J'avoue que mon coté fan de la saga à prit un peu le dessus ^^






Dans un documentaire diffusé sur France Télévision ils expliquait que personne en réalité ne se souvenais de qui avait apportait tel ou tel idée lors de l'écriture du script, ils étaient 3-4 dans la pièce, un peu pompette à lancer des idée à droite et à gauche.
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Goldfinger — 1964 — Guy Hamilton


De retour de mission en Amérique latine, l’agent 007 se voit ordonner par son supérieur d’espionner les activités du richissime Auric Goldfinger. Alors qu’il contraint l’une de ses employées à trahir son patron, Bond ne tarde pas à se rendre compte que son adversaire cache un jeu autrement plus cruel et ambitieux que les apparences ne le laissaient supposer…

Tandis que le feuilleton judiciaire entre Kevin MacClory et Ian Fleming bat son cours, les producteurs Saltzman et Broccoli, bien déterminés à faire prospérer leur licence fétiche, se lancent dans un nouvel opus où il ne sera plus question de l’organisation SPECTRE. Richard Maibaum, de retour au scénario, ne tarde pas à pointer les failles béantes du roman de Fleming adapté, notamment l’intention initiale de Goldfinger de dérober tout l’or de Fort Knox, entreprise matériellement irréalisable en un temps raisonnable. C’est là que va germer l’idée géniale d’irradier l’or américain pour entraîner un jeu spéculatif au profit de Goldfinger.

Le long-métrage est servi par un Gert Fröbe en salaud idéal, Harold Sakata en tueur implacable travaillant du chapeau (gag), Shirley Eaton en James Bond Girl iconique toute peinte d’or & une Honor Blackman auréolée de sa prestation en femme de tête dans la première mouture de Chapeau Melon… un casting en or pour l’un des plus impressionnants opus de la série.

Goldfinger se caractérise également par une continuelle mise en abîme, pour ne pas dire satire, de Bond — échouant dans à peu près tout ce qu’il entreprend ! — fruit du remplacement d’un Terence Young devenu trop gourmand en matière d’émolument par le nouveau venu Guy Hamilton, plus porté sur la faillibilité du rôle titre et n’hésitant pas à jouer sur les défauts de Bond, notamment sa trop grande confiance en lui et son machisme forcené.

Enfin, l’action est rythmée par la partition de John Barry, à son sommet dans ce film, depuis la chanson-titre de Shirley Bassey jusqu’au spectaculaire assaut sur Fort Knox. Mon James Bond préféré de l’époque Sean Connery, fallait-il le préciser ?

Opération Tonnerre (Thunderball) - 1965 - Terence Young



Après avoir subtilisé un avion de l’OTAN et ses deux bombes atomiques, le SPECTRE exerce un odieux chantage aux ogives nucléaires. Le Numéro 2 de l’organisation criminelle, Emilio Largo, semble sur le point de réussir là où ses prédécesseurs ont échoué…

Entre une introduction au Jet pack, une piscine où barbotent des requins en attente d’un plat consistant (genre agent du SPECTRE défaillant) et une splendide bataille sous-marine finale, c’est un James Bond de haute tenue que voilà. Seulement, je dois avouer que j’en suis modérément fan, trouvant au film quelques longueurs qui m’empêchent à chaque fois de le classer parmi mes favoris… Un coup de cœur toutefois : le personnage de femme fatale de Fiona Volpe, adversaire de Bond particulièrement redoutable.



On ne vit que deux fois (You only live twice) - 1967 - Lewis Gilbert



La disparition suspecte de capsules spatiales américaines et soviétiques — littéralement avalées par un vaisseau inconnu — relance la guerre froide, au point qu’un parfum de troisième guerre mondiale flotte sur la planète. Envoyé au Japon pour enquêter sur les échos radar laissés par le mystérieux vaisseau, Bond va se retrouver face au SPECTRE et au Numéro 1, Ernst Stavro Blofeld, oeuvrant pour la première fois à visage découvert…

