@IsKor :
Argh, c'est d'autant plus triste quand on sait que chez Remedy, les mecs sont loin d'être nazes.
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

Tiens, rien à voir (ou presque), je vois dans ton profil que tu joues à Stardew Valley. Il est bien? Je suis incroyablement attiré par ce jeu, mais j'ai peur qu'il soit trop chronophage, en ce moment j'ai pas des masses de temps pour moi

Aussi dans ma wishlist, perso : ça à l'air de s'annoncer comme un Harvest Moon à l'ancienne boosté aux amphét' niveau contenu.
( Et ça va venir ajouter un peu de diversité à ma session des jeux de "Craftorama" - L'an passé j'étais plutôt sur les Roguelikes, à cette période de l'année, je dois dire . ^^" )

il y a une critique de projared qui vient de sortir justement


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Alors Stardew Valley, c'est géant. J'ai fait une pause pour m'éviter de trop sombrer dedans car j'ai énormément de boulot (j'ai même du mal à jouer à The Division quand je ne suis pas sur Stardew Valley). C'est peut être même une meilleure introduction au genre "Harvest Moon" que les Harvest Moon eux mêmes, de part le fait que le jeu est bien moins contraignant malgré une jauge de stamina qui fond comme neige au soleil (ma première journée ? j'ai perdu connaissance).

Les personnages sont très attachants et la communauté des moddeurs est complètement folle sur ce jeu.

A l'instar d'Axiom Verge, Stardew Valley a été réalisé par une seule personne, de A à Z. La vidéo de ProJared est très bonne d'ailleurs à ce sujet, je te conseille vivement de la regarder (si tu n'as aucun souci avec l'anglais).
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Souvenez vous de Mercury Steam ; petit studio Espagnol qui avait la lourde tâche de ramener la série Castlevania à la vie et en 3D. Leur travail avait en plus bénéficié du soutient de Kojima Productions, feu le studio d'Hidéo Kojima.

On savait que Mercury travaillait sur un nouveau projet à venir et plutôt ambitieux, et connaissant leur patte graphique, ça allait envoyer du lourd ! Alors je vous présente, un énième FPS multijoueur (avec un peu de solo quand même) !

Bon, ça s'appelle Raiders of The Broken Planet, c'est un jeu multijoueur online et ça ressemble à rien :


On a raté nos jets de charisme on a intenté un procès à notre character designer.


Bonjour, ne faites pas attention au cosplay de Strogg de Quake II derrière moi pendant que je vous refait le dentier.


Bonjour, je suis un cosplay de mutant générique de Quake IV, je ne fais que passer.

Ca fait mal aux gencives quand on passe de ça :


You're a good game, Castlevania. You're as players intended. We loved you then, as we love you now.

A ça :

Vroum.

Reste plus qu'à attendre l'inévitable trailer où on va nous présenter chaque personnage comme étant plus badass l'un que l'autre et plus génial que l'autre.
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

OK, merci pour ton retour. J'ai pour l'instant en tête de terminer l'extension de Witcher 3, puis Wolfenstein Old Blood.. Mais j'ai toujours retardé mon achat de Stardew justement parce que je sais que ce genre de jeux est très chronophage

L'énorme avantage (avis perso) de Stardew Valley : le jeu n'est pas en temps réel et ne continue pas quand tu n'y joues pas, contrairement à Animal Crossing & cie.
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C'est assez incroyable, le succès de Stardew Valley. Le bouche-à-oreille fonctionne drôlement bien dans la scène indé, parfois.

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J'ai fini Danganronpa: Trigger Happy Havoc (PC).



Pour faire simple, c'est un mélange entre Phoenix Wright pour les phases d'enquêtes et de tribunal, le film Battle Royale, pour les lycéens en promiscuité poussés à s'entre-tuer, avec une pointe de Persona, pour les relations sociales.
Franchement, j'ai eu du mal à décrocher. Le jeu compense sa modestie de moyens par des personnages et des meurtres globalement bien écrits. Il y a bien quelques petits détails qui m'ont légèrement dérangé, dans l'écriture comme les mécaniques de jeu, mais rien de méchant. Attention c'est assez long et bavard, mais comme c'est captivant, ce n'est pas un problème. Je le conseille donc vivement aux amateurs de bons VN (999, Phoenix Wright, etc.).

