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Rappel des 10 derniers messages du topic (les plus récents en haut)
Niloc-Nomis
Pixel visible depuis la Lune
Excellente idée que de rappeler Otogi à nos mémoires!
J'avais adoré le jeu à l'époque, et même ouvert un topic à son propos:
http://www.grospixels.com/phpBB/viewtopic.php?topic=5011&forum=3&start=0

Tout y est: la poésie, la malédiction Sega, les décors entièrement destructibles (même le sol)... et "none shall pass" qui a visiblement marqué tous ceux qui se sont adonnés au jeu.

C'est un excellent souvenir mais je ne pense pas y retourner. En dehors de son ambiance à tomber c'est tout de même sacrément bourrin, et de bourrin à brouillon il n'y a qu'un dash...
Mais bon pour ce qu'il doit coûter aujourd'hui ça vaut le coup d'essayer.

Simply Smackkk
Pixel monstrueux
Jika a raison, la possibilité de détruire quasiment tous les éléments du décor est jouissive, c'est dommage que l'article n'en parle qu'indirectement en présentant une mission.

Dans beaucoup de jeux de ce genre, le décor ne sert qu'à décorer, illustrer le niveau, parfois même à gêner le joueur. Mais, dans Otogi, il fait partie de l'expérience : envoyer un ennemi à travers les murs d'une maison, ça fait son petit effet. Le niveau devient progressivement un champ de ruines, d'arbres coupés ou de rochers pulvérisés, on a vraiment l'impression d'être un surhomme... Contrebalancé par la faiblesse de Raikoh au temps qui passe. []

Jika
Pixel planétaire
Article vraiment sympa pour un jeu que j'avais pris et qui m'a découragé à cause de sa grosse difficulté.

Ceci dit, LE truc qui m'avait vraiment scotché à l'époque, c'était la possibilité de TOUT casser et de projeter les ennemis à travers les murs. Ca, c'était juste la grosse classe. Et encore une autre preuve qu'une nouvelle console avec plus de puissance permet de générer des gameplays et des feelings différents et nouveaux (Otogi sur PSone ou Saturn, c'était juste impossible).

Merci pour l'article Tama ! []

Tama
Pixel monstrueux
C'est vrai que j'ai pris que des screenshots comme ça, mais il est possible de faire tourner la caméra pour avoir Raikoh de profil ou de face, mais dans ce dernier cas, l'action est rarement lisible. Il vaut mieux décaler légèrement sur le côté la vue pour avoir une visibilité optimale lors des affrontements contre de nombreux ennemis. Comme je l'ai dit dans l'article, la caméra est un problème non fatal, mais tout de même récurrent avec lequel il faut composer...
Citation :

D'autant plus que certains affrontements contre des boss peuvent s'achever... Sans que le boss ait été défait. Mais mieux vaut le faire, puisqu'il y a souvent des armes ou des esprits à récupérer sur sa carcasse.


Oui tout à fait, pas mal de niveaux de boss peuvent être passés sans les vaincre, souvent parce qu'à cette étape du jeu, on n'est pas assez fort et que l'objectif de la mission ne stipule pas de le vaincre. Parce que vaincre Kidara, le ver électrique géant, ou Orochi dès le premier affrontement, ça relève de suicide []

RainMakeR
Chef de Rubrique Nécrologique
Bah à la 3e personne mais avec la caméra dans le dos tout le temps. Dans tes screenshots à chaque fois y'a le boss devant toi, et le perso systematiquement de dos. []

Tama
Pixel monstrueux
Citation :
Au niveau de la difficulté, pour ceux qui y ont joués, vous le classez comment par rapport à ninja gaiden ? Parce que pour moi NG reste la référence en matière de difficulté abusée. Et pourtant j'y suis venu à bout ^^

Au fait Otogi se joue entièrement avec une vue à la space harrier ?


