Inuyasha : Fuun Emaki

Rédigé par ange_dechu_lucifer

Inuyasha Fuun Emaki a été développé par Bandai, responsable entre autres d’un nombre monstrueux d’adaptations de jeux tirés d’animes japonais. Le jeu est tiré du manga du même nom.

Durant l'époque féodale japonaise, les hommes cohabitaient avec les démons : il existait alors un joyau qui accroissait de façon extraordinaire les pouvoirs de ces derniers. Ce joyau était gardé par une prêtresse humaine, Kikyo, qui tomba amoureuse du demi-démon Inuyasha, celui-ci souhaitant s'emparer du joyau. Malheureusement, ceux-ci s'entretuèrent dans des conditions mystérieuses. Quelques siècles plus tard, à notre époque, une jeune lycéenne nommée Kagome tombe dans un puits du temple familial. Grâce à un fragment du joyau présent dans son corps, elle se retrouve transportée cinquante ans après qu'Inuyasha ait été attaché à un arbre par l'une des flèches magiques de Kikyo. Vous incarnez Inuyasha depuis sa libération.

Inuyasha Fuun Emaki devrait être considéré comme un visual novel injecté de phases d'action en lieu clos. En effet, l'univers du jeu se déroule autour d'une carte et de dialogues : Une fois la prochaine destination sélectionnée, vous serez amené à combattre divers personnages ou démons. Une fois ceux-ci vaincus, vous retournez à la carte, et ainsi de suite. Sauf que ces combats vous rapporteront de l'expérience, et les montées en niveau consécutives augmenteront vos caractéristiques. De plus, vous disposerez d'un lieu d'entrainement vous permettant de gagner des points d'expérience bonus, forts utiles au cas où vous auriez des difficultés à franchir certaines étapes. Côté maniabilité, A pour frapper, B pour sauter et les 4 boutons Y pour appeler des alliés à la rescousse.

Enfin, sachez que vous pourrez également accéder à un mode survival dans le menu principal, celui-ci étant classique : vous participerez à des combats de plus en plus difficiles jusqu'à ce que vous n'ayez plus une once de vie.

Verdict :

Un bon petit jeu, dommage que les phases de dialogue soient si nombreuses.