphabetique
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

J'ai fini The Daze Before Christmas sur MD, et je serais un peu moins dure que toi : certes le jeu est extrêmement facile, le level design est quelconque, mais en fait je ne me suis pas trop ennuyée (un peu quand même), et en faisant des sessions courtes on arrive à s'accrocher (il y a un système de mots de passe). Pour moi c'est un jeu idéal pour les petits. Mais s'il n'y avait pas de passwords, il serait clairement trop long et ce serait impossible d'en voir le bout sans se lasser.

J'ai beaucoup aimé aussi les illustrations intermédiaires, si tout le jeu avait été réalisé dans cet esprit ça aurait été bien plus sympathique :

Desert Strike
(Visual Concepts / Electronic Arts - 1992)



Un classique de l'éditeur qui a été décliné sur toutes les machines de l'époque et est le premier épisode d'une longue série, ce jeu représenté en 3D isométrique nous met aux commandes d'un hélicopter de combat qui doit accomplir plusieurs missions dans un petit territoire proche de l'Iraq juste après la guerre du golfe. On doit tout d'abord choisir un copilote (ce qui influe sur la précision/cadence du tir) et, très important, un type de controlle. Personellement je suis assez allergique aux controlles par défaut pour ce jeu (gauche et droite pour faire pivoter l'hélico et haut pour avancer) et préfère la 2ème option qui permet d'incliner la pad dans la direction voulue. Ensuite on décolle d'un bateau de guerre pour arriver sur les lieux de la mission. Il est possible de survoler l'aire de jeu à sa guise, une carte permettant de consulter les objectifs à remplir (détruire un radar, retrouver un soldat prisonier ...). Les boutons de face permettent d'utiliser les armes (canon, roquettes, missiles) et les boutons de tranche servent à "straffer". Attention : carburant et munitions sont limitées mais on peut en récupérer en cours de mission.
Difficile mais parfaitement jouable et encore très amusant en 2008, Desert Strike est un vrai classique qui mérite sa bonne réputation.
3/5


Desert Fighter / Air Strike Patrol
(Seta - 1994)



Ce jeu de simulation/action injustement méconnu ressemble énormément à Desert Strike, le hit d'Electronic Arts. Sauf qu'on dirige un avion (au choix F15 ou A10 Thunderbolt) au lieu d'un hélicopter. Le jeu est représenté en 3D isométrique et l'avion qu'on dirige survole les territoires ennemis ou il doit accomplir diverses missions, principalement de bombardement. La maniabilité n'est pas évidente à apprivoiser au premier abord mais ensuite on s'amuse beaucoup grâce à une jouabilité rapide et des affrontements qui peuvent vite devenir frénétiques quand on slalomme entre les missile tirés par les tanks au sol en ayant un Mig ennemi aux fesses. Les commandes sont simples à assimiler : Y pour tirer au canon, B pour les missiles (F15) ou les bombes (A10), A pour lâcher les "flares", X pour le turbo et on règle la vitesse avec L et R. La gestion de l'altitude n'est pas prise en compte par le jeu. La grosse différence avec Desert Strike est la présence d'un viseur qui montre exactement ou on tire et qu'il faut positionner au mieux sur sa cible en gérant sa vitesse et sa direction.
Avant chaque mission, un long briefing très détaillé nous est offert. Il est possible d'étudier la carte ainsi que chaque cible ou unité ennemie. Ensuite on passe à l'action. La carte sur laquelle on évolue est assez grande et il nous est possible d'aborder les missions avec une relative liberté. Quand on subie trop de dégats ou qu'on arrive à cours de carburant et de munition, il est possible de quitter l'aire de jeu pour revenir à la base. On fait alors le plein avant de repartir à l'action mais attention car le nombre de sorties possibles par mission est limité.
Jouable et franchement amusant, et doté d'une réalisation correcte, je le conseille vivement à tous les fans de Desert Strike et de ses suites sur consoles 16 bits. Desert Fighter est moins bien réalisé mais m'apparait comme un peu plus rapide, plus nerveux, et plus arcade.
A noter que les roms que j'ai testé ne fonctionnent pas sur Zsnes.
3/5

