Bon, je poste quand même un résumé post-mortem, les derniers échos du signal "en mode zombie" s'étant éteint récemment. ( Ouaip, ils ont préférés laisser une boucle de clips aux diffuseurs, plutôt qu'un écran noir, le temps de ré-attribuer les canaux.
Sfr à été le dernier à couper, juste comme ça... )
:/ Et je laisse aussi là une interview, certes il faut prendre ça avec du recul - je suis pas aficionado de gamekult, ni de son actualité ( mauvaise presse ?
), et ne pas se focaliser sur les "auto-congratulations" ( J'ai même eue l'impression les invités avaient l'air un peu gênés sur ces remarques, parfois. ^^' ). En tout cas, ça reviens ici sur une rétrospective de la chaine et de ses origines, tout en relativisant dans le temps.
( Aparté sur "l'air du temps" : C'est marrant, la tendance à la vision rétro-actives en général... alors que tout n'était pas forcément déjà acquis à telle ou telle époque.
)
( La partie concernée se trouve vers 55:55 )
Et en bonus "documentations", chacun le prends comme il veux,
le dernier live issue de twitch, avant fermeture du canal, qui reviens sur les logiciels "maisons" utilisés. Juste à titre informatif, la vidéo n'à pas été remontée, il y a évidemment des couacs. ^^'
Bon, je suis pas là pour répliquer sur des débats sur ci ou ça autour de la chaine, par contre, pour moi une page s'est tournée ( et s'était déjà un peu tournée depuis 2-3 ans, en fait, mais c'est une autre histoire. ).
J'espère juste à avoir à ne pas avoir trop à reposter là-dessus, seulement si jamais certaines émissions viennent à devenir accessibles.
( ...Ce qui n'est pas encore dit, on ne sait pas encore qui reprendra les droits dessus, et ça risque de prendre du temps avant de le savoir. )
- Reste les émissions associés à Libé' (56 Kast...), les Catsuka, ( et, à compléter, peut-être d'autres réalisés en partenariat) qui sont toujours disponibles au visionnage, pour info.
Pour le reste, il faudra surement compter les apparitions ponctuelles de vidéo-sauvages sur la toile, mais ça, c'est une autre histoire...
Voilà, chacun le prendra comme il voudra, mais j'ai aucune raison de m'énerver.