Je suis très content du débarquement de nombreux jeux japonais de niche sur Steam, et je ferai le 2 sans faute. Pupupupu.

Bon, je viens de m'y mettre aussi à ce Stardew Valley, et effectivement, mieux vaux y jouer par petites sessions d'une journée ou deux. (Oui, sinon ça me paraitrait limite aussi indigeste que de se taper l'intégral des Shadoks en mode marathon. )

Et, ok, trait pour trait c'est bien un clone amélioré d'un Harvest Moon oldschool, mais pourtant ce n'est pas pour me déplaire paradoxalement.
( Avec la possibilité de personnaliser son avatar, ce n'est pas non plus négligeable. )

- Bon, en tout cas, je suis pas sortie des jeux-craftorama pour cette première moitié de l'année. ^^" -

Y a t'il une traduction (officielou non). Je comprend bien kl'anglais mais par soucis de confort, j'ai pas envie de me prendre la tête dès qu'un mot ou une expression me sera inconnu.
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Il n'y a pas de VF officielle. Côté amateur, il y a bien un projet de traduction en cours, mais vu la quantité de textes, à mon avis il faut pas être pressé (si ça aboutit un jour).

J'en profite pour signaler que le jeu est partiellement doublé, et qu'on a le choix entre les voix japonaises et anglaises ! C'est une très bonne initiative, tant la voix japonaise de Monokuma est chouette.

No Man's Sky est apparemment repoussé aux calendes grecques, sans plus de détails. A un mois pile poil de sa sortie prévue.


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Suite au conseil de... Erhynn, je crois ? Il y a quelques mois, je m'étais acheté Marlow Briggs pour une bouchée de pain. C'est un mélange de God of War (pour le gameplay baston) et Uncharted (pour le côté jungle mystérieuse, la grimpette et les puzzles).

Et bien c'est vraiment pas mal, tellement pas mal que je l'ai lancé et terminé dans la foulée Le jeu ne révolutionne rien, mais tient la route même si la technique est un poil datée. Il est assez facile (je ne me suis presque jamais servie de la garde), mais il faut quand même faire un poil attention, et si on a peu d'armes différentes, elles sont variées dans leur maniement. En plus de ça le jeu est assez drôle grâce au "sidekick" du héros, même si Marlow est bien plus un petit rigolo en jeu que ce à quoi on pouvait s'attendre durant l'intro.

Donc voila, un tout petit jeu, mais bien sympa. Si vous le voyez en soldes à 5€, n'hésitez pas.
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Ils sont tous méchants (sauf Sega, qui est juste con).

Voilà, j'ai bouclé Danganronpa tout à l'heure.

Danganronpa Trigger Happy Havoc de son petit nom complet est un jeu...qui a du mal avec lui-même, dirons-nous.

Il part du fameux pitch du death-game cher à nos chers amis japonais depuis Battle Royale et consorts : 15 étudiants sont enfermés dans une école. Un ours mécanique, Monokuma, leur donne le choix, soit ils apprennent à vivre ensemble jusqu'à la fin de leurs jours, soit ils arrivent à tuer quelqu'un sans jamais se faire coincer ! Si ils arrivent à commettre un meurtre, et que leurs collègues n'arrivent pas à trouver qui est le coupable, le meurtrier sort et tous les autres meurent ; à l'inverse, il meurt et les autres vivent.

