Sympa cet article. Par contre je te trouve généreux avec les graphismes. J'ai pas eut beuacoup de jeux DC entre les mains, mais au vu des screens, j'aurai plus dit que cétait de la PSX en fin de vie []

Tout à fait d'accord avec toi. Malgré les années, il n'y a à mes yeux aucun jeu d'aventure qui soit arrivé à la cheville de Galleon.

Le proposer en téléchargement aurait aussi été super pour ceux qui n'arrivent pas à le trouver. []

Galleon est dans ma liste des jeux à faire (je l'avais acheté à vil prix suite à un post enflammé sur un forum (ici même, je crois)).

Raaah, quel dommage qu'il ne soit pas la liste des titres retro-compatibles sur la Xbox 360). On va dire que cela sera l'occasion de rebrancher la Xbox et de voir ce qu'elle donne sur une télé HD.

Bravo Niko844, ton article a réveillé l'envie de jouer à ce titre oublié. []

Je pense surtout que ce sont les critiques qui ont bien fait couler ce jeu. A se demander si Toby Gard ne se serait pas brouillé avec eux, ce qui n'aurait pas arrangé les choses quand on a pas les moyens d'abrutir le consommateur à grand renforts de pub. C'était quand même bizarre de massacrer un jeu aussi réussi... A moins que ce soit la faute aux conditions de tests. En tout cas cela ne m'étonnerait guère d'apprendre que certains testeurs émettent un avis sur un jeu au bout de cinq minutes de jeu, faute de temps pour boucler leur article...
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Effectivement, je me souviens de cette vidéo promo de Galleon réalisée avec la version 0.00004 du jeu, tournant à 4 fps et moche comme tout, elle a été incluse dans plusieurs DVD de démos du magazine officiel Xbox, et ça a sûrement nui au jeu.

Chouette article en tout cas. []

Merci pour ton article Niko
Heureusement que tu as bien précisé que Galleon faisait partie de ces jeux aux dévellopement interminable, car jusqu'à peu encore, je ne pensait pas qu' il aurait enfin vu le jour.

Faut dire qu' au début de la Xbox (2002 ?) j' avait acheté le magazine consacré à cette console et ils avaient inclus une VHS montrant les jeux, le line up et et ceux qui seront à venir.
Il y avait bien sur Halo, Wrecked, DoA 4, mais aussi Galleon.

Et déja à l'époque son aspect graphique était ... particulier, on va dire ^^.
Et puis les années passèrent et plus de news ou d'info sur ce titre. Je pensait donc que le projet avait été abandonné.

Et bien non donc

Alor, si un jour j' ai l'occasion de le trouver pour quelques Euros, je me laisserai surement tenter []

Si j'ai bien écrit qu'on qu'on pouvait coopérer, mais je l'ai vraiment vite fait, histoire de ne pas gâcher la surprise aux joueurs potentiels

Sinon merci pour tes autres critiques, je suis dégoûté d'avoir oublié des trucs aussi évident.

Content en tout cas d'avoir pu faire découvrir le jeu et lui avoir rendu hommage, je me disais bien qu'un article de ce genre serait bien accueilli sur Grospix []

Je n'ai jamais je n'ai entendu parler de ce jeu (vu que je ne suis pas l'actualité consoles depuis longtemps et qu'il ne devait pas être porté sur PC). Mais en lisant l'article, je suis sûr qu'il m'aurait beaucoup plu. Merci Niko844 pour me l'avoir fait découvrir !
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Excellent article de Niko844 sur ce Galleon, avec un historique très fouillé qui donne surtout une envie folle de découvrir ce jeu ! Quel dommage qu"il n'ait pas été multi-plateformes, je ne serais peut-être pas passé à côté... Un jour en émulation !
Pour être honnête, je n'en avais même pas entendu parler à l'époque de sa sortie (quand je ne fréquentais pas encore Grospixels, ,c'est vrai). J'imagine que certains critiques, en plus de le descendre, n'ont pas forcément rappelé qui le développait et l'histoire de son développement (ce qui aurait permis à certains, peut-être, de ne pas être effrayés par les captures d'écran).