Il est dur, mais pas au niveau de Ninja Gaiden, ou même de God Hand ! Otogi reste abordable, mais il ne faut pas s'attendre à une promenade de santé dans les bambouseraies en faisant la farandole avec les kitsune et en chantant des haïku avec les esprits, voilà tout

Une vue à la Space Harrier ? Tu veux dire la vue à la 3e personne ? Oui, il n'y a jamais de caméra fixes, à part lors d'un niveau de course-poursuite. []

RainMakeR
Chef de Rubrique Nécrologique
Sympa l'article aussi, j'espère qu'on aura un article pour le 2 alors s'il est plus mieux

Au niveau de la difficulté, pour ceux qui y ont joués, vous le classez comment par rapport à ninja gaiden ? Parce que pour moi NG reste la référence en matière de difficulté abusée. Et pourtant j'y suis venu à bout ^^

Au fait Otogi se joue entièrement avec une vue à la space harrier ? []

Simply Smackkk
Pixel monstrueux
Merci pour l'article. Otogi : Myth of Demons m'a marqué quand j'y ai joué, non seulement pour son ambiance envoutante mais aussi pour les particularités de son gameplay. Quand on a un jeu avec un tel écran titre, on est tout de suite dans le ton.



Le jeu peut être agaçant à certains moments, mais rarement frustrant. Une fois que l'on a compris ce que l'on attend de nous dans chaque niveau, cela ne pose plus trop de problèmes. D'autant plus que certains affrontements contre des boss peuvent s'achever... Sans que le boss ait été défait. Mais mieux vaut le faire, puisqu'il y a souvent des armes ou des esprits à récupérer sur sa carcasse.

A noter que Raikoh gagne de l'expérience. Il est donc possible de leveler quand un niveau ou un boss nous semblent trop ardus. Le jeu me fait beaucoup à Onimusha, puisque, tout comme dans le jeu de Capcom, les ennemis une fois morts laissent échapper magie, expérience et de l'argent. []

Tama
Pixel monstrueux
Heureusement que j'ai relu le titre du topic, ton jeu de mots est tellement capillo-tracté que j'avais même pas compris qu'il s'agissait du thread consacré à l'article ! En tous cas, merci pour vous réactions !

Alors c'est vrai, Otogi (du moins le premier) n'est pas un jeu très gentil, puisqu'à part le mode d'emploi, rien ne nous explique vraiment les arcanes du jeu. La Princesse dit bien qu'on ne peut pas vivre sans la Magie, mais il faut faire l'expérience de jouer un Raikoh au bord du gouffre, avec un pixel de Magie restant, une orbe de vie, faire un ballet aérien mortel autour des ennemis pour leur voler leur magie, et ce sans tomber dans l'eau par exemple (mortelle). Moi-même avait lâché le jeu pendant quelques semaines suite à la mission d'escorte du kitsune tant elle m'a énervée ! Le jeu aborde également vaguement la questions des Orbes de Vie, qui vous rajoutent une orbe supplémentaire, alors qu'il faut à tout prix leur donner la chasse, sans quoi le joueur n'a presque aucune chance...
La quête des Esprits, elle, n'est pas indispensable, sauf si vous voulez vous la péter avec l'Epée du Clair de Lune et tuer le dieu Orochi et le boss final en un seul coup, bien sur !

Citation :
L'article dit que certains niveaux consistaient à franchir des obstacles pour arriver à un boss. Il y en avait un, comme ça, vers le début du jeu. Sauf que pendant toute la traversée -qui pouvait durer une bonne demi-heure si on mourrait quelques fois- on entendait le boss crier "NONE SHALL PASS" en continu sans jamais s'arrêter, sans pause aucune, et ils n'avaient même pas pris la peine d'enregistrer deux ou trois versions du cri... En dehors du comique involontaire de la chose (ça faisait penser à une scène de Monty Python Sacré Graal), c'était horripilant.