Le fait que le jeu emprunte à d'autres certaines mécaniques de gameplay n'est pas un problème du tout. On a du point'n'click à base d'enquête criminelle, du Ace Attorney pour les procès, du jeu de tir, de rythme et un peu de Persona 4 pour le style général. Non, un des gros problèmes est qu'il oscille sans cesse entre deux tons, sérieux et décalé. L'ennui, c'est que ces deux tons ne fonctionnent pas ensemble, et en arrivent à s'annuler entre eux. Le jeu tente de présenter les meurtres et les motivations de manière convaincante, mais avec de telles personnalités frappadingues (le pitch voulant que seuls les élèves les plus "Ultimes" soient acceptés, c'est une belle brochettes de cinglés), le sang peint en violet et les morts absolument pas crédibles, on n'arrive pas à y croire ; et à l'inverse, le versant décalé avec un humour trash et référentiel ne passe qu'à moitié à cause de la mise en scène trop sérieuse.
L'autre problème est le conflit permanent entre l'histoire globale et ses personnages. Comme ils sont tous Ultimes (sauf le joueur, admis à la loterie !), c'est trop difficile de se trouver des points d'ancrage avec eux ! Ils peuvent faire peur, surprendre, rire, mais on ne s'attache pas à eux ; mais comme l'histoire globale est plutôt en retrait pendant la majorité du jeu (sauf à la fin via un mur d'exposition maladroit), on est bien forcés de les côtoyer et d'en apprendre plus sur eux, alors que rien ne fait en sorte qu'on se prenne d'affection pour eux.
Ces deux défauts mis ensemble donnent au jeu une impression très instable, comme si il tentait d'être deux choses à la fois, sans jamais y arriver complètement. Ça donne une histoire qui finit en queue de poisson, et trop peu de protagonistes qu'on n'a pas envie de voir mourir ou dont on plaint les exécutions...

Mais tout ça n'est finalement pas si grave, car Danganronpa en a sous le capot. J'ai eu beaucoup, beaucoup de mal à m'arrêter de jouer, et ce pour plusieurs raisons.
La première, la plus évidente, est son rythme démentiel ! Contrairement à Ace Attorney dont il emprunte la mécanique des procès, ou 999 et Zero Escape : VLR pour le pitch général, il n'y a pas de temps mort, pas de moments de flottement. Comme l'histoire et les crimes sont moins complexes, on perd moins de temps en exposition et ça fluidifie le texte. Mais là où il frappe très fort, c'est dans ses procès justement, point d'orgue où il implique jeu de tir et de rythme. Pour simplifier grandement, non seulement il faut savoir quoi répondre pour percer le mystère, mais aussi viser la bonne phrase en évitant les sarcasmes qui bloquent le chemin, ou même en "absorbant" une remarque adverse pour la tirer plus loin sur un autre argument ! Et quand un adversaire perd son sang-froid, il faut le ramener à la raison dans un combat de rhétorique pure animé comme un jeu de rythme, où on locke et détruit les insultes par nos propres contres.
Toutes les nouvelles mécaniques de gameplay s'apprennent sur le tas, ainsi quand on vous explique comment on "charge" ses arguments dans le "barillet", c'est que vous allez devoir le faire dans les secondes qui suivent. Tout ça donne au jeu un rythme, un pouls unique qui tient en haleine. Il faut dire qu'il est aidé par une esthétique très particulière avec des traits brusques et marqués, et une bande-son du tonnerre, multi-genre et qui pulse en permanence !

De plus, et ça colle avec la première raison, Danganronpa a l'ambition réelle et sincère d'être plus que ce qu'il copie, que ce qu'il emprunte. On reconnait bien les clichés types de ce genre de pitch (le death-game est très codifié, balisé, et ne propose pas beaucoup de possibilités), les personnages-fonction-clichés sont légion, Monokuma est une repompe nulle de Kuma/Teddie de Persona 4 et surtout du Général Teddie de Arena (qui lui-même me sortait par les trous de nez)...mais en combinant plusieurs éléments ensemble, il en sort une formule attachante et vivante. C'est impressionnant comme un tel jeu, sur lequel j'avais un mauvais à priori, a su retourner mon avis sans pour autant me contredire !

Il est bien plus que la somme de ses parties, et même si il en sort un jeu très bancal, Danganronpa a toute mon affection. En fait, il est le terreau parfait pour une suite qui saurait gommer ses erreurs de jeunesse.
Au passage, finir le jeu débloque un "School Mode" qui fait exactement la même erreur que Persona 3 : The Answer : retirer un des éléments du jeu pour se focaliser sur les autres (ici, les relations inter-personnages en retirant les procès). Et dans les deux jeux l'édifice s'écroule dès lors qu'on retire un seul bout de bois...c'est déjà suffisamment difficile de créer un jeu conçu de morceaux disparates, il ne faut pas que les développeurs fassent en plus l'erreur de briser une telle harmonie.
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"Si Kage t'y arrives pas, essaie les pruneaux d'Agen !"