J'ai bien aimé desert strike.
Je trouve qu'il est assez gratifiant. Les missions sont difficiles, mais quand on les aborde avec de la réflexion et de l'entrainement on y arrive. J'adore planifier mes attaques en regardant l'emplacement des ennemis sur la carte pour réfléchir à mon angle d'attaque.
Les missions sont un peu scénarisées ce qui est aussi bien. (des ennemis apparaissent, d'autres s'échappent quand on arrive)
Par contre j'y ai joué sur Amiga. Je ne sais pas s'il y a une grosse différence entre les 2 versions.
Ton groblog est super, je ne connaissais pas l'existence de Desert Fighter. Je m'en vais le tester de ce pas.

Je confirme, j'avais adoré Desert Strike sur Megadrive. D'ailleurs, il est amusant de constater que les graphs de la SNIN ne sont pas supérieurs à ceux de la MD sur ce jeu...

Je confirme, j'avais adoré Desert Strike sur Megadrive. D'ailleurs, il est amusant de constater que les graphs de la SNIN ne sont pas supérieurs à ceux de la MD sur ce jeu...

Moi aussi j'aime bien la série des Strike sur 16-bits (Desert, Urban et Jungle), c'est nerveux et tactique à la fois, il faut bien penser à son approche, bien appréhender les maps afin de pas faire de bourdes (histoire de ne pas tomber sur des canons de DCA en plein sauvetages d'otages...). De très bons jeux selon moi, mais je ne me rendais pas compte à l'époque que c'était tant pro américain. C'est fou ce que l'on peut passer à côté de certaines choses quand on ne lit pas l'anglais

Et puis rien que pour le son de l'hélico qui indique que tu manques de fuel, il faut y jouer. Stressant au possible.
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"Si Kage t'y arrives pas, essaie les pruneaux d'Agen !"

Shenron, pendant une soirée Virtua Fighter 5 Ultimate Showdown.

Je confirme également, la série des Desert Strike est excellente, et fort bien réalisée. Je connais mieux la version Megadrive, pour ce que j'ai vu de la version Super Nintendo, c'est sensiblement la même chose. Comme ça, pas de jaloux.

J'aime beaucoup ces descendants directs de Choplifter que sont les Strike 16-bits. J'ai beaucoup joué au Jungle, épisode long et varié (bien plus que Desert) dans lequel on dirige, le temps de quelques missions, une moto, un F117, et même un hors-bord (à moins que ce soit dans Urban, je sais plus). Passé les premières missions, cependant, le jeu devient vraiment dur. Malgré mon acharnement, j'ai jamais pu passer la sixième mission en Russie, avec ses séquences où le système radars est en alerte permanante, et où un seul tank peut abattre l'hélico en moins de deux secondes.

J'ignorais qu'il existait un autre mode de contrôle pour l'hélico, c'est vraiment plus maniable avec ?

@Lyle : le mode de controlle que j'utilise permet de déplacer l'hélico dans la direction voulue en appuyant sur la touche correspondante du pad. C'est moins réaliste car l'hélico peut exécuter un demi-tour plus vite, mais ça rend le jeu (à mon gout) plus agréable à prendre en main et, je l'avoue, un peu plus facile. Peut-être que cette fonction est uniquement présente sur la version Snes ?

@tous : content de voir autant de retours positifs sur Desert Strike, un jeu que certains considèrent à tort comme surestimé. Du coup je serais curieux de connaitre vos avis sur Desert Fighter (à se demander si la cartouche a été vendue en France : personne ne connait semble-t-il) : n'hésitez pas à l'essayer et à poster ici vos impressions (même si c'est 3 pages plus loin).