Ca, je reste intimement convaincu que le doublage anglais catastrophique nuit à l'immersion de ceux qui n'ont pas été hypnotisés dès le départ par l'esthétique et les thèmes musicaux d'Otogi. D'ailleurs, je ne comprends toujours pas le but de ce doublage ; il est évident qu'on a affaire à un jeu qui va parler à une catégorie très ciblée des joueurs, ceux qui vont vouloir se plonger dans une ambiance asiatique traditionnelle, vouloir donc le doublage d'origine est indispensable. A part le blasé "c'est Sega...", je ne vois pas de raison particulière.
Citation :

Je pense que quitte à découvrir la franchise, il vaut mieux jouer au 2 qui était calibré moins hardcore et plus long (ils voulaient en vendre plus et ça se sentait; bien sûr ça n'a pas marché). Personnellement je garde d'Otogi un souvenir sympathique teinté d'incompréhension.


J'en profite pour répondre à Sebinjapan en même temps : je n'ai pas mis la main sur le 2, mais à vrai dire, la durée de vie n'était strictement pas un souci pour le premier épisode. La difficulté par contre...ce n'est pas insurmontable, mais c'est parfois injuste. On a beau prendre la bonne magie, la bonne arme (que l'on aura soigneusement réparé auparavant, moyennant une somme exorbitante), et parfois, les ennemis sont encore plus hargneux que d'ordinaire (et pourtant c'est dur !).

Sinon Sebinjapan, pour ce qu'il coûte maintenant, tu peux foncer, et même si comme Laurent tu te heurtes au mur de difficulté, tu ne l'auras pas trop en travers de la gorge. Moi, j'ai bien été forcé d'escalader le mur, puisque le jeu m'a hypnotisé dès l'écran-titre... []

Laurent
Commissaire apolitique
Otogi, Phil me l'avait donné pour cause d'incapacité profonde à y jouer. Pendant quelques minutes, j'ai trouvé que c'était un des plus beaux et fascinants jeux de la machine, mais quand je m'y suis attelé j'ai été découragé par le mur de difficulté qui se présentait si on n'avait pas compris le système de jeu. Or il n'y avait pas grand chose de fait pour qu'on l'assimile, ce système. Le fait que le héros creve à petit feu si on ne fait rien (un truc que, de base, je supporte très mal dans un jeu) n'était pas vraiment expliqué, ni l'obligation de refaire plusieurs fois les niveaux avec des armes améliorées, la confusion entre points de vie et de magie me déroutait, de même que la différence d'approche d'un niveau à l'autre... Il fallait vraiment être patient et se plonger à fond dans le trip pour ne pas décrocher après trois ou quatre niveaux. C'est zarbi, Otogi

En plus le jeu partait en testicule bien comme il faut, par moments. L'article dit que certains niveaux consistaient à franchir des obstacles pour arriver à un boss. Il y en avait un, comme ça, vers le début du jeu. Sauf que pendant toute la traversée -qui pouvait durer une bonne demi-heure si on mourrait quelques fois- on entendait le boss crier "NONE SHALL PASS" en continu sans jamais s'arrêter, sans pause aucune, et ils n'avaient même pas pris la peine d'enregistrer deux ou trois versions du cri... En dehors du comique involontaire de la chose (ça faisait penser à une scène de Monty Python Sacré Graal), c'était horripilant.

Je pense que quitte à découvrir la franchise, il vaut mieux jouer au 2 qui était calibré moins hardcore et plus long (ils voulaient en vendre plus et ça se sentait; bien sûr ça n'a pas marché). Personnellement je garde d'Otogi un souvenir sympathique teinté d'incompréhension.

Pour info, le dénommé RatonLaveur, dont je n'ai plus trop entendu parler depuis un ou deux ans, s'était passionné pour Otogi et sa suite :
http://www.raton-laveur.net/post/497
http://www.raton-laveur.net/post/854 []




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