Avant toute chose, je tiens à dire que la musique d’intro de Phantasy Star III est somptueuse, et que rien que pour elle le jeu mérite un “BIEN�.

Au contraire de son prédécesseur, PSIII se déroule dans un univers qui semble être médiéval fantastique. 1000 ans avant le début du jeu (décidément), une guerre opposa le guerrier Orakio et la sorcière Laya, et alors qu’une trève se dessinait, les deux belligérants disparurent, ce qui ne fit que renforcer les tensions entre leurs fidèles.

L’histoire débute alors que la fiancée du héros se fait kidnapper le jour de leur mariage par un démon qui semble être un sbire de Laya. Le héros, Rhys, est chaud patate pour déclarer la guerre aux Layans, mais son père le fout au cachot pour qu’il se calme. Il s’évade grâce à une demoiselle, et s’en va enquêter tout seul.

Le gameplay est le même que dans PHII, avec quelques petits ajustements, les contrôles étant notamment plus souples lors des déplacements. Les graphismes ont fait un bond en avant, et cette fois-ci on voit vraiment qu’on a passé une génération. Les décors et sprites sont plus détaillés, et on a droit à de jolis dégradés. La musique est également excellente.

Cette fois-ci, l’originalité du jeu est son principe de générations : lorsqu’on est un peu avancé dans le jeu, il est possible de choisir sa promise, et c’est l’enfant issu de cette union que l’on dirige dans la suite de l’aventure.

A part ça, je me suis perdue dans les bois avant d’être Game Over, donc je ne peux pas dire grand chose de profond sur le jeu. Il semble avoir été moins bien reçu que le deuxième, et c’est le vilain petit canard de la série.