Le pitch est assez éloquent, non ? C’est sans doute avec ce James Bond à la gestation compliquée que la série « saute par-dessus le requin » comme on dit. La responsabilité en incombe essentiellement à Roald Dahl (oui, monsieur « Charlie et la Chocolaterie » lui-même !). Merveilleux écrivain, Roald Dahl n’est cependant pas à son aise avec le matériau d’origine et, de surcroît, trouve l’ultime roman de Fleming écrit de son vivant d’une médiocrité sans nom (et dire que les deux étaient amis…). En l’absence de Richard Maibaum (appelé sur d’autres tournages) pour l’épauler, Roald décide de revenir aux bases de la série avec une intrigue se voulant calquée sur le Dr No. Quitte à aller parfois trop loin…

Plombé par son scénario hénaurme, On ne vit que deux fois donne également dans le syndrome « carte postale ». Après avoir accueilli les JO d’été en 1964, le Japon moderne — alors à son summum économique — fascine le grand public par son exotisme et devient terre d’élection pour les tournages. La production fait ainsi dans la surenchère avec combats de sumos, petites geishas et cérémonie de mariage traditionnel… sans oublier la « japonisation » express de Sean Connery, ressemblant autant à un pêcheur local que Michel Leeb dans ses imitations d’asiatique

Vu ce qui précède, je devrais logiquement vous dire que je déteste ce James Bond. Sauf que… John Barry. Si son nom est constamment associé à la série, ce n’est pas pour rien. Et ici, sa partition fait plus que sauver les meubles : elle donne au long-métrage un souffle, une identité qui lui faisaient autrement défaut. Cette bande son particulièrement soignée contribuera au succès du film et fera bien des émules : lorsqu’il se mettra en ménage avec Jane Birkin, Serge Gainsbourg n’aura de cesse de vouloir bluffer l’ex-épouse de Barry et cette recherche aboutira à l’album concept Melody Nelson…

On ne vit que deux fois, c'est pas celui qui a inventé le cliché super éculé du "Méchant qui a sa base secrète dans une ile volcan" ?
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La maturité, c'est être capable de jouer à un jeu mettant en scène des lapins roses sans avoir l'impression de mettre en jeu son identité personnelle. (Petitevieille)

Surement popularisés, oui je suppose aussi, mais d'autres grand mé... mégalomanes issus de la littérature l'ont très certainement précédés sur cette idée. ^^'
( Au moins, de mémoire le Capitaine Némo avait aussi ce genre de planque bien pratique pour agir dans l'ombre.
Il y en a certainement eu d'autres. )

Je crois que tu as bien résumé le problème, le film veut trop en faire au point qu'on en oublie quel sont les enjeux (sérieusement c'est un des Bond ou je doit vraiment prendre mon temps pour me rappeller quel est le but global). Et je pense que mêmes les producteurs ont fini par s'en rendre compte vu que le prochain au service secret de sa majesté aura un scénario un peu plus "terre à terre" et moins fantasque dans ses situation.

Ce que je retient principalement de On ne vit que 2 fois, c'est enfin le visage de Blofeld révéler avec Pleasance dans le role, qui je trouve est un bon choix. Mais malheureusement ont le voit trop peu pour que je le considère comme la meilleure incarnation du pire ennemi de Bond (mais ça reste un des meilleur).
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J'aime beaucoup On ne vit que deux fois car comme l'a dit François, le score de John Barry sur ce Bond est complètement ouf (en même temps, John Barry période Connery, il délivrait tellement), j'ai envie de dire un de ses meilleurs, mais c'est difficile de classer les scores de Barry sur la franchise. Et puis les décors complètement maboule de Ken Adam. Même si c'est devenu un cliché super éculé, sa base souterraine au coeur d'un volcan, c'est vraiment géniale. L'un des plus beaux décors de méchants dans un James Bond, avec celui du Liparus dans le pseudo-remake L'Espion qui m'aimait.

Et le roman est également intéressant, parce que l'action a lieu après Au Service Secret de Sa Majesté, et donc l'intrigue n'a rien à voir avec le film, mais développe un peu plus la personnalité de Bond qui fait le deuil de sa femme.
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Évasion 2 : Le Labyrinthe d'Hadès
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89vasion_2_:_Le_Labyrinthe_d%27Had%C3%A8s

Suite directe du 1er qui etait une super surprise. Et celui là est victime du syndrome de la suite
J'ai l'impression que le 1 a pas trop marché du coup niveau budget et casting c'est pas ça.