Dead Dance
(Jaleco - 1993)



Aussi connu sous le nom de "Tuff E Nuff", c'est un jeu de baston à la Street Fighter 2 que j'ai toujours détesté. Ce jeu, hein, pas SF2. Pourtant mes amis le trouvaient correct à l'époque, alors vous me donnerez votre avis. On dispose de 3 modes de jeu : story, vs CPU et bien entendu un mode 2 joueurs. Par défaut on ne peut choisir que parmis 4 persos dont 2 ont exactement les mêmes coups. A l'aide d'un code, il sera heureusement possible de jouer avec les boss en mode versus pour un total de 11 persos. Mais attention, les "boss" sont là en bonus et ne sont pas équilibrés par rapport aux 4 persos de base (comme la version Snes de Fatal Fury). On joue avec 4 boutons (2 pieds et 2 poings) et le gameplay est assez similaire aux classiques du genre mais en beaucoup moins dynamique et avec des timings forts approximatifs. Au niveau des petites originalités, on dispose d'un replay du dernier coup en fin de partie et le visage des combattants se couvre de sang au fur et à mesure qu'ils se prennent des coups.
La réalisation est correcte, autant pour les sprites que pour les décors. Les persos, sans être les plus charismatiques du genre, ont un "petit quelque chose" qui les rend assez sympathiques. Mais ce jeu ne m'amuse pas du tout. Les coups sont peu nombreux, les animations sont trop lentes et les combats manquent de dynamisme. Mention spéciale à certaines manipulations peu logiques pour sortir les coups spéciaux (le super uppercut des héros sort en maintenant AVANT pendant 1 seconde (oui AVANT, pas arrière) et en enchainant avec diagonale arrière + punch).
1.5/5


Doomsday Warrior / Taiketsu ! Brass Numbers
(Telenet / Renovation Products - 1992)



OK, il m'a suffit de lancer ce jeu (que je ne connaissais pas) pour comprendre pourquoi certaines personnes aiment Dead Dance : elles ont joué à Doomsday Warrior juste avant ! Il s'agit donc d'un beat-them-up qui voit s'affronter 7 persos (dont 2, les héros, ont les mêmes coups bien sur) au design très mauvais et qui se joue avec 4 boutons : 1 poing, 1 pied, 1 bouton de garde (mauvaise idée) et 1 bouton de saut (idée encore pire). La maniabilité est donc catastrophique et n'aide pas à surmonter les graphismes médiocres et l'animation très lente. Le supplice est d'autant plus dur à subir que les combats sont longs : les barres d'énergie sont grandes, les coups font peu de dégâts et, pire, les combattants peuvent récupérer de l'énergie s'ils ne sont pas frappés. Les coups spéciaux se déclenchent avec des charges (arrière-avant + poing par exemple). En mode 1 joueur, après chaque combat, il nous est possible d'augmenter les caractéristiques de son héros. Il y a bien sur également un mode 2 joueurs. Très mauvais.
0.5/5

Bon courage, des jeux de baston pourris sur la console, il y en a plethore
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"Pourtant mes amis le trouvaient correct à l'époque, alors vous me donnerez votre avis"

Ce jeu est mauvais (et à peine mieux que Doomsday Warriors). Pour l'apprécier à l'époque, il fallait vraiment être désespéré d'attendre un nouveau Street Fighter.

Par contre le coup des visages ensanglantés, j'ai trouvé que c'était une bonne idée. Mine de rien, peu de jeux de combats (à part les Mortal Kombat?) ont repris l'idée. Hypocrisie (les gens se tapent dessus mais doit pas y avoir trop de sang voire pas du tout?)

J'aime bien The Daze Before Christmas. Sans prétentions mais très joli, un jeu pop-corn, à essayer à petite dose. Et tout comme Shenron, je trouve les écrans fixes entre les niveaux vraiment très réussis.

Sinon je n'ai jamais pu essayer Desert Fighter / Air Strike Patrol , j'attends que Zsnes arrive à l'émuler proprement un jour. Passer à la concurrrence, jamais ^^

Ah moi aussi je préfère Zsnes : plus léger, et donnant un meilleur rendu (à mon gout). Mais depuis que j'ai commencé ce groblog je m'aperçois que Snes9X offre une bien meilleure compatibilité. Certains jeux ne passent donc pas sous Zsnes (Desert Fighter, Cu-On-Pa, les jeux Sufami Turbo ...), et d'autres râment ou sont buggés. C'est le cas du jeu que je présente ce soir :