Shenron, pendant une soirée Virtua Fighter 5 Ultimate Showdown.

C'était bien moi ^^".

Je craignais aussi que le personnage soit un mélange de "50 Cents" et "Samuel L. Jackson" à sorti des "Shit, nigga !" ou "Fuck !" et autres dialogues très futés que chaque personnage black se retrouve affublé dans trois tonnes de jeux & beat'em all. Bon Samuel L. Jackson c'est un peu sa marque de fabrique jusque dans les livres audios "Go the Fuck to Sleep". Sauf quand c'est volontairement "over the top" à la HotD Overkill ^^.
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Super Putty Squad, Mega Man 11, Bubsy 4, Sonic Mania... où est mon nouveau Turrican ?

Je suis en train de terminer mon 4è Phoenix Wright d'affilée (merci l'émulateur DS sur Android, merci les transports en commun) avant d'enchaîner sur 999, et Danganronpa commençait justement à me faire de l’œil. Ton article est convainquant : aux prochaines soldes Steam, les deux opus de ce jeu tomberont dans mon escarcelle.

@Tama : c'est marrant, j'ai beaucoup aimé Danganronpa, mais pour des raisons opposées aux tiennes. Notamment, je me suis beaucoup attaché à certains personnages, en partie justement grâce à leurs personnalités improbables. Et du coup, l'alternance de ton entre insouciance lycéenne et gravité a bien fonctionné sur moi. Le jeu fait des efforts pour nous rendre tel ou tel personnage attachant, pour mieux tout casser ensuite.

A l'inverse, j'ai trouvé les mécaniques de procès globalement assez brouillonnes.

Quant au sang violet, c'était probablement une forme de censure à la base, mais c'est devenu une marque de fabrique de la série. On finit par s'habituer, et ça donne au jeu un petit côté surréaliste.

Et puisqu'on parle de Spike Chunsoft, Zero Time Dilemma (la suite de 999 et Virtue's Last Reward donc) a maintenant sa page Steam.

Par ailleurs, le fait que le jeu soit en anglais ne gène-t-il pas dans les phases de procès ? De ce que je comprends, il y a une partie "action" basée sur les dialogues. Le temps de traduction "dans sa tête" + les risques d'incompréhension lié à l'utilisation d'une langue vernaculaire est-il un handicap ?

@RobertGlucose : j'avais lu ton compte-rendu avant d'acheter le jeu, et au fur et à mesure que j'avançais je me suis rendu compte de l'ironie de la situation ! On n'a pas aimé les mêmes choses, mais le résultat final est le même, on a aimé le jeu Je me suis éclaté lors des phases où je bougeais (enquête, procès), mais apprendre à connaître les personnages m'a ennuyé plus qu'autre chose. Ils étaient tellement dans une autre dimension que je ne les ai jamais trouvés crédibles, eux comme l'histoire ou les exécutions de Monokuma. Je crois que l'effet "choc thermique" n'a jamais fonctionné sur moi, en fait...

@Al-Kashi : je suis très, très mauvais juge pour ce genre de trucs...Ça ne m'a jamais gêné, et comme les dialogues lors des procès repassent en boucle, tu peux faire un passage "à vide" où tu lis et traduis, puis un deuxième où tu tires sur la phrase contradictoire. Bon, il faut tout de même préciser que chaque phase du procès est en temps limité : 15 minutes généralement, 20 pour le résumé à assembler (une autre excellente idée, ça, le résumé !), parfois moins sur certaines discussions. Je réalise que la phrase "temps limité" agit comme la kryptonite sur un bon paquet de joueurs, c'est pour ça que j'ai hésité à en parler, mais on a vraiment le temps de lire et agir, aucun souci la-dessus.
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Shenron, pendant une soirée Virtua Fighter 5 Ultimate Showdown.