Y'a stallone et batista sur l'affiche, mais c'est quasi que là que vous les verrez. Les vrais heros sont des petits jeunes, dont un asiatique qui se la joue à fond je suis une bete un kung fu. Et heureusement il s'en sort bien.
MAIS , car oui il y a un mais,le film souffre d'enormément de défaust. Dejà le scenar est boiteux et on voit le twist arriver dès le début.
Les fx sont assez nazes, utilisation de synthese à outrance, même pour des explosions. Enfin la seule qu'il y a dans le film. Beaucoup de scene dans des decors.
Et pire le retour de la shake caméra dans les combats. C'est toujours autant une idée de merde et on y comprend rien.

Donc l'asiatique, c'est le heros du film et du coup le film est construit comme un vieux film de kung fu (genre années 70). Et donc c'est parti pour introspection du héros, du maitre (stallone) qui te balance des lieux communs pour t'aider etc...

En fait le film commencait bien au début, mais vers le milieu ils ont du arriver au bout du budget du coup ils ont rushé le film, qui n'a plus aucun sens. Ca part en total sucette, avec une evasion qui reussi direct sans aucune raison, et paf on balance tous les mecs qu'on a payé un bras pour finir le film.
Parce que oui Tista et Sly doivent apparaitre 10-15mn sur 1h30 de film, donc les 3/4 à la fin.

C'est pas forcément un mauvais film, mais bon il est pas terrible quand meme
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Hier j'ai enfin regardé ff8
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fast_and_Furious_8

Je vais vous la faire courte, le film est totalement WTF. Ils avaient commencé à partir en sucette tout doucement depuis un moment, mais là on a vraiment basculé dans le n'importe quoi.
Ce film est une espece d'expandable propre à fast & furious. Ca devient même un enfer à suivre.
Des persos qui reviennent d'un autre épisode alors qu'ils avaient un role mineur, des mecs morts qui ne le sont plus etc.... c'est assez compliqué à suivre. Mais bon je vous rassure c'est juste ça. Le scenar est toujours aussi pauvre et on voit arriver à peu près tous grands moments dès le debut du film.

Par contre on est vraiment plus dans un f&f. Les courses de bagnoles deviennent anecdotiques, et surtout les cascades sont à base de cgi. En meme temps vu le nombre de bagnoles pliées ca se comprend, mais on y perd vachement je trouve....

Donc wai en resumé, scenar pauvre, scenes d'action qui ne veulent plus rien dire ... on flirte à fond avec le nanar .... Je me demande si c'est pas le moins bon des f&f....

Ah oui et le Rock a encore une taille variable. Face à Vin, ils font la même taille (Rock fait quasi 2m, et Vin 20cm de moins). Et quand il se fritte avec des gens, on dirait qu'ils ont pris des enfants vu comme il fait massif.

Et pour une raison qui m'echappe, Charlize Theron à les yeux bleus dans le film oO.

Enfin bon un peu plus de 2h c'est trop
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De Fast & Furious 8, j'ai surtout retenu la première course de bagnole, après oui au final c'est encore plus WTF, mais bon ça se regarde en bon divertissement.

vite fait alors parce que apres la 1ere course (et encore) le reste c'est assez navrant quand meme.

Rien que la fin, la scene du sous marin qui est spoilée à fond dans la bande annonce, je dis non
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Ouep pas faux Rain

N'empêche tu vois je suis client d'aller voir Hobbs & shaw cet été

Atomic blonde
https://fr.wikipedia.org/wiki/Atomic_Blonde

Bon a une epoque, plus jeune, j'aurai ptet été emoustillé par Charlize à poil et les scenes de sexe entre nanas, mais là j'ai pris de la bouteille, et même si j'aime bien les films d'action, avec de l'espionnage et tout, j'ai pas terriblement accroché à ce film.
Y'a pas grand chose à lui reprocher, mais je sais pas, même en cochant toute les cases d'un bon film d'action, ca ne prend pas.
Faut dire que y'a pas de grosse scene d'action, ni de moment qui te scotche. D'ailleurs j'ai l'impression que tous les combats se deroulent de la même facon, avec toujours les memes desarmements...
C'est dommage parce charlize est credible en espionne spécialiste en close combat, mais comme je l'ai dis bof bof....
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Mais Rain, tu es fou ! La série des F&F est enfin bonne depuis qu'elle a arrêté de se prendre au sérieux malgré le fait que le premier volet soit un remake de Point Break avec des grosses bagnoles et des nanas en bikini.