Daffy Duck : The Marvin Missions
(Sunsoft - 1993)



Ce jeu de plate forme est inspiré des épisodes des Looney Tunes dans lesquels Daffy Duck affronte Marvin le martien. Après avoir choisit son équipement, Daffy est débarqué sur une planète Mars très hostile ou il doit traverser de nombreux niveaux dont certains se concluent par une bataille contre un boss. On peut sauter, tirer, se planquer derrière un bouclier et utiliser une attaque spéciale qui détruit tous les ennemis à l'écran (attaque en nombre limitée bien sur). En re-appuyant sur le bouton de saut quand on est en l'air il est possible d'utiliser un jetpack à condition d'avoir suffisemment de carburant pour ça. Les boutons de tranches servent à changer d'armes. La maniabilité est très particulière et constitue la principale difficulté de ce jeu : en plus des sauts très approximatifs qu'on croirait directement importés de Bubsy, Daffy subit un effet de recul particulièrement prononcé dès qu'il tire avec son arme. Le rendu est assez cool et cette idée à le mérite d'être originale. Mais c'est un choix de game-design qui ne va pas plaire à tout le monde tant ça rend certains passages difficiles. Ajoutons que Daffy est victime d'une sacré inertie, et il faut avoir le réflexe d'utiliser le bouclier dès qu'on voit un ennemi se pointer pour ne pas se prendre un projectile lorsqu'on se déplace et qu'on ne peut pas s'arrêter à temps.
Les graphismes sont assez beaux si on aime le style malgré des ennemis pas toujours bien animés. Attention : le jeu saccade énormément sous Zsnes et est victime de bugs graphiques. Il vaut mieux pratiquer ce jeu sous Snes9X donc.
Assez original donc mais peu maniable et vraiment difficile (j'ai abandonné après m'être cassé les dents 3 fois sur le boss du premier monde).
1.5/5

C'est marrant parce que j'ai debute l'emulation de la console avec ZSNES pendant des annees, et puis un jour j'ai decouvert Snex9x. Et la, ma vie a change J'exagere, mais a tous niveaux, je trouve ce dernier bien plus agreable a utiliser... Maintenant bon, les gouts et les couleurs...
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Genre qui fut très populaire au japon, le jeu de plateau façon jeu de l'oie a été adapté de nombreuses fois en jeu video jusqu'à devenir un hit même hors des frontières de l'archipel grâce à la série des Mario Party.
La série des Bakushu Jinsei Gekijou de Taito est tirée du célèbre jeu de plateau connu sous le nom de "Game of Life" (commercialisé en France sous le nom de "Destins" je crois) dans lequel le plateau de jeu représente toute notre vie. On commence enfant et au fil du jeu on traversera la scolarité, le monde du travail, on se mariera et fondera une famille ... etc ... Le but est de vivre la meilleure vie possible et de prendre sa retraite en étant plein aux as !


Daibakushou Jinsei Gekijou
(Taito - 1992)



Adaptation très fidèle du Game of Life dans sa version japonaise (Jinsei Game) sauf qu'on commence par jouer sur un plateau qui représente la petite enfance (on dirige des bébés) avant de passer à des plateaux représentant d'autres périodes de la vie (école, lycée, bureau ...). On tourne une roue et on avance de cases en cases. Les cases positives permettent de monter nos statistiques et gagner plus d'argent. Les cases négatives font diminuer nos statistiques. Bonne ou mauvaise, chaque case donne lieu à une petite animation pas franchement magnifique mais amusante et accompagnée de textes en japonais. Il y a également des magasins qui permettent d'acheter des objets à utiliser contre les autres joueurs. On doit parfois prendre des décisions qui affectent le cours du déroulement de la partie (par exemple choisir de s'inscrire dans un club de sport à l'école permet d'avoir un bonus si on tombe ensuite sur une case qui représente une compétition sportive).
C'est jouable jusqu'à 6 joueurs. Comme on n'y comprend pas grand chose et qu'il n'y a aucun mini jeu, il y a peu d'intérêt pour nous autres français à essayer ce jeu.


