Je dirai plutot faineantise des graphistes. Je serai pas étonné que ce sont les mêmes artistes qui ont fait les 2 illustrations
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Oh, c'est de bonne guerre !


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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Ah ouais quand meme...
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

Je vois... ( Heu... Il n'y avait déjà eu un sujet sur les ripp-off et autre "recyclage interne" de jaquettes, ici, par hasard ? )

Sinon, pour rebondir sur les remarque plus haut, est-ce que le noms des auteurs était connus, ou étaient-ce des "stagiaires" anonymes, voir un "collectif" ?

ou une banque d'images ?
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Je ne sais pas mais le style graphique est quand meme assez proche, ca pourrait etre la meme personne...
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The fight is everything. Always seeking the next challenge. Ceremony means nothing to him

- ça, oui, ce n'est pas non plus incompatible avec le "recyclage", quitte à ne pas lésiner sur le papier-calque.
( D'autant plus s'il y a un modèle de départ possible, comme l'affiche postée plus haut par Shenron. ^^' )



C'est justement ce que j'aimerais bien savoir, en fait.

( :/ Il y a bien des visuels de jaquettes qui sont clairement associés à tel ou tel Noms, et d'autres qui resteront le travail de "parfaits inconnus", à moins de nouvelles découvertes. )



Et, je ne sais pas, c'est surement subjectif, mais pour moi, la version Final Fight de ces jaquettes à quand même un côté un peu plus brouillons que les Streets of Rage précédentes...

D'après ce que j'ai vu, la jaquette US de Street of Rage a été fait par un certain Greg Winters:
https://www.mobygames.com/developer/sheet/view/developerId,9268/
Un illustrateur qui à l'air d'avoir une certaine renommé.
Il a fait aussi celle de Final Fight 3 sur SNES.

J'ai pas trouvé l'auteur de la jaquette pour Street of Rage 2 ou Final Fight 2.
Vu les sorties rapprochées de ses différents jeux, peut-être les a t-il tous fait? Mais j'ai rien trouvé qui permette de le dire.

Après faut voir qui a édité le jeu aux usa, si c'est la même boite, les mecs ont pas du se casser le cul bien longtemps
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Je ne sais pas si certains ont déjà fait SONIC BLAST MAN intégralement sur SNES, et surtout le 2 mais...est-ce que les programmeurs auraient pété les plombs sérieusement ????? Le 1er est interminable, on enchaîne la même vague d'ennemis pendant 15 ou 20 minutes et les coups qu'on leur inflige ne leur font presque rien...

Mais le pire c'est le 2 : il faut parfois 30 minutes pour finir un niveau (incluant le combat contre le boss), car les ennemis ont une barre de santé très très très longue et même avec des super coups, elle diminue lentement. J'ai rarement fait un beat'em up aussi chiant et frustrant, et pourtant il n'y a que 5 niveaux, mais quand vous allez vous enchaîner le 150ème ennemi dans un même niveau avec toujours la même barre d'énergie qui diminue lentement, j'vous jure que vous serez rapidement blasés. Et puis surtout c'est duuuuur à en crever...vous récupérez très peu d'énergie, les special "punch" sont en quantité limité et on en regagne très peu dans le jeu...bon courage !

Si certains connaissent ces deux jeux, je serais curieux d'avoir leur avis là dessus...

J'ai un énorme doute d'ailleurs, vu que j'ai joué en émulateur, je me demande si je ne suis pas tombé sur une Rom foireuse...je suis allé voir des longplays du jeu sur youtube, tout le monde le finit en 40 minutes et les ennemis semblent perdre leur énergie beaucoup plus rapidement que dans la version que j'ai faite (j'ai fait la version jap, c'est peut être pour ça ?). D'où ma question...
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"le pouvoir du paddle est toujours entre vos mains"