Maintenant, F&F c'est Mission Impossible X Grosses bagnoles, avec des personnages qui sont devenus des super-héros. Voir Dwayne Johnson casser son plâtre en contractant son biceps, prendre des flashball dans le torse sans broncher, dévier une torpille à mains nues, ou des cascades de voitures qui sautent de gratte-ciels et gratte-ciels, c'est quand même plus drôle que des types qui froncent les sourcils en passant des vitesses.

J'ai préféré le 7 au 8, mais j'irai avec plaisir voir Hobbs & Shaw.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Tout est dit dès le deuxième mot Madame.

Pluie.

F&F c'est du film serieux. Si vous voulez voire du gros nanar rigolo, regardez torque
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Merci Pluie.

Week-end un peu malade chez les parents, on a profité de Canal à la demande pour mater quelques films.

100 000 dollars au soleil, de Henri Verneuil avec Lino Ventura, Bébel, et Bernard Blier.



En Afrique du Nord (Algérie peut-être ?) un chauffeur routier (Bébel) pique un camion flambant neuf et son contenu, et son pote (Lino Ventura) est payé par leur patron pour le rattraper avant qu'il ne passe la frontière et refourgue la camelote.

Un très bon film, plus de "péripéties" que "d'aventure", qui vaut notamment pour les dialogues d'Audiard, la beauté des décors et de la photo, et pour l'interprétation des acteurs qui s'amusent beaucoup. Le film est un peu long mais jamais chiant, et arrive à bien équilibrer humour et moments un peu plus sérieux (mais jamais trop non plus). J'ai passé un vrai bon moment.

Revenge de Coralie Fargeat, avec Matilda Lutz, Kevin Janssens, Vincent Colombe.



Invitée par son mec Richard (un entrepreneur beau gosse marié) dans une villa dans le désert, Jen est surprise de voir débarquer ses associés, qui arrivent un peu en avance pour une partie de chasse. Alors que Richard est absent, Jen est violée par l'un deux, tandis que l'autre ignore ses cris. Pour éviter le scandale, Richard, à son retour, la pousse dans le précipice, et la laisse pour morte.

Evidemment, puisqu'on est dans un Rape & Revenge, elle n'est pas morte, et elle va leur faire bouffer leurs couilles.

Revenge est un bon petit R&R, qui suit la plupart des codes du genre, tout en étant un tantinet plus réaliste. On n'est pas dans le sadisme (pourtant réjouissant) d'un "I Spit on your Grave", et même si certaines situations sont abracadabrantesques, on ne tombe jamais dans la pure exploitation. La réalisatrice parvient à vraiment iconiser son actrice, alors qu'on n'y croyait pas franchement au début, et surtout, le fait que ce soit une femme aux commandes change totalement la façon dont le viol initial est traité.

On n'est pas du tout dans le cliché de la femme qui se fait agresser par des rednecks à qui elle a un peu mal parlé la veille : non seulement les violeurs font partie de son entourage (ce qui doit représenter 90% des cas de viols, voire plus), et surtout la scène reprend le schéma de situations classiques pour n'importe quelle nana : elle sent que le mec est intéressé et elle, pas du tout, donc elle envoie tout un tas de signaux pour le montrer. Quand ça ne suffit pas au gars, qui la suit et commence à lui poser des questions ("Pourquoi je te plais pas ? Pourquoi je suis pas ton genre ? "), on la voit nettement angoisser peu à peu, et réfléchir à la meilleure réponse à donner à la fois pour bien signifier son manque d'intérêt de façon claire, tout en tâchant de ne pas le froisser pour ne pas envenimer la situation.

Bref, ce que vit toute nana qui se fait aborder par un gars un peu relou dans la rue.

Le film en soi est assez cool, avec des passages bien tendus et un peu gore (-16 quand même), sans atteindre les sommets du genre. Une bonne surprise que je vous recommande, si voir des hectolitres de sang ne vous fait pas peur.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Autant y'en a qui sont un peu abusés parce qu'aucun rapport, autant d'autre c'est du c/c
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http://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Lhistoire-secrete-de-Die-Hard-Une-journee-en-enfer



Dans la suite de l’articles ils expliquent aussi le pourquoi de pleins de faux raccord….
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