Daibakushou Jinsei Gekijou : Dokidoki Seishun
(Taito - 1993)



Dans ce deuxième épisode la réalisation est plus soignée avec plein de petites animations assez sympathiques. Le principe est semblable au jeu précédent mais il y a quelques changements. On ne commence plus bébé mais directement à l'école. Le déroulement du jeu reprend une année scolaire, saison par saison, avec des événements scriptés qui se produisent à un certain moment quelle que soit la case sur laquelle on est. Il n'y a toujours pas de mini jeu mais l'on est souvent amené à prendre des décisions avec des questionnaires à choix multiples qui sont plus nombreux que dans le jeu précédent. Ainsi par exemple, en tombant sur la case "coiffeur", on peut choisir sa coupe de cheveux. Ceci à un impact plus tard car une coupe cool permettra de faire tomber la fille canon de l'école mais nous attirera les foudres de l'inspecteur des tenues scolaires (si si ça existe apparement !). Certains choix peuvent même déboucher sur des affrontements se déroulant un peu à la façon d'un RPG.
Cette fois on ne peut jouer qu'à 4 au maximum.
Quoi qu'il en soit, c'est toujours en japonais et reste donc très obscur pour le joueur français moyen ...


Daibakushou Jinsei Gekijou : Ouedo Nikki
(Taito - 1994)



C'est toujours plus ou moins la même chose mais cette fois le cadre de jeu est le japon médiéval avec bien sur des situations et des destins adaptés. Ici on essaiera plutot de devenir un samurai riche et influant plutot qu'un PDG de grosse corporation comme dans les précédents épisodes. Jouable à 5 simultanément (mais pourquoi changent-ils le nombre de joueurs à chaque épisode ?), le système de jeu présente quelques petits changements plutot anecdotiques (on lance un dé au lieu de tourner une roue par exemple). Les graphismes sont assez mignons mais rien d'éblouissant au niveau du design.
Le rythme de jeu ressemble plus au 1er jeu avec moins d'interactivités alors que pratiquement chaque case donnait lieu à un QCM dans Dokidoki Seishun.


Daibakushou Jinsei Gekijou : Zukkoke Salary Man Hen
(Taito - 1995)



Pour ce dernier jeu de la série (à moins qu'on en trouve d'autres plus tard sous un autre nom), toute la partie se passe dans le monde du travail. Après avoir créé son personnage (fonction déjà existante dans les autres épisodes mais pas aussi détaillée) on se déplace sur le plateau de jeu en direction de la compagnie dans laquelle on veut se faire engager. En chemin on tentera de trouver amour et fortune et il faudra encore une fois prendre les bonnes décisions tout en espérant que les résultats des lancés de dés nous mèneront vers des cases déclenchant des évènements positifs. Il y a un tout petit peu plus d'interactivité dans cet épisode puisqu'on déplace nous même notre perso sur la carte (avant il allait automatiquement vers la case désignée par le résultat du dé ou de la roulette) et qu'on dispose d'un bouton pour sauter. Sauter ? Pour des phases de plate-forme ou des mini-jeux ? Bah non malheureux ! Juste pour éviter les petites voitures qui apparaissent aléatoirement sur le plateau de jeu et qui viennent percuter notre joueur pour l'envoyer à l'hopital. Enfin, pour répondre à la question que vous vous posez tous : OUI, Taito a encore modifié le nombre de joueurs maximum pour le passer à 4 !


Voilà, c'est quand même fou de voir le nombre de jeux adaptés du "Game of Life" sur les consoles Nintendo japonaises (il en existe aussi sur Famicom et Game Boy). A ma connaissance, il n'existe aucune adaptation occidentale de ce jeu de plateau à part une version PC CD-Rom dont j'ignore si elle est sorti hors des frontières nord-américaines.

Il est toujours amusant de voir qu'est ce qu'est "une vie reussi" pour ceux qui font ces jeux

avoir une cravate et une attaché-case...

remarque c'est pareil à la fin de "retour vers le futur" ou "l'effet papillon"

L'exemple le plus marquant reste quand même Art of Fighting
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Alors que MK, de mémoire, non (du moins, pas les anciens du temps de Art of Fighting)