Intéressante l'histoire de ce PIRATES OF THE DARK WATER sur SNES. Un beat'em up en 2D bien bourrin dans un univers de pirates, similaire à CUTTHROAT ISLAND ou SKULL & CROSSBONES sur arcade, sauf que le jeu est adapté d'une série animée datant de 1991 connue chez nous sous le titre "Le Tourbillon noir" et "Pirates of the Dark Water" aux USA. Problème, cette série, produite par Hanna Barbera, ambitieuse et assez coûteuse pour l'époque, a été annulée purement et simplement au bout du 21ème épisode...(il était arrivé quasiment la même chose à "Sonic the Hedgehog" ou "Sonic et Sally" chez nous, produit par DiC en 1993). Du coup l'histoire n'a jamais été conclue et pourtant l'aventure était épique, même un peu sombre pour une production Hanna Barbera (Bloth, le méchant pirate de l'histoire, était assez glauque, et la série était somme toute très sérieuse pour une production "familiale" je trouve...). Le jeu sur SNES reprend les grandes lignes de la série : la quête des trésors de Ran, Tula et Ioz, le Dark Water qui menace la monde de Mer, les combats contre les pirates de Bloth, etc. Mais avec une difficulté assez élevée, et surtout le jeu est très long - 8 niveaux très répétitifs, avec toujours la même vague d'ennemis et surtout un en particulier : le "Big Pirate" qui vous fonce dessus avec son gros bidon en avant, et qui va vous péter les roubignoles un sacré paquet de fois : putain je déteste cet ennemi !!! Et niveau réalisation, pour une production Sunsoft sur SNES en 1994, on se serait attendu à mieux, c'est pas mal mais j'ai déjà vu mieux...néanmoins c'est à essayer quand même. A noter que la version megadrive est complètement différente : c'est davantage un jeu d'action/plateformes avec des éléments RPG.
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"le pouvoir du paddle est toujours entre vos mains"

J'ai adoré ce jeu étant ado
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Sonic Blastman 1 et 2, je les avais fait l'année dernière en ému.
J'ai pas souvenir d'ennemis lents à tuer pour les 2, juste des niveaux un peu lents et rébarbatifs pour le premier. Après je crois que j'avais joué aux roms américaines de ces jeux. Du coup, j'ignore si ta rom est bizarre ou si c'est dû à la version japonaise.


(tiens sinon rien à voir mais maintenant que j'y suis, mais j'ai beaucoup aimé ton épisode sur Blaster Master, une série assez méconnue bizarrement. Le premier sur Nes fait office de madeleine de Proust pour ma part, et en y rejouant j'ai vu que ce n'était pas que la nostalgie mais que ça reste toujours un putain de bon jeu).
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Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.

Ah et bien je suis très content de voir quelqu'un qui parle de la vidéo de Blaster Master car elle est malheureusement et injustement passé sous le radar alors qu'elle était pourtant réussie, et surtout c'est l'un de mes jeux préférés de la NES donc je me devais absolument de faire un épisode sur ce jeu. Mais je me rends compte qu'il reste largement méconnu d'une bonne partie du public, ce qui explique certainement le score modeste de cet épisode par rapport à d'autres vidéos de la chaîne (après ça dépend, "Prince of Persia" est très connu par exemple, la vidéo était réussie et là aussi, on a fait un score modeste, comme quoi...).
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"le pouvoir du paddle est toujours entre vos mains"

Je viens de finir Shodai Nekketsu Kouha Kunio-Kun, le premier jeu de la série des "Kunio-Kun" de Technos sur la SNES en 1992. Et autant j'ai adoré l'épisode suivant de 1994 (Shin Nekketsu Kouha : Kunio-Tachi no Banka), autant celui-ci m'a profondément fait chier !

Le gameplay mélange le beat’em all et le RPG. On y incarne Kunio et Riki qui se reposent à l’hôtel d’Osaka lorsqu’ils apprennent qu’un gang rival cherche à mettre la main sur toute la ville. Dès lors, Kunio doit se lancer à la poursuite des gangsters dans toute la ville et tenter d’en savoir plus. Il va très vite rencontrer la mystérieuse Miho qui tente de rassembler les autres bandes rivales pour contrer celle de l’Union, en créant ainsi un nouveau groupe nommé « l’Alliance ».

Le jeu débute systématiquement dans la chambre de Kunio au 2ème étage de l’hôtel. On peut ensuite accéder au sous-sol pour prendre le métro. Dans notre avancée, il faudra parler à des gens à des endroits précis de la ville et défaire des ennemis pour avancer. On obtiendra alors des cartes pour accéder à des zones du métro et d’autres secteurs de la ville. Il y a tout un tas de power-up à récupérer et l’on obtient des points d’expérience pour les attaques, la défense, l’énergie, la vitesse, etc. A chaque combat gagné, on obtient des points qui peuvent nous permettre d’augmenter notre Ki. Le ki se résume à des points que l’on peut ensuite utiliser pour augmenter certaines de nos ressources (vitesse, énergie, attaque, défense, etc.).

Si l’on perd un combat, on retourne systématiquement à la chambre de Kunio à l’hôtel, mais il faut alors se retaper tout le trajet. Heureusement, il y a des cartes de taxi qui peuvent nous amener plus rapidement à certains endroits, et vers la fin on obtiendra la clé de la moto qui nous permettra d’aller directement au secteur de la ville que l’on souhaite pour gagner du temps. Originalité du titre : les combats se déclenchent de manière aléatoire dans les rues ou les immeubles : on peut très bien être attaqué par des civils (en général ils sont 4 ou 5) comme des ennemis des gangs rivaux. Le jeu se déroule aussi en « temps réel », dans le sens où le jour se lève et la nuit tombe et ainsi de suite, on voit clairement les jours passer durant toute la partie.

Le jeu est cependant hyper difficile : les combats sont interminables, le trajet à effectuer pour rencontrer certains personnages n’est pas clair (on a parfois aucune indication de l’endroit où l’on doit se rendre et l’on peut tourner en rond pendant des heures pour tenter de trouver la bonne voie, comme les putains de labyrinthes dans les égouts par exemple) et au bout de 4 ou 5 heures, lorsque votre 2600ème combat se sera déclenché aléatoirement, j’vous jure que vous serez blasés de vous battre pour un oui ou pour un non (c’est la ville avec les gens les plus vénères du monde !!!).

D’ailleurs, vous êtes vous-même une racaille puisque vous pouvez aussi taper les gens qui ne vous ont rien fait, ça vous fait gagner quelques points d’expérience gratuitement - sauf qu'au bout d'un moment ça devient franchement ridicule - A noter que dans certains combats contre les civils, il arrivera parfois que l’un d’entre eux soit brusquement de votre côté. En bref, le jeu était sûrement bien fun à la base mais il est surtout énormément long, beaucoup trop compliqué et répétitif, les combats sont interminables et si vous ne savez pas où aller, vous vous ferez rapidement chier au bout d’une ou deux heures de jeu...

En revanche je conseille vivement la suite "Shin Nekketsu Kouha : Kunio-Tachi no Banka" qui est top, et beaucoup plus variée (par exemple les niveaux en moto façon "Road Rash"). Ah oui et on a de la chance d'avoir des traductions en anglais pour ces deux jeux, sinon...à moins de savoir lire le japonais...
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"le pouvoir du paddle est toujours entre vos mains"

Merci pour cet avis.

La série m'a toujours intéressé, je saurais par le quel commencer maintenant.

Pour ma part, j'ai commencé avec Street Gangs (alias River City Ransom alias Downtown Nekketsu Monogatari) et j'en garde un excellent souvenir. A noter que pour ce jeu, en émulation les savestates peuvent avoir un intérêt inattendu : le jeu original n'a pas de sauvegarde, juste un système de mots de passes hyper longs :



Je me souviens qu'à l'époque je m'assurais toujours à l'avance de pouvoir faire une session de jeu assez longue avant de jouer à Street Gangs, histoire de me prendre la tête au minimum avec les recopiages de mots de passes sur papier

Je rejoins Lordpaddle au sujet du pas terrible Shodai Nekketsu Kouha Kunio-Kun. L'épisode suivant, Shin Nekketsu Kouha : Kunio-Tachi no Banka, m'avait moi aussi laissé une bien meilleure impression !

Ha, et sinon, c'est un épisode un peu hors-série, mais Nekketsu Kōkō Dodgeball-bu: Soccer-hen (ou Nintendo World Cup chez nous) est bien fun aussi ! J'ai aussi un lointain mais bon souvenir sur Game boy de Nekketsu Kōha Kunio-kun: Bangai Rantō-hen (ou Double Dragon II chez nous... Quel bordel cette série en fait )

J'ai l'impression que c'est encore pire que les wonderboy ...

Pour ca que c'est bien d'y jouer sur 3ds, y'a des savestates
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Ah tiens, contrairement à vous, j'avais adoré Shodai Nekketsu Kouha Kunio-Kun que j'avais découvert via le groblog de Sebinjapan. Un River City Ransom encore plus RPG ne pouvait que me plaire de toute façon.
Je comprends les reproches de Lordpaddle, mais j'aime me perdre dans ce genre de jeux, tenter plein de choses pour savoir où aller, pouvoir explorer ce petit monde.
Et c'est vrai que j'avais vraiment aimé l'idée que les civils pouvaient venir aider nos ennemis à nous défoncer la tronche ou, au contraire, nous prêter main forte.

Par contre, et là aussi contrairement à vous, j'ai été déçu par Shin Nekketsu Kouha : Kunio-Tachi no Banka (pfiouuu ces noms à rallonge, merci le copier-coller) que j'avais découvert par la suite qui est tout sauf un mauvais jeu mais qui me paraissait trop classique après cela. Et je crois que je ne suis pas allé très loin non plus (je me souviens d'un boss dans un immeuble qui me défonçait à chaque fois).

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Donner, c'est donner. Et repeindre ses volets.