Bon, j'avais remonté le topic consacré au jeu en actu, mais j'aurais peut-être dû en créer un pour parler de l'article, donc je copie-colle mon message. J'en profite encore une fois pour remercier Jarel car c'est surtout grâce à lui que j'ai joué au jeu.

Ca fait bien plaisir à lire alors que le jeu a été injustement desendu par la presse. C'est bien d'avoir parlé de l'animation qui m'a particulièrement impressionné. En plus, il est bien intégré au décor. C'est fou le nombre d'animations différentes qu'il comporte. Par exemple, il n'est pas animé de la même façon selon le type et le poids de l'objet qu'il pousse ou tire.

Par contre, dire que Galleon a inspiré Shadow of the Colossus est un bien grand mot. Même pas sûr qu'Ueda ait entendu parler de ce jeu. De plus, Galleon n'est pas le premier jeu dans lequel on peut monter sur un boss (Strider par exemple), et l'approche n'a rien à voir avec SotC où il fallait trouver comment monter sur le colosse, tenter de rendre l'ascension accessible, essayer d'affaiblir le colosse et frapper sur plusieurs points faibles différents.

Ensuite, même si c'est un petit détail, il aurait fallu dire qu'il faut parfois un peu coopérer avec l'un des deux personnages féminins si on veut avancer. De plus, le personnage exécute des sauts très "lunaires", ce qui déconcerte au départ.

Par ailleurs, le rédacteur n'a pas assez insisté sur ce qui fait la particularité de la jouabilité. En réalité, on ne dirige pas directement le personnage avec le stick gauche, mais carrément la caméra quand on le déplace à gauche ou à droite. Ensuite, faire déplacer le stick en haut et en bas sert à régler la vitesse du personnage: immobile quand le stick est au point mort, accélération quand il est en haut et décélération (voire saut en arrière quand on utilise en plus le bouton de saut) quand le stick est en bas. Ainsi, le stick ne sert qu'à déplacer la caméra et régler la vitesse du personnage. Le personnage se déplace là où le joueur a orienté la caméra avec le stick gauche qu'on a déplacé à gauche ou à droite, avec telle vitesse selon la pression exercée sur le stick en haut ou en bas, et c'est ça qui est déconcertant dans un premier temps. De plus, le caractère semi-automatique de la jouabilité est dû à la pression qui s'exerce sur le stick. En effet, quand on appuie faiblement sur le stick, l'action automatique se met en place et on n'a qu'à maintenir le stick faiblement en haut pour que le personnage suive tranquillement une passerelle étroite (même quand celle-ci change de direction, le héros adapte la direction de son mouvement sans qu'on change la direction du stick gauche). Et quand on appuie fortement sur le stick, là le joueur reprend la main (à ses risques et périls éventuellement) et la jouabilité redevient manuelle.

Enfin, il aurait été bien de dire que, malgré les limitations techniques, les niveaux absolument énormes s'affichent en un bloc, avec fluidité, sans que ça rame, sans écran de chargement. Par contre, d'accord pour les quelques murs invisibles, j'avais trouvé dommage que la troisième île soit séparée en deux par un mur invisible, la première partie étant accessible au niveau 4 et la deuxième partie au niveau 5. Mais on oublie grâce à la taille énorme des niveaux, leur level-design foisonnant et leur grande variété (reprenant tous les clichés des histoires d'aventure). En plus, le meilleur du jeu est à la fin avec un niveau final culte comportant un level-design complètement barré et un boss final extraordinaire.

Bien, je pense en avoir fini avec mes remarques. Ce jeu avait bien besoin de ce genre d'hommage et méritait un article. L'un de mes plus grands souvenirs vidéoludiques de la